
Entre la livraison imminente d’une table en granit de 4 mètres, les tâtonnements sur la place idéale des postes de manucure ou la façon de disposer les croissants au sarrasin de Gérald Auvrez et les cakes aux huiles essentielles des ateliers Alain Ducasse sur le comptoir de l’espace café à emporter, Christian David évolue dans un tourbillon. En ce mois de septembre, il n’a pas beaucoup dormi. On est à une semaine de la fashion week parisienne et de l’ouverture de la première Maison Kure Bazaar, au 165 de la rue Saint-Honoré (Paris 1er), un lieu spacieux courant sur deux étages, consacré à la beauté des mains et des pieds, que son fondateur a voulu unique en son genre.
Le contraire aurait déçu les adeptes de cette marque lancée il y a douze ans, aujourd’hui distribuée dans une dizaine de pays dans le monde, la première à proposer des vernis écologiques, sans ingrédients toxiques, formulés à partir de coton, de maïs ou encore de pomme de terre, et déclinant une palette de couleurs longue tenue qui n’ont rien à envier aux laques traditionnelles.
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