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Jim Carrey

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Jim Carrey
Description de cette image, également commentée ci-après
Jim Carrey en 2008.
Nom de naissance James Eugene Carrey
Naissance (62 ans)
Newmarket, Ontario (Canada)
Nationalité Drapeau du Canada Canadien
Drapeau des États-Unis Américain
Profession
Films notables The Mask
Ace Ventura
The Truman Show
Dumb and Dumber
Bruce tout-puissant
Séries notables Kidding

James Carrey, dit Jim Carrey /d͡ʒɪm ˈkæ.ɹi/[1], né le à Newmarket en Ontario au Canada, est un acteur, humoriste, producteur, scénariste, peintre et sculpteur canado-américain.

Il s'est fait connaître au cinéma en 1994 grâce aux films à succès Ace Ventura, détective chiens et chats, The Mask et Dumb and Dumber. Ses comédies sont basées sur un humour gestuel et de nombreuses grimaces, ce qui deviendra sa marque de fabrique.

Il confirme avec des comédies construites autour de lui : Ace Ventura en Afrique (1995), Disjoncté (1996), Menteur, menteur (1997), Fous d'Irène (2000) et Bruce tout-puissant (2003). Parallèlement, il s'impose dans un registre dramatique : The Truman Show (1998), Man on the Moon (1999), The Majestic (2001) et Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004). Ses performances lui valent deux Golden Globes.

Il se concentre par la suite essentiellement sur des productions destinées à la jeunesse : Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire (2004), Le Drôle de Noël de Scrooge (2009), Monsieur Popper et ses pingouins (2011), L'Incroyable Burt Wonderstone (2013). Ses passages au registre des films d'action et ses retours au dramatique sont moins appréciés par le grand public : Kick-Ass 2 (2013), Dark Crimes (2016). En 2020, il revient sur le devant de la scène médiatique en jouant le rôle du Dr Robotnik dans Sonic, le film puis dans ses suites, Sonic 2, le film (2022) et Sonic 3, le film (2024).

James Eugene Carrey naît le à Newmarket, dans l'Ontario, au Canada[2]. Il est le quatrième et dernier enfant de Perci Carrey, musicien de jazz et comptable, et de Kathleen Carrey, femme au foyer[3], après deux filles, Rita et Patricia, et un premier fils, John[4]. Il est élevé dans une famille catholique d'origines française (initialement le nom de sa famille, originaire de Saint-Malo, était Carré[5]) et écossaise[réf. nécessaire].

À l'âge de sept ans, il se découvre un talent pour la comédie et c'est tout naturellement qu'il s'entraîne à faire des grimaces devant un miroir, pour finir par se produire dans de petits spectacles organisés par sa classe. Très vite son père décèle du talent chez son fils et décide de l'aider à organiser des spectacles dans différents cabarets à Toronto. Malheureusement la réussite n'est pas au rendez-vous et Carrey arrête l'école à seize ans pour rejoindre son père dans une usine de pneus[6].

Vie privée

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Jim Carrey au festival de Cannes 2009, pour la présentation de I Love You Phillip Morris.

Une fois lancé professionnellement, Jim Carrey se marie en 1988 avec Melissa Womer rencontrée l'année précédente au Comedy Store, l'ancien lieu de travail de Melissa. La même année, ils ont une fille, Jane Erin Carrey (née le ).

Divorcé en 1995, il se remarie avec l'actrice Lauren Holly, rencontrée sur le tournage de Dumb and Dumber. Ils se sépareront en 1997.

Le , Jane Erin Carrey donne naissance à son premier fils Riley Jackson, dont le père est Alex Santana.

Pendant le tournage de Fous d'Irène (2000), il entretient une relation avec Renée Zellweger.

Puis avec le mannequin danois Betine Holte.

Il vit ensuite avec la comédienne et mannequin Jenny McCarthy. Ils annoncent officiellement leur séparation le .

Il se met ensuite en couple avec Cathriona White, une maquilleuse irlandaise[7]. Elle se suicide en septembre 2015[8] alors qu'ils ne sont plus ensemble. Jim Carrey en est très affecté et assiste à son enterrement[9].

De janvier à octobre 2019, il a une relation avec Ginger Gonzaga[10].

Autres éléments de sa vie personnelle

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Au début des années 1990, il fait partie avec sa famille d'une église presbytérienne[11].

Il obtient la nationalité américaine le , et détient désormais la double nationalité américaine et canadienne.

Il est un grand fan de la série Les Experts : Miami, comme il le montre en 2007 lors de son passage dans Late Show with David Letterman de David Letterman. Sur le plateau, il fait une imitation de David Caruso remettant ses fameuses lunettes.

Jim Carrey qui pratique la méditation transcendantale reçoit un diplôme honorifique de docteur en beaux-arts au cours de la cérémonie qui s'est tenue à l'Université Maharishi de management (en) à Fairfield dans l'Iowa[12],[13] : « comme beaucoup d'entre vous, j'étais inquiet au sujet de sortir dans le monde et de faire quelque chose de plus grand que moi, jusqu'à ce que quelqu'un de plus intelligent que moi m'ait fait comprendre qu'il n'y a rien de plus grand que moi. Mon âme n'est pas contenue dans les limites de mon corps, mon corps est contenu dans l'illimité de mon âme[14] ».

Premières expériences et début de carrière

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Bien que sa première expérience d'humoriste n'ait pas été un succès, Carrey s'essaye au stand-up et se produit où l'on veut bien l'accueillir[15]. Ainsi il devient tête d'affiche au Yuk Yuk's de Toronto, un critique du Toronto Star qualifie même Carrey de « véritable star qui prend vie »[16]. C'est ainsi qu'en 1981, alors à peine âgé de dix-neuf ans, il quitte son pays natal (Canada) pour rejoindre Los Angeles en Californie avec seulement 1 000 dollars en poche[17],[6].

Débuts à Hollywood (1981-1994)

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Arrivé en Californie, Jim Carrey tente sa chance au Comedy Store de Mitzi Shore, son abattage et son style particulier en font bientôt une vedette de la troupe.

C'est ainsi que Rodney Dangerfield le remarque et le prend avec lui en tournée à travers les États-Unis[15]. Auréolé de sa toute nouvelle notoriété, l'acteur se tourne vers la télévision, auditionnant pour le casting de la saison 1980-1981 du réputé Saturday Night Live. Il n'est pas retenu pour l'émission.

Il décroche un premier rôle comique à la télévision en 1983 dans le téléfilm Introducing... Janet[2] et intègre l'émission de la NBC The Duck Factory l'année suivante.

Il obtient son premier rôle marquant au cinéma en 1983 dans la comédie Copper Mountain, qui exploite déjà son incroyable plasticité, dans lequel il fait d'ailleurs son imitation de Sammy Davis, Jr..

Par la suite, il apparaît notamment dans Peggy Sue s'est mariée, de Francis Ford Coppola, aux côtés du jeune Nicolas Cage, puis joue aux côtés de Clint Eastwood dans le dernier épisode de la saga L'Inspecteur Harry : La Dernière Cible, puis dans Pink Cadillac.

En 1990, il obtient un rôle dans la série télévisée In Living Color (en) (1990-1994). Il participe aux cinq saisons de cette comédie créée par Keenen Ivory Wayans pour la chaîne FOX. Le 140e et dernier épisode est diffusé en 1994.

Premiers succès populaires (1994-1997)

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En 1994, sa carrière prend un virage décisif avec trois films qui mettent en valeur son comique extrêmement visuel : Ace Ventura, détective chiens et chats, The Mask (qui lui vaut sa première nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie), rendant un hommage aux procédés comiques et visuels de Tex Avery, et Dumb and Dumber. Sa carrière est dès lors lancée.

En 1995, fort de son succès, il incarne l'un des méchants, Edward Nygma, dans Batman Forever de Joel Schumacher. Puis accepte de reprendre son rôle du détective animalier pour Ace Ventura en Afrique. Le film confirme la popularité du personnage auprès du grand public, mais ne convainc pas la critique.

En 1996, il enchaîne avec la comédie satirique réalisée par Ben Stiller. Disjoncté, il accepte de jouer un personnage plus ambigu que dans ses films précédents, et livre pour cela une performance plus complexe. Le film reçoit un accueil critique mitigé, mais connaît un large succès commercial.

En 1997, la comédie Menteur, menteur de Tom Shadyac lui permet de convaincre critiques et public. Il décroche une seconde nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie. Il confirme alors le style qu'il adopte dans tous ces films comiques, évocateur de celui de Jerry Lewis, pour lequel il confesse d'ailleurs son admiration. Il choisit de montrer ensuite une autre facette de son talent d'acteur dans des films empreints d'une plus grande gravité.

Confirmation critique (1998-2004)

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Les empreintes de Jim Carrey sur le Leicester Square (Londres).
L'étoile de Jim Carrey sur l'Allée des célébrités canadiennes, en 2004.

En 1998, il joue dans la comédie dramatique et satirique The Truman Show de Peter Weir, qui connait un immense succès critique et commercial. Son interprétation est récompensée par un Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique la même année[18].

En 1999, il poursuit sur cette lancée en interprétant le comédien Andy Kaufman, dans Man on the Moon, un biopic réalisé par Miloš Forman. Là encore, il livre une performance acclamée par l'ensemble de la profession, même si certaines critiques émergeront sur sa façon d'appliquer la méthode Stanislavski, qui a conduit à des difficultés avec l'équipe technique pendant le tournage. Il décroche enfin le Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie.

En 2000, il retourne à la comédie avec Fous d'Irène, le nouvel opus de Peter et Bobby Farrelly, pour incarner un policier atteint de schizophrénie. Il partage l'affiche avec Renée Zellweger. Le film, porté par l'interprétation de l'acteur, fonctionne très bien au box-office, mais convainc moyennement la critique.

La même année, il joue le rôle-titre du film Le Grinch, réalisé par Ron Howard. Le film, est un énorme succès commercial, et lui permet de décrocher une quatrième nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie.

En 2001, il collabore avec un autre cinéaste reconnu, Frank Darabont, pour The Majestic, mais le film est cette fois un échec commercial, et divise la critique.

En 2003, il retrouve le réalisateur Tom Shadyac pour Bruce tout-puissant, où il interprète un journaliste se retrouvant doté des pouvoirs de Dieu, incarné par Morgan Freeman. Pour l'occasion, il partage l'affiche avec Jennifer Aniston. Le film est un succès dans le monde entier.

En 2004, il revient au registre dramatique en donnant la réplique à Kate Winslet dans Eternal Sunshine of the Spotless Mind de Michel Gondry. Le film, acclamé internationalement par la critique, lui vaut en 2005 une cinquième nomination au Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie et une nomination pour le British Academy Film Award du meilleur acteur. Il remporte aussi le San Diego Film Critics Society Awards pour son interprétation.

La même année, il tient le rôle principal de l'adaptation cinématographique de la collection de romans pour la jeunesse, Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire de Daniel Handler. Dans ce film reprenant l'intrigue des trois premiers tomes de la série, Carrey s'approprie le personnage du Comte Olaf pour livrer une performance burlesque, acclamée par la critique.

Diversification (2005-2009)

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Photographie en noir et blanc de Jim Carrey en plein spectacle, il porte la main à son oreille comme pour mieux entendre
Jim Carrey lors du Premios 40 Principales à Madrid, le .

En 2005, il joue dans la comédie d'action Braqueurs amateurs, aux côtés de Téa Leoni, et co-scénarisée par Judd Apatow. Malgré des critiques mitigées, le film se maintient bien au box-office, et connait un succès en DVD[19].

En 2007, il retrouve le réalisateur Joel Schumacher pour le thriller psychologique Le Nombre 23. Le film fonctionne commercialement, mais est très mal reçu par la critique, au point de valoir au comédien une nomination au Razzie Award du pire acteur. Il avait déjà été nommé par cette cérémonie en 1994 pour Pire Nouvelle Star, pour ses trois hits de l'année 1994 : The Mask, Dumb and Dumber et Ace Ventura, détective chiens et chats.

Mais la même année, son travail de doublage, aux côtés de Steve Carell, sur le film d'animation Horton, est couronné par un large succès critique et commercial. Après Le Grinch, il s'agit de la seconde adaptation d'une œuvre de Dr Seuss, pour le comédien.

En 2009, il renoue la comédie avec Yes Man, qui fonctionne très bien au box-office, puis partage l'affiche de I Love You Phillip Morris avec Ewan McGregor, une comédie dramatique indépendante écrite et réalisée par Glenn Ficarra et John Requa. Son interprétation est remarquée par la critique, et lui vaut de nouveau quelques nominations.

Irrégularité commerciale et déception critique (2010-2019)

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Jim Carrey à la Cinémathèque française en 2010 lors d'une projection du film I Love You Phillip Morris.

L'acteur va se faire plus discret durant cette décennie, préférant des films destinés à une audience familiale, dans la lignée de Le Grinch.

En 2010 Il est la tête d'affiche de Le Drôle de Noël de Scrooge, adaptation du célèbre roman homonyme de Charles Dickens par Robert Zemeckis, qui utilise la capture de mouvement déjà expérimentée par le cinéaste dans Le Pôle express et La Légende de Beowulf. Carrey prête son image à pas moins de quatre personnages : Ebenezer Scrooge, le fantôme de Noël passé, le fantôme de Noël présent et le fantôme de Noël futur. Il s'est, par ailleurs, largement inspiré de l'interprétation d'Alastair Sim pour nourrir ses personnages.

Puis en 2011, avec Monsieur Popper et ses pingouins, qui connaît aussi un joli succès en salles, mais peine cette fois à convaincre la critique.

En 2013, il connait un véritable échec commercial avec L'Incroyable Burt Wonderstone, comédie centrée sur un duo de magiciens de Las Vegas, dont l'un est joué par Steve Carell.

La même année, il participe à la comédie d'action Kick-Ass 2, dont il se désolidarise cependant durant la phase de promotion, en raison de la violence du film qu'il préfère désavouer par égard à une actualité américaine prégnante[20]. Le film est une nouvelle déception commerciale, surtout comparé au score du premier épisode.

En 2014, il signe un retour inattendu, en retrouvant Jeff Daniels pour Dumb and Dumber De, aux côtés de Laurie Holden (sa partenaire dans The Majestic) et Kathleen Turner. Si les critiques sont mauvaises, le film connaît le succès au box-office, essentiellement sur le territoire nord-américain.

En 2017, il est à l'affiche de The Bad Batch, un film d'horreur décalé, aux accents romantiques, aux côtés de Keanu Reeves et Jason Momoa. Ce long-métrage d'Ana Lily Amirpour est distribué dans le monde par Netflix. La même année, un autre projet passe véritablement inaperçu : le polar indépendant Dark Murders, réalisé par Alexandros Avranas, dont il est pourtant la tête d'affiche.

Finalement, c'est l'année suivante qu'il réussit un retour médiatique : il est l'interprète principal de la nouvelle série télévisée Kidding, qui marque ses retrouvailles avec le réalisateur français Michel Gondry. Il y est entouré de Frank Langella, Judy Greer et Catherine Keener. Si la série divise la critique, elle se voit commander une deuxième saison par la chaîne câblée Showtime[21].

Retour au succès (depuis 2020)

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En 2020 il reviens au cinéma dans, Sonic, le film, qui marque son retour dans les films comiques à gros budget[22]. Il y incarne l'antagoniste le Docteur Eggman. Avec plus de 58 millions de dollars de recettes récoltées en seulement une journée, il est le meilleur démarrage d’un jour férié aux États-Unis, mais aussi le meilleur démarrage pour une adaptation de jeu vidéo de tous les temps au cinéma[23],[24],[25],[26].

En 2020, il publie Memoirs and Misinformation, coécrit avec le journaliste Dana Vachon, qui paraît en français l'année suivante sous le titre Mémoires floues. En septembre, au cours des dernières étapes de l'élection présidentielle américaine, il est annoncé que Carrey incarnerait le candidat à la présidence Joe Biden lors de la 46e saison de Saturday Night Live, prenant la place de Jason Sudeikis, Woody Harrelson et John Mulaney. Cependant, le style comique énergique de Carrey s'est heurté à la personnalité discrète de Biden, produisant une imitation qui manquait d'authenticité et n'a pas réussi à impressionner les téléspectateurs et les critiques.[réf. nécessaire] Le 19 décembre 2020, Carrey a annoncé qu'il démissionnerait du rôle de Biden sur Saturday Night Live, déclarant qu'il avait un contrat de six semaines. Alex Moffat, membre de la distribution, réussit à convaincre Carrey d’incarner Biden lors du pré-générique de l'épisode animé par Kristen Wiig le même jour.

En 2022, il apparaît en tant que narrateur de l'album Dawn FM de The Weeknd, sorti le 7 janvier. Il revient également au cinéma en incarnant à nouveau le Docteur Eggmann pour Sonic 2, le film.

En avril 2022, il prévoit de prendre sa retraite de l'industrie du cinéma, expliquant qu'il avait « fait assez », et que c'« était suffisant ». Lorsqu'on lui demande s'il peut un jour revenir, sa réponse est alors : « Cela dépend. Si les anges apportent une sorte de script écrit à l'encre d'or qui me dit qu'il va être vraiment important pour les gens de voir, je pourrais continuer sur la route, mais je fais une pause. »[27]

Filmographie

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Longs métrages

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Courts métrages

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Films d'animation

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Télévision

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Téléfilms

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Séries télévisées

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Distinctions

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Golden Globes

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BAFTA Awards

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Voix francophones

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En version française, Emmanuel Curtil est la voix régulière de Jim Carrey depuis Ace Ventura, détective pour chiens et chats (1994)[28]. Il a doublé l'acteur notamment dans The Mask, The Truman Show, Dumb and Dumber et Eternal Sunshine of the Spotless Mind. À noter que le doublage de Vampire Forever (1985) a été effectué en 1995.

À titre exceptionnel, il a aussi été doublé par Vincent Ropion dans le film Peggy Sue s'est mariée[29], Serge Faliu dans La Dernière Cible[29], Vincent Violette dans Batman Forever[29], Arnaud Arbessier dans Simon Birch, Thierry Hancisse dans Le Nombre 23, Dany Boon dans le film d'animation Horton, François Berléand dans le documentaire Under the Sea[30] et Jean-Michel Richaud dans Dark Crimes.

En version québécoise, Daniel Picard lui a prêté sa voix durant 16 films (dont Le Masque, Ace Ventura : L'Appel de la nature et Bruce le tout-puissant)[31]. Parmi les exceptions, on peut citer aussi Sébastien Dhavernas dans Les Enjeux de la mort, Marc Labrèche dans Ace Ventura mène l'enquête, Pierre Auger dans Batman à Jamais, Alain Zouvi dans Simon Birch et Guillaume Lemay-Thivierge dans Horton entend un Quil.

Versions françaises

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Versions québécoises

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Note : La liste indique les titres québécois.

Notes et références

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  1. Prononciation en anglais américain retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. a et b (en) « 1962: Funny man Jim Carrey born in Newmarket, Ont. », sur le site de CBC Radio, (consulté le ).
  3. (en) « Biography for Jim Carrey » Consulté le 23/11/09.
  4. (fr) « Jim Carrey - Biographie » Consulté le 24/11/09.
  5. « Jim Carrey. L'acteur aurait des origines malouines [Video] », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. a et b (fr) « Biographie et Filmographie - Jim Carrey » Consulté le 23/11/09.
  7. Le procès de Jim Carrey pour homicide par imprudence aura bien lieu.
  8. Cathriona White, la petite amie de Jim Carrey, s'est suicidée après leur rupture.
  9. (en) « Jim Carrey Carries Ex-Girlfriend's Coffin at Funeral in Ireland », NBC News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. « Jim Carrey : Déjà la rupture avec Ginger Gonzaga, il est de nouveau célibataire », purepeople.com, (consulté le ).
  11. « http://stars-films.net/index.php/presentation1 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  12. (en) Rob Wile, « Jim Carrey's Commencement Speech This Weekend Had A Poignant Anecdote About Failure », businessinsider.com, (consulté le ).
  13. (en) Valerie Strauss, « Jim Carrey gives commencement speech at Maharishi University of Management », washingtonpost.com, (consulté le ).
  14. (en) Lisa Respers France, « Jim Carrey's inspiring commencement speech », cnn.com, (consulté le ).
  15. a et b (fr) « Jim Carrey, ou la lumière éternelle de Truman Show » Consulté le 23/11/09.
  16. Up, up goes a new comic star, Bruce Blackadar, Toronto Star, 21 février 1981.
  17. (fr) « Profils de stars - Jim Carrey »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) Consulté le 23/11/09.
  18. « Jim Carrey », sur IMDb (consulté le ).
  19. « Fun With Dick And Jane (2005) - Financial Information », sur The Numbers (consulté le ).
  20. Morgane Guiliani, « Jim Carrey dénonce la violence de Kick-Ass 2 », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. [Url href='https://twitter.com/maxp26']Maximilien Pierrette (@maxp26)[/Url], « Kidding est renouvelée : une saison 2 pour la série tragi-comique avec Jim Carrey », sur Allocine.fr, (consulté le ).
  22. Thomas Imbert, « Sonic : Jim Carrey incarnera le Dr. Robotnik dans l'adaptation live », sur Allocine.fr, (consulté le ).
  23. Pamela McClintock, « Box Office: 'Sonic the Hedgehog' Digging Up Huge $60M-Plus Opening », The Hollywood Reporter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Rebecca Rubin, « ‘Sonic’ to Speed Past ‘Birds of Prey,’ ‘Fantasy Island’ at Box Office », sur Variety, (consulté le ).
  25. Pamela McClintock, « Box Office Preview: 'Sonic the Hedgehog' to Boom Past the Competition », sur The Hollywood Reporter, (consulté le ).
  26. Anthony D'Alessandro, « ‘Sonic The Hedgehog’ Breaks Videogame Game Pic Opening Record With $70M & Reps 4th Best Presidents’ Weekend Debut – Monday Update », sur Deadline Hollywood, (consulté le ).
  27. (en) « Jim Carrey Says He's 'Retiring': 'I've Done Enough' » (consulté le ).
  28. a et b « Comédiens ayant doublé Jim Carrey en France », sur AlloDoublage (consulté le ).
  29. a b c et d « Comédiens ayant doublé Jim Carrey en France » sur RS Doublage.
  30. « Fiche du doublage français du film documentaire » sur AlloDoublage, consulté le 9 avril 2013.
  31. a et b « Comédiens ayant doublé Jim Carrey au Québec » sur Doublage.qc.ca, consulté le 14 décembre 2014.

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Bibliographie

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  • Jacques Demang, Les mille et un visages de Jim Carrey, éditions Rouge Profond, 2016
  • Adrien Dénouette, Jim Carrey : L'Amérique démasquée, Façonnage éditions, 2020

Articles et interviews

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  • Propos de Jim Carrey recueillis par Henry Arnaud, « Jim Carrey, la résurrection. Après plusieurs années sans jouer, le comédien est le héros de la série Kidding, réalisée par Michel Gondry. Rencontre. », Télécâble Sat Hebdo no 1481, SETC, Saint-Cloud, , p. 8-9, (ISSN 1630-6511)

Documentaires

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  • Jim et Andy, réalisé par Chris Smith, 2017
  • Jim Carrey : L'Amérique démasquée, réalisé par Adrien Dénouette et Thibaut Sève, production Arte France et Bellota Films, 2022

Émissions de radio

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  • Jim Carrey incarne-t-il les années 90 ?, émission Sans oser le demander, France Culture, 13 octobre 2021

Liens externes

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