Françoise Sagan

Françoise Sagan : les dessous d’une entrée en littérature précoce et réussie

Dans le cadre d’une collection consacrée aux romans à scandales, Priscilla Pizzato revient sur « Bonjour tristesse » (1954), le premier ouvrage de l’écrivaine, alors âgée de 18 ans.

Françoise Sagan : « Les Quatre Coins du cœur », un roman inédit pour retrouver l’écrivaine

L’humour, le détachement et l’élégance de l’écrivaine sont au rendez-vous de ce livre, qui paraît jeudi, quinze ans après sa mort. Lecture de Véronique Ovaldé et extraits exclusifs.

Françoise Sagan nostalgie

« Bonjour tristesse » a 60 ans et son auteure est morte il y a une décennie. La réédition d’un passionnant livre d’entretiens, « Je ne renie rien », est l’occasion d’entendre à nouveau sa franchise et sa lucidité.

"Toxique", de Françoise Sagan

Nouvelle édition de cet étonnant journal de désintoxication, illustré par Bernard Buffet, qui avait été publié confidentiellement en 1964.

Françoise Sagan : « Sa justesse m’a touchée en plein coeur »

Toutes, de Chantal Thomas à Nina Bouraoui, d'Annie Ernaux à Brigitte Giraud, se retrouvent pour évoquer le sentiment de liberté qu'elle inspirait.

Françoise Sagan : La pureté du triangle, par Rachel Cusk

Les notices nécrologiques qui suivirent la mort de Françoise Sagan en 2004 étaient imprégnées du sens de l'échec.

Françoise Sagan, femme libre

Ses principaux romans sont réédités, au moment où le film de Diane Kurys la remet en lumière. Des femmes écrivains, françaises et étrangères, témoignent de la manière dont elles ont lu l'auteur de "Bonjour tristesse".

Cette Sagan-là

Françoise Sagan par elle-même

Françoise Sagan : L'élégance, l'humour et la légèreté

Françoise Sagan, l'art d'être soi

La romancière, malade depuis plusieurs mois, est morte vendredi 24 septembre à l'hôpital d'Honfleur des suites d'une embolie pulmonaire.

Françoise Sagan : La dérobade de l’écrivaine jugée pour usage et cession de cocaïne

Françoise Sagan : Le langage de l'argent

Françoise la Sagan

Françoise Sagan, qui vient de publier De guerre lasse, aura bientôt cinquante ans. Mais le titre de son dernier roman n'est pas un aveu. Sagan n'est lasse de rien. Elle confesse avoir toujours le même goût de vivre, et le même souci d'écrire.

Françoise Sagan : « De guerre lasse », le battement d’un papillon entre les paumes

Françoise Sagan : " avec mon meilleur souvenir "

Françoise Sagan : " Écrire c'est essayer de s'oublier "

Françoise Sagan : une vie d’algue

IL y a un peu plus de vingt ans, en mai 1954, paraissait le premier roman de Françoise Sagan. " Bonjour tristesse ", qui allait connaître un immédiat succès. Depuis, avec une disponibilité et une coopération avec la presse exemplaires, Françoise Sagan se prêtait à plus d'une centaine d'interviews, dans la presse écrite ou parlée, dont le caractère de spontanéité, de sincérité, d'authenticité frappait chaque fois. C'est de cet ensemble d'entretiens qu'est tiré le livre qui vient de paraître sous le titre " Réponses ".

Françoise Sagan : « La jeunesse, après trente ans, c’est fini »

Françoise Sagan : un roman qui ne fait pas battre " La chamade "

Françoise Sagan : " Château en Suède ", sa première pièce

Françoise Sagan : Aimez-vous Brahms ? , son quatrième et très bon roman

Françoise Sagan est encore dans un état très grave après son accident de voiture

Grièvement blessée le 13 avril 1957 au début de l'après-midi dans un accident d'automobile, sur la route nationale 448, la jeune romancière Françoise Sagan est toujours dans le coma. Mais une très légère amélioration de son état, insuffisante toutefois pour permettre aux médecins de se prononcer définitivement, était constatée, à la fin de la matinée, à la clinique Maillot, où l'on s'efforce de la sauver. Les blessures de ses trois compagnons de roule ne mettent pas leur vie en danger.

Françoise Sagan : « Bonjour tristesse », un petit chef-d’œuvre de cynisme et de cruauté

Tout semble fade après la lecture de ce livre, écrit par une jeune fille de 18 ans, probablement très pure, mais d’imagination inventive. Cet article est paru dans « Le Monde » du 26 mai 1954.