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Nationalit� : Royaume-Uni
N�(e) � : Weston-super-Mare (Royaume Uni) , le 27/10/1939
Biographie :

John Marwood Cleese CBE est un acteur britannique. Il est devenu mondialement connu lors de ses prestations avec les Monty Python.

Il fait des �tudes au Clifton College � Bristol et est admis en droit au Downing College de l'Universit� de Cambridge. Avec son habilet� naturelle � faire rire, il est invit� � se joindre � la troupe de th��tre Footlight d�s la premi�re ann�e. C�est l� qu�il rencontre son futur partenaire d��criture Graham Chapman. Gr�ce � son talent d�auteur comique, il est engag� par la BBC, o� il travaille notamment pour l'�mission de radio The Dick Emery Show. Bient�t, il quitte ses fonctions pour rejoindre le Cambridge Circus en tourn�e en Nouvelle-Z�lande et aux �tats-Unis, � Broadway.

Cleese d�cide de rester aux �tats-Unis pendant quelque temps, et collabore � un magazine appel� Help! mais finit par rentrer � Londres en 1965.
Lorsque Terry Gilliam arrive des �tats-Unis commence l�aventure de la fameuse s�rie Monty Python's Flying Circus, pr�sent�e pour la premi�re fois en octobre 1969 sur les petits �crans britanniques. C'est un succ�s consid�rable et imm�diat. Une deuxi�me saison est pr�sent�e
Pr�occup� par le manque d�originalit� des sketches de la troupe, John Cleese d�cide de quitter le Flying Circus qui se dissout apr�s sa quatri�me saison. L��quipe se r�unit n�anmoins au complet � nouveau pour r�aliser le film Monty Python : Sacr� Graal !, qui sort au printemps 1974.
M�me si les Pythons poursuivent chacun des carri�res solo, ils font une tourn�e aux �tats-Unis et au Canada, puis r�alisent en 1978 Monty Python : La Vie de Brian (Monty Python's Life of Brian), le film pr�f�r� de John Cleese (selon ses propos dans le making-of de "The meaning of life"). Ensuite vient le film Monty Python : Le Sens de la vie (Monty Python's The Meaning of Life) en 1983.
Monty Python n�est qu�une des nombreuses facettes du talent de John Cleese. En Grande-Bretagne, il est apparu dans The Muppet Show, a jou� le r�le de Petrucho dans Taming of The Shrew, une s�rie de la BBC. En dehors de Monty Python, Cleese a �t� de la distribution de nombreuses com�dies durant les ann�es 1980.
Le plus grand succ�s de Cleese au cin�ma demeure Un poisson nomm� Wanda
En 1972, il a fond� Video Arts. Il a aussi co-�crit deux livres avec le psychiatre Robin Skynner : La famille, comment s'en d�p�trer (Families and How to Survive Them, 1984) et Comment �tre un n�vros� heureux (Life and How to Survive It, 1993).


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Source : Wikip�dia
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JOHN CLEESE - LAST TIME TO SEE ME BEFORE I DIE!


Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
D�s le d�part, je sentis que quelque chose clochait. Le public ne riait pas aux endroits habituels, puis gloussait alors que nous ne nous y attendions pas ; ou bien il s'esclaffait pendant le pr�ambule d'une blague et restait parfaitement silencieux lors de sa chute. Nous �tions perdus. D�s le tomber de rideau, tout le monde se mit � en discuter pour essayer de comprendre ce qui venait de se passer. Michael ne tarda pas � nous fournir l'explication: l'ensemble des billets avaient �t� achet� par les organisateurs d'un congr�s qui se tenait � Londres...un congr�s de psychiatres. La salle �tait pleine de psys.
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Quand James Thurber a d�crit l'humour comme " Un chaos �motionnel qu'on se rem�more lors de moments tranquilles", il voulait souligner qu'il est important de relativiser : ce n'est pas grave de rire des malheurs temporaires, surtout quand il s'agit des n�tres. Il est m�me plut�t sain de savoir rire de soi-m�me, et personne n'appr�cie les gens qui se prennent trop au s�rieux. Un bon sens de l'humour d�note une bonne sant� mentale, ce qui explique que les personnes qui en sont d�pourvues soient ou bien pompeuses (imbues d'elles m�mes), ou bien n�vros�es (trop sensibles).
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La d�finition la plus perspicace du l�che a �t� donn�e par Ambrose Bierce : "Quelqu'un qui en cas de danger r�fl�chit avec ses jambes ."
Cette r�action fort sage est selon moi la raison pour laquelle les g�n�raux veulent toujours ex�cuter les l�ches ; s'ils les laissaient en vie, la tactique de la fuite se r�pandrait si vite dans les rangs de l'arm�e que les chefs se retrouveraient au ch�mage du jour au lendemain - ou alors, ils seraient oblig�s d'aller eux-m�mes au combat, ce qui ne fait pas partie de leur attributions.
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L'humour �tait-il par essence cruel? Il est vrai qu'il repose souvent sur un fond de critique.
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(...) La vraie col�re appartient � la vraie vie, pas � la com�die. Pour �tre dr�le, la col�re doit �tre impuissante.
Si l'enfant doit apprendre � vivre en soci�t�, il ne pourra rep�rer les limites que si elles sont clairement dessin�es et souvent r�affirm�es.

Un gamin assis sur une chaise dans le noir au milieu d'une pi�ce inconnue.
Il doit avoir le courage de quitter sa chaise pour explorer la pi�ce. Mais il fait sombre, et l'enfant ne saitpas o� se trouvent les murs. Pourtant, il va falloir qu'il parte � l'aventure, qu'il se cogne contre les murs pour les situer de fa�on claire et pr�cise. Ensuite, il pourra exploiter toute la pi�ce sans crainte, tout � sa curiosit�. Mais si les murs ne sont pas l�, il aura peur : comment savoir jusqu'o� il peut aller. S'il va troploin, il va peut-�tre basculer dans le vide ! Ou bien il ne saura pas revenir vers sa base quand il le voudra.
En lui donnant des murs contre lesquels se cogner, les parents lui donnent le courage d'explorer.
Quand il aura trouv� le mur, il devra �tre capable de cogner dessus ! Il ressentira assez de rage ou de frustration � ce moment-l�.
Avant d'�tre s�r de soi, il faut apprendre � vivre ses �motions jusqu'aubout, pour �tre en mesure d'affronter les plus extr�mes. Une fois qu'on a atteint et situ� les limites sans provoquer de catastrophe ni pour soi-m�me ni pour ceux qu'on aime, on se sent rassur� et on peut accepter sa col�re. On se sait capable de la g�rer.
Mais bien s�r tu ne peux faire ce genre d'exp�rience quelqu'un est l� pour te prot�ger et pour se prot�ger lui-m�me des sentiments violents, meurtris ou autres que tu risques de ressentir.
Une �ducation stricte ne pose pas trop de probl�mes tant que l'enfant re�oit aussi beaucoup d'amour. Cela donne des adultes moins ouverts, plus conformiste - des conservateurs qui acceptent la hi�rarchie et l'autorit� plus docilement - mais qui vont s'ins�rer plus ais�ment dans les organismes, tels l'arm�e, la police, l'administration, la justice...
Les enfants ont besoin de limitent clairement d�finies pour :
- apprendre � vivre en soci�t�
- �chapper � l'angoisse de ne pas savoir o� ils sont
- quand ils sont tout petits, se sentir assez soutenus pour pouvoir exprimer leurs �motions les plus extr�mes, les d�couvrir, s'y habituer et apprendre � les ma�triser.

Les craintifs, les timides ont �galement �t� contraints et forc�s de se conformer aux d�sirs de leurs parents. Mais cette pression n'a pas �t� exerc�e par la fermet�, elle l'a �t� par la culpabilisation : si tu fais �a, je serai tr�s pein�(e) ; si l'enfant n'est pas sage, ils vont l'abandonner. C'est mettre l'enfant dans une camisole de force ou l'amener � s'y mettre lui-m�me. En le rendant responsable du bonheur des parents, de leur vie, de la situation familiale, qui repr�sente pour l'enfant la garantie de sa propre vie. Ces gens ont alors peur des d�g�ts que cela entra�nerait. Ils n'ont jamais pu cogner contre le mur parce qu'on les a persuad�s que cela ferait �crouler la maison. Du coup ils sont terrifi�s � l'id�e de s'affirmer.
Si les membres des familles malsaines ont � ce point besoin les uns des autres, c'est parce qu'aucun ne fonctionne tout � fait.
Certaines personnes sont plus � l'aise avec les insultes et les invectives : elles peuvent se mettre � distance et consid�rer que la critique �tait "impolie". Cela leur permet de rejeter la critique au lieu de se demander si elle touche juste.
La d�pression aigu�

Nous avons tous une constitution chimique, tout ce qui se produit en nous implique des changements chimiques. Les m�dicaments sont donc utiles comme une mesure temporaire pour d�faire le cercle vicieux de changements chimiques qui se produit lors d'une d�pression aigu� et qui interf�re avec la capacit� du patient de coop�rer et de r�fl�chir en toute lucidit�, jusqu'au point o� la psychoth�rapie s'av�re inutile (...)
Ces sch�mas obligent continuellement le corps � produire ces constituants chimiques que les m�dicaments sont cens�s contrer. Si tu peux changer le sch�ma automatique de r�action, la personne ne sera plus d�prim� de la m�me fa�on, ou elle pourra se passer enti�rement de m�dicaments.
Lorsque les patients ont presque termin� leur th�rapie, lorsqu'ils ont compris que, sans s'en rendre compte, ils cr�aient eux-m�mes leurs difficult�s, ils me demandent presque toujours pourquoi je ne leur ai pas dit �a plus t�t. Bien entendu, je n'ai pas arr�t� de le leur dire, � chaque s�ance ou presque, depuis le d�but, mais �a les mettait en rage.
S'ils sont alors capables de se moquer d'eux-m�mes, s'ils �clatent de rire � leur tour, conscients du ridicule de toutes ces histoires, leur th�rapie est vraiment termin�e.

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