Allennes-les-Marais
Allennes-les-Marais | |||||
L'église Saint-Nicolas. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Carine Vandaele 2024-2026 |
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Code postal | 59251 | ||||
Code commune | 59005 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allennois | ||||
Population municipale |
3 567 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 643 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 32′ 12″ nord, 2° 57′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 29 m |
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Superficie | 5,55 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Annœullin (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Annœullin | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Allennes-les-Marais est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Allennes-les-Marais faisait partie de la communauté de communes de la Haute Deûle, en Flandre française, qui a choisi de rejoindre la Métropole européenne de Lille en 2020.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Allennes-les-Marais se situe dans le Carembault en Flandre romane, à 12,7 km au sud-ouest de Lille (19,8 km par la route).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune, en tant qu'ancienne et riche zone de marais, présente de grandes potentialités écologiques, mais si pour sa partie nord elle est écopaysagèrement plus riche (et proche du Parc de la Deûle, élément important et structurant de la trame verte et bleue régionale, elle est aujourd'hui entourée d'un paysage dominé par l'agriculture intensive, et elle présente également des séquelles de guerre ou industrielle.
En particulier, elle abrite un important dépôts de cendres de charbon issus d'une centrale au charbon ; ces cendres étant susceptible de renfermer des dioxines, métaux lourds voire des éléments radioactifs[1]. Ce rapport (Robin des bois, ASN, ) indique que les mesures conduites sur site indiquent que globalement, le niveau de radioactivité sur les sites est proche du niveau de référence régional. Localement, des anomalies radiamétriques ont été identifiées ; le débit de dose au contact restant cependant comparable au débit de dose ambiant qui peut être mesuré en région granitique du fait de la radioactivité naturelle du socle géologique. L'analyse des cendres prélevées confirme ce faible taux de radioactivité. L'analyse des eaux potentiellement sous
influence, n'a pas conduit à mettre en évidence un impact imputable à la présence de cendre. Et en conclusion : Le niveau de radioactivité sur les sites et dans leur environnement est comparable à celui caractéristique du milieu de référence régional. Par conséquent, il n'apparaît pas pertinent de conduire un calcul d'exposition de la population.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal de la Deûle, le fossé du Plat d'Allennes[2], la Naviette d'Allennes[3], l'Ancien canal de la Deûle[4], les Ansereuilles[5] et un autre petit cours d'eau[6],[Carte 1].
Le canal de la Deûleest un canal, chenal navigable, d'une longueur de 59 km, prend sa source dans la commune de Douai et se jette dans la Lys à Deûlémont, après avoir traversé 40 communes[7]. Les caractéristiques hydrologiques du canal de la Deûle sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 7 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 29,631 mai 201 638 m3/s, atteint le [8].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Allennes-les-Marais est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Annœullin[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[18]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), zones urbanisées (21,7 %), prairies (6,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[21]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Voie ferroviaire
[modifier | modifier le code]La ligne de Templeuve à Don-Sainghin, désaffectée, traversait Allennes-les-Marais qui disposait d'une gare sur cette ligne.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par la ligne sur réservation 21R du réseau Ilévia et par les lignes 858 et 880 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 2[22].
Toponymie
[modifier | modifier le code]D'origine incertaine, l'étymologie du nom Allennes viendrait de al (bord) et len (rivière), ou de a la vetum (aulnaie), lieu planté d'aulnes. Elle s'est successivement appelée Halenes en 1178, Allennes en Carembault en 1787, Allennes sur les Marais à la fin du XVIIIe siècle puis enfin Alleunes ou Allennes-les-Marais en 1801.
Les habitants ont pour surnom ou nom jeté celui de « grosses têtes », donné peut-être comme en Angleterre où ils ont celui de « têtes rondes » donné à une catégorie de soldats portant un casque typiquement de cette forme.
Histoire
[modifier | modifier le code]La terre d'Allennes-les-Marais est mentionnée dès l'an 675 dans un titre de l'abbaye Saint Vaast d'Arras. Vers 964, elle figure dans les possessions de l'abbaye Saint Pierre de Gand puis après avoir été une dépendance d'Annœullin, elle appartient à l'abbaye Saint-Martin de Tournai jusqu'à la Révolution.
Avant la Révolution française, Allennes est le siège d'une seigneurie[23].
Sous l'Ancien Régime, quatre familles y exercent successivement la justice : les d'Allennes, les de Neuville (Hugues de Neuville, seigneur d'Allennes sera tué en 1415 à la bataille d'Azincourt), les d'Oignies et les de Croix d'Heuchin[24].
En 1566, sous l'occupation espagnole, les habitants d'Allennes aident les Seclinois à repousser l'invasion des Gueux puis en 1642, le duc de Milleray qui prend la ville de La Bassée, ravage le village et brûle la grande ferme d'Allennes.
Une ordonnance de 1669 autorise les seigneurs à réclamer le profit d'un tiers de l'exploitation des marais de la Deûle. En 1777, les 2/3 des marais restants sont partagés en portions ménagères entre les villageois.
Sous l'Ancien Régime, Allennes faisait partie du quartier de Carembault, chef-lieu Phalempin.
Vers 1750, Charles-Maximilien-Joseph d'Haffrenghes (lien probable avec la famille d'Affringues), écuyer, est seigneur d'Allennes. Il a épousé Suzanne-Thérèse-Joseph Becuwe[25].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Situation administrative
[modifier | modifier le code]Tendance politique
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Maire en 1802-1803 : Wauquier[26],[27].
Maire en 1808 : Delefosse[28].
Maire en 1881 : Jean Marchand[29].
Listes conduites | Tours | Nombre de sièges obtenus | Conseil communautaire | Tendance | |||
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1er tour | |||||||
Nombres de voix | Pourcentages exprimés | Pourcentages des inscrits | |||||
Liste conduite par M. Gérard Mayor (DVG) | 833 | 28,62% | 57,21% | 18 | 1 | ||
Liste conduite par M. Mady Dorchies (DVD) | 623 | 21,40% | 42,78% | 5 | 0 | ||
Nombre des inscrits | Pourcentages des inscrits | Pourcentages des votants | |||||
Nombre d'inscrits | 2 910 | ||||||
Abstentions | 1 383 | 47,53% | |||||
Votants | 1 527 | 52,47% | |||||
Blancs | 32 | 1,10% | 2,10% | ||||
Nuls | 39 | 1,34% | 2,55% | ||||
Exprimés | 1 456 | 50,03% | 95,35% |
Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La ville de Allennes-les-Marais est jumelée avec Bialobrzegi (Pologne).
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 3 567 habitants[Note 6], en évolution de +4,51 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 683 hommes pour 1 775 femmes, soit un taux de 51,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Santé
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Allennes-les-Marais fait partie de l'académie de Lille.
Sports
[modifier | modifier le code]Média
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Village à vocation agricole, puisque 37 fermes y sont recensées au début des années 1900, Allennes-les-Marais est aussi réputé, dès 1875, pour ses ouvrières qui confectionnent vêtements et linge de maison.
Une distillerie qui emploie environ 80 ouvriers fonctionnera jusqu'en 1914.
La filature, fondée par Mme Descamps-Duflot, qui produit notamment des petits vêtements et de la lingerie féminine, reste en activité jusqu'au début des années 1980.
La ligne de chemin de fer Don-Sainghin-Templeuve traverse le village à partir des années 1890 mais sa suppression, au début des années 1970, entraîne la fermeture de la gare, dont le bâtiment a été cependant sauvegardé et réhabilité.
Centrale thermique des Ansereuilles
[modifier | modifier le code]Implantée sur un terrain de 58 ha, à proximité de la voie ferrée Lille–Béthune et sur la rive gauche de la Deûle, la centrale thermique des Ansereuilles, entre en activité en 1959. Agrandie en 1964-65, elle est alors conçue pour brûler du charbon. En 1972-73, des modifications permettent de l'alimenter en fioul lourd. Quatre réfrigérants atmosphériques refroidissent, en circuit fermé, l'eau des condensateurs. Désaffectée en 1984, la centrale est abattue en 1989.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Mur d'enceinte du château de M. Wicart ou château Verspieren
- Château du bois dont il reste deux petits châlets et son parc rue Franche (propriété privée)
- Ancienne distillerie Collette dont l'entrée et une partie des murs sont conservés au patrimoine historique. (rue Sonneville à côté de l'église)
- Calvaire du XVe ou du XVIe siècle abrité par une chapelle en briques.
- Presbytère de la fin du XVIIIe siècle.
- Cense dite de Layens avec porche-pigeonnier daté de 1779 sous un relief gravé aux armoiries de Jean Levasseur, mayeur de la ville de Lille au XVIIe siècle[37].
- Villa des acacias datée de 1890, ancienne demeure de la famille Descamps-Duflot.
- Église Saint-Nicolas avec des fondations datant du XVe siècle, rénovée à l'état d'origine (modifiée plusieurs fois durant ce siècle). Fresque à l'intérieur découverte en démolissant le torchis couvert sur les murs. Inscription latine relative au saint patron de l'église : saint Nicolas. Elle a été ravagée par le feu le en fin d'après-midi: la flèche et la toiture ont été calcinées et le reste du bâtiment a été fortement endommagé. Le clocher est tombé de l'église, sans faire de blessés, mais évidemment avec l'intervention des pompiers prévenant les habitants.
- Construit entre 1917 et 1918, par l'armée allemande le dispositif Wotan Stellung (position Wotan), fut mis en place afin d'assurer le contrôle du canal de la Deûle, entre les villes d' Haubourdin et de Bauvin. Cet édifice est répertorié dans le patrimoine architectural français (Mérimée)[38].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes d'Allennes-les-Marais se blasonnent ainsi : « D'or à dix losanges accolées et aboutées de gueules, 3, 3, 3 et 1. » |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:05 TU à partir des 122 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/2005 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Annœullin comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Allennes-les-Marais » sur Géoportail (consulté le 20 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- [PDF] « Rapport « Les cendres de charbon et les phosphogypses » »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Robin des bois / Autorité de Sûreté Nucléaire, (consulté le ).
- Sandre, « le fossé du Plat d'Allennes »
- Sandre, « la Naviette d'Allennes »
- Sandre, « l'Ancien canal de la Deûle »
- Sandre, « les Ansereuilles »
- « Fiche communale d'Allennes-les-Marais », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « le canal de la Deûle »
- « Station hydrométrique Le canal de la Deule à Don », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Allennes-les-Marais et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Annœullin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
- Amédée Le Boucq de (Chevalier) Auteur du texte Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, par M. le chevalier Amédée Le Boucq de Ternas,... œuvre posthume publiée par sa famille. (29 octobre 1878.), (lire en ligne).
- Victor Becquart, Les Communes de l'Arrondissement de Lille, Lille, (lire en ligne), p. 5
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 670, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- Wauquier est également le nom du maire de Camphin-en -Carembault à la même date.
- « Annuaire du département du Nord pour l'année 1809. », sur lillonum.univ-lille.fr/, p. 160. Image 179..
- « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2..
- « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Allennes-les-Marais (59005) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- La saga des Collette au XIXe siècle - 2e partie : Ceux d'Allennes-les-Marais
- Allennes-Marais , blockhaus 212