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Épisodes
  • Sophie était gourmande

    Sophie n’a pas le droit de manger entre les repas. Oui mais elle a faim ! Alors en secret, elle vole du pain. Elle se fait attraper et est privée de dîner. Heureusement, sa bonne partage avec elle toutes les gourmandises cachées dans son garde-manger. Sophie va en profiter… jusqu’à la nausée.

    27 juin

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    19 min

  • Sophie était coquette

    Sophie n’est pas belle comme une petite fille modèle. Pourtant, elle aimerait bien avoir les cheveux frisés comme ceux de son amie Camille. Ou alors des sourcils épais et bien dessinés, comme ceux qu’elle entend sa maman vanter. Elle a quelques idées pour se refaire une beauté.

    26 juin

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    19 min

  • Sophie était étourdie

    Sophie aime beaucoup les animaux, notamment les petits poissons de sa maman. Et aussi les abeilles qu’elle s’amuse à capturer avec son cousin Paul. Le problème, c’est que Sophie aime aussi beaucoup son nouveau couteau. Qu’est-ce qu’elle pourrait bien s’amuser à découper ?

    25 juin

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    20 min

  • Sophie était désobéissante

    La maman de Sophie lui interdit d’aller près du chantier où les maçons construisent une maison pour les poules. Pourtant, le bassin de chaux lui fait très envie. Et le petit poulet noir, qui vient tout juste d’y naître aussi. Tant pis, même si c’est interdit, elle suivra toutes ses envies.

    24 juin

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    20 min

  • Sophie était impatiente

    "Sophie vient de recevoir une caisse de Paris : son père lui a envoyé une poupée de cire. Elle invite ses amies Camille et Madeleine à déjeuner pour la leur présenter. Mais dans l’enthousiasme, sa poupée subit quelques accidents. Qu’à cela ne tienne, elle aura le plus beau des enterrements !"

    23 juin

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    20 min

  • "Tu, mio" de Erri de Luca 5/5 : Transfiguration

    "Le sirocco n’avait pas de répit, moi non plus. Je me sentais bien dans ce vent, il excitait mes nerfs, apportait de la chaleur à mon nez, dans mes oreilles, le vacarme des portes claquées. Il effaçait les traces, il couvrait les bruits, cachait les étoiles. "

    20 juin

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    20 min

  • "Tu, mio" de Erri de Luca 4/5 : Un autre visage

    "Là, j’étais dans les nuits communes des innombrables étés de la terre, j’étais du même âge que la planète, un de son espèce insomnieuse. "

    19 juin

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    19 min

  • "Tu, mio" de Erri de Luca 3/5 : Quelqu’un venu de loin

    "C’était une nuit calme, la mer n’arrivait pas à avancer d’un pouce sur le rivage. Quand elle est ainsi, on ne dirait pas de la mer mais du ciel. Au-dessus du cercle de nos têtes, des étoiles pleuvaient à mitraille, sans un souffle d’air dans les pins. "

    18 juin

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    18 min

  • "Tu, mio" de Erri de Luca 2/5 : Au bord d’un précipice de sentiments

    "C’est ainsi qu’on tombe amoureux, en cherchant dans la personne aimée le point qu’elle n’a jamais révélé, qu’elle offre en don uniquement à celui qui interroge, qui écoute avec amour, on tombe amoureux de près mais pas trop, on tombe amoureux à partir d’un angle aigu"

    17 juin

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    19 min

  • "Tu, mio" de Erri de Luca 1/5 : Le poisson n’est poisson qu’une fois dans la barque

    "En descendant pieds nus vers la plage, un jeune garçon pouvait se sentir lisse comme la pierre sous ses pieds, parfumé comme le pain dont l’odeur montait des fours jusqu’à ses narines, adulte parce qu’il allait en mer vers le large et les profondeurs pour manier un art. "

    16 juin

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    18 min

  • Pages arrachées à David Goodis 5/5 : Cauchemar

    "Elle changea le disque et s’assit dans un fauteuil mauve, la tête renversée, les yeux au plafond. Allumez-moi une cigarette, dit-elle. D’habitude, il humectait légèrement l’extrémité de ses cigarettes mais il s’arrangea pour que celle-là fût sèche..."

    13 juin

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    20 min

  • Pages arrachées à David Goodis 4/5 : Obsession

    "Il décida de régler le problème une fois pour toutes. Il se dit qu’il n’y avait qu’une seule façon de le régler. Il aurait bien voulu en trouver une autre, mais il n’y en avait pas. Rien que cette méthode. Une simple et rapide transaction qui mettrait fin aux coucheries "

    12 juin

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    20 min

  • Pages arrachées à David Goodis 3/5 : La garce

    "Georges et Julia étaient heureux dans leur petite maison, ils y vivaient tranquilles. Parfois, pris d’un soudain accès d’exaltation, ils partaient passer le week-end au bord de la mer. C’était merveilleux d’être ensemble "

    11 juin

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    20 min

  • Pages arrachées à David Goodis 2/5 : La nuit tombe

    "C’était par une de ces soirées étouffantes, gluantes, qui obligent Manhattan à avouer son âge. Il y avait quelque chose d’effrayant, de stagnant, dans l’inertie obstinée de cette moiteur sirupeuse. Travailler était la dernière des choses à faire par une soirée semblable…"

    10 juin

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    20 min

  • Pages arrachées à David Goodis 1/5 : Tirez sur le pianiste

    "Au loin, la lueur verdâtre d’un réverbère éclairait les toits des voitures en stationnement, formant une sorte de flaque claire sur les pavés, un écran miroitant pour les ombres mouvantes… "

    9 juin

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    20 min

  • Pages arrachées à Jean Ray 5/5 : Philippe Melot

    "Ouvrant les yeux, je vis un museau hideux et reconnus avec stupéfaction un énorme crapaud venimeux qui s’était tout simplement installé sur ma bouche pour dormir… "

    6 juin

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    20 min

  • Pages arrachées à Jean Ray 4/5 : Francis Lemaire

    "Autour du petit Georges, les gens se rassemblèrent, mais il ne bougeait plus, ses yeux étaient clos et un filet de sang lui coulait lentement du front lui poissant ses pauvres boucles rousses. Le cœur avait cessé de battre. "

    5 juin

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    19 min

  • Pages arrachées à Jean Ray 3/5 : Jean-Pierre Croquet

    "Une rumeur étrange le réveille et l’attire vers la fenêtre. Il voit une troupe d’hommes blêmes et silencieux déambuler par la rue ténébreuse. Ils portent des torches aux flammes livides et tout à coup, de brume et de clair de lune, ils bâtissent des murailles menaçantes : une prison. "

    4 juin

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    19 min

  • Pages arrachées à Jean Ray 2/5 : Patrice Gauthier

    "La blancheur de la neige se piquait de larges carrés de lumière dorée et de travers les ramures dépouillées des arbres, je reconnus le couvent dont les fenêtres vides brillaient d’une aveuglante clarté. "

    3 juin

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    18 min

  • Pages arrachées à Jean Ray 1/5 : Didier Levallet

    Dans le soir, à peine la lampe allumée, une araignée sortit d’un coin feutré d’ombre et de poussière et s’avança sur la blanche vastité du mur. C’était une épeire des caves, noire et velue

    2 juin

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    17 min

À propos du podcast

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du lundi au vendredi de 21h40 à 22h sur France Culture

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