Chapitre 4 YOlectrociny Tique 9 36
Chapitre 4 YOlectrociny Tique 9 36
Fonctionnement générateur :
le dipôle fournit effectivement
de la puissance au circuit. P fournie/géné = ui > 0 P reçue/géné = ui < 0
Exemples : piles, batteries à la
décharge, GBF, prise EDF...
Fonctionnement récepteur : le
dipôle consomme/reçoit effec-
tivement de la puissance de la
part du circuit. P fournie/récept = ui < 0 P reçue/récept = ui > 0
Exemples : résistor, diode, élec-
trolyseur, batteries à la charge...
Application 7
Soit le dipôle inconnu suivant :
D
I
Puissance Application
# 0, 1 W Puissance absorbée par un résistor au labo
#1W Puissance délivrée par une pile bâton
# 10 − 100 W Puissance délivrée par une batterie de voiture / d’ordinateur
# 1 kW Puissance consommée par une plaque électrique / un radiateur
# 10 kW Consommation d’un foyer en hiver
# 100 kW Puissance délivrée par le moteur d’une voiture
# 1 MW Puissance délivrée par un réacteur de centrale nucléaire
î Définition
Point de fonctionnement : Un point de fonctionnement est un
point M de coordonnées (u,i ) dans le repère où la tension R
A/mA
et le courant sont portés sur les axes repérages.
Caractéristique statique : La caractéristique statique tension- A
courant d’un dipôle s’obtient en relevant l’ensemble des
points (U ,I ) de fonctionnement statique. Concrètement, COM V/mV
on fait varier "très lentement" la valeur de la tension.
D u V
Caractéristique dynamique : En régime variable, la trace du
spot d’un oscilloscope, dont les déplacements horizon- i COM
taux et verticaux sont proportionnels à la tension et à l’in-
tensité, donne la caractéristique dynamique du dipôle.
î Définition
n Courant de court-circuit : On appelle courant de court-circuit la I
valeur du courant à tension u nulle, dans la caractéristique sta-
tique. I0
Tension à vide : On appelle tension de coupe circuit ou tension à
U
vide la valeur de la tension à courant nulle, dans la caractéristique U0
statique.
I I
n Un dipôle passif est un dipôle dont la caractéristique passe par
l’origine. Il n’est pas capable de fournir de l’énergie au circuit.
U U
Exemple : Résistor, diode, fil de connexion...
Dans le cas contraire, le dipôle est actif.
Exemple : Pile, alimentation stabilisée... passif actif
On considère le circuit suivant et on donne la caractéristique du dipôle de droite appelé diode Zener. On donne
e = 6, 00 V et r = 300 Ω.
5.1 Déterminer un modèle linéaire équivalent de la diode Zener dans chacun de ses domaines de fonctionnement.
5.2 En écrivant la loi des nœuds et la loi des mailles, établir un système de deux équations reliant i , j , k, e et r .
2(e − u)
5.3 En déduire la loi du dipôle alimentant la diode Zener : i = .
r
5.4 Déterminer le point de fonctionnement.
i =0 i =0
n La puissance instantanée reçue (convention récepteur) par un résistor est toujours positive
P = u(t )i (t ) = Ri 2 (t )
Le résistor absorbe donc toujours de la puissance, mais n’en restitue jamais au circuit. Elle est perdue
sous forme de chaleur : Le conducteur ohmique chauffe et transfert cette puissance par transfère ther-
mique à son environnement. C’est l’effet Joule.
1
E m = Li 2
2
n La puissance fournie à la bobine, ou restituée par celle-ci ne pouvant être infinie, cela implique que le
courant i traversant la bobine ne peut subir de discontinuité !
u
n Une source idéale de courant délivre un courant j , appelée courant électromo-
teur (c.é.m), indépendant de la tension à ses bornes. j
R R
u u
u = R × j +R ×i u = R × j −R ×i
D1 D2
i i
R1 R2 RS = R1 + R2
⇔
L1 L2 LS = L1 + L2
⇔
C 1C 2
CS =
C1 C2 C 1 +C 2
⇔
e1 e2 eS = e1 + e2
r1 r2 rS = r1 + r2
⇔
D1
D2
1 1 1 R 1 .R 2
G P = G 1 +G 2 ⇔ = + ⇔ RP =
RP R1 R2 R1 + R2
R1 R1 R2
RP =
R1 + R2
R2 ⇔
L1 L1L2
LP =
L1 + L2
L2 ⇔
C1
C P = C 1 +C 2
C2 ⇔
R1
R1 R2
j1 RP =
R1 + R2
⇔
R2
jP = j1 + j2
j2
Calculer la résistance et la f.é.m équivalentes du circuit entre les bornes A et B pour les montages suivants :
R2
R1
A R R
R3
A B
R R R
R R
R4
B
E
R R
A
E J
R 3R
R1 u1 = R1
u1 = u R 1 +R 2
R1 + R2
1 Pour chacun des circuits ci-dessous, exprimer la tension U en fonction des données.
3R
i
i0
R 2R 3R
7.4 Conséquence de la linéarité des dipôles et des lois de Kirchhoff : le théorème de superposition
î Théorème de superposition
Dans un circuit ne comportant que des dipôles linéaires et plusieurs sources idéales, la tension entre deux
points (respectivement le courant dans une branche) est égale à la somme algébrique des tensions (res-
pectivement des courants) que l’on obtient en faisant agir séparément chacune des sources indépendantes
du circuit. Les autres sources indépendantes sont alors éteintes :
— une source de tension éteinte devient un court-circuit (fil) ;
— une source de courant éteinte devient un circuit ouvert.
e
0
éteint
j 0
éteint
• je transforme mon circuit / j’applique des lois d’Ohm, des lois de diviseur...
E
J
I
U R R R
1 À l’aide du théorème de superposition, de la loi d’Ohm et des lois de Kirchhoff, déterminer le courant i .
8 Modélisation de quadripôles
8.1 Résistance de sortie d’un générateur, résistance d’entrée d’un voltmètre
Ordres de grandeur : Résistance de sortie d’un générateur, résistance d’entrée d’un voltmètre
Application Résistance
Résistance de sortie d’un GBF 50 Ω
Résistance d’entrée d’un voltmètre /d’un oscilloscope # 10 MΩ
1 Faire un schéma du montage. On fera apparaître clairement la tension de sortie du GBF (celle qu’on peut
mesurer avec un voltmètre).
2 Exprimer cette tension en fonction de la f.e.m. du GBF, de sa résistance de sortie, et de la résistance de charge R.
3 Pour quelle valeur de R la tension de sortie vaut-elle la moitié de la f.e.m. ?
4 À partir de quelle résistance R peut-on négliger la chute de tension aux bornes de la résistance de sortie du
GBF ?
î Définition
n Un quadripôle est un circuit électrique relié à l’exté-
Rs
rieur par quatre bornes : deux en entrée et deux en sor- ie is
tie.
n En régime permanent, l’entrée peut être modélisée par
une résistance d’entrée R e , en convention récepteur ; ue Re es us
n la sortie peut être modélisée par un générateur de Thé-
venin (e S , R s ), en convention générateur.
R e2 À R s1 R s1 R s2
i e1 i s1 i e2 is
.
n Lorsque l’on cherche à transmettre le maximum u e1 de puis-
R e1 e s1 u s1 u e2 R e2 e s2
sance entre deux quadripôles, on s’assure que les résis-
tances d’entrée et de sortie soient égales. On réalise ainsi
l’adaptation d’impédance.
R e2 = R s1
Capacités exigibles :
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une résistance équivalente.
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
1 Cocher la ou les bonnes réponses.
1.1 Dans le circuit, ci-contre :
I4 R4 R5
R1 I 1 R2 R3
q R 1 et R 2 sont en série q R4 et R5 sont en série A C
q R 1 et R 4 sont en série q R4 et R5 sont en parallèle B
q R 1 et R 4 sont en parallèle q R3 et R5 sont en série
q R 2 et R 3 sont en série q R3 et R5 sont en parallèle I
E
1.2 En considérant que toutes les résistances ont même valeur R = 1, 0 kΩ, les résistances équivalentes
valent :
3 2 1 7 7
q R AB = 2 kΩ q R AB = 3 kΩ q RBC = 2 kΩ q RBC = 2 kΩ q R AC = 6 kΩ q R AC = 2 kΩ
1.3 La tension u AB est reliée à E par :
R AB R AB 3
q u AB =
R AB + R BC
E q u AB = −
R AB + R BC
E q u AB = E
7
R BC 4 4
q u AB =
R AB + R BC
E q u AB =− E
7
q u AB = E
7
R AB R AB 4
q uC B =
R AB + R BC
E q uC B = −
R AB + R BC
E q uC B = − E
7
R BC 3 3
q uC B =−
R AB + R BC
E q uC B =− E
7
q uC B = E
7
R1 R2 3R/7
E1 R3 u E2 E R 2R 4R
R/2
i i 2 R/10 4R
3R 6R R i1 i5 i6
R i3
E i E R 16R 8R
R 2R R 4R
i4
R R/3 2R i R
i
R/2
R 2R
E R/4 3E J
2E
i
2R 2R
2R 2R
E1 E2
Capacités exigibles :
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une résistance équivalente.
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
On considère le réseau ci-dessus comportant entre autres un dipôle non linéaire (DNL). On dispose d’un tableau
de valeurs permettant de tracer la caractéristique de ce dipôle, U représentant la tension à ses bornes et I l’inten-
sité le traversant en conventions récepteur.
U (V) 0 0, 10 0, 20 0, 30 0, 40 0, 50 0, 60 0, 66 0, 70 0, 73 0, 75
I (mA) 0 16 36 64 100 160 280 400 500 630 780
Capacités exigibles :
Utiliser la loi des mailles.
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
Capacités exigibles :
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
Étudier l’influence des résistances d’entrée ou de sortie sur le signal délivré par un GBF, sur la mesure effectuée
par un oscilloscope ou un multimètre.
Contrariété expérimentale : du bon usage du voltmètre
Capacités exigibles :
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Exprimer la puissance dissipée par effet Joule dans une résistance.
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une résistance équivalente.
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
adapté de G2E 2014
Longtemps après son démarrage, on peut supposer qu’un TGV fonctionne en régime permanent. La puissance
électrique nécessaire à son fonctionnement est fournie au TGV à partir de sous-stations électriques implantées
tout le long de la voie et espacées d’une distance ` = 60 km. Elles sont reliées par un fil conducteur, la caténaire,
suspendu au-dessus des rails. La motrice TGV reçoit l’alimentation de la caténaire par un contact glissant appelé
pantographe sur son toit. Tous les moteurs électriques de la locomotrice sont montés en parallèle entre le panto-
graphe et les rails qui servent de liaison masse à la Terre, conformément au schéma ci-dessous
Les sous-stations électriques seront assimilées à des générateurs idéaux de f.é.m. E constante et identique pour
toutes les sous-stations.
On admettra que les moteurs de la locomotive se comportent, d’un point de vue électrique, de la même manière
qu’un générateur idéal de courant, imposant un courant I 0 constant orienté de la caténaire vers le sol comme sur
le schéma ci-dessus.
Le mardi 3 avril 2007, à 13h14, la SNCF, associée à la compagnie ALSTOM, portait le record du monde de vitesse
sur rail à la valeur 574, 8 km.h−1 au point kilométrique 194 de la ligne à grande vitesse est-européenne.
Lors du record de vitesse, la puissance des moteurs était augmentée par rapport aux moteurs habituels et la ten-
sion d’alimentation en sortie des sous-stations avait été montée exceptionnellement à E = 31, 2 kV sur la zone
du record à la place des 25 kV habituels. Au moment du record, l’intensité électrique reçue au pantographe a été
mesurée : elle était de I 0 = 800 A.
Pour l’étude qui va suivre, on s’intéresse au trajet du train entre deux sous-stations. On supposera que la section
transverse de la caténaire (surface transversale du fil) est de s = 1, 47 cm2 . La caténaire est en cuivre, métal dont la
conductivité est de σ = 5, 82 · 107 Ω−1 .m−1 .
Le rail rectiligne est confondu avec l’axe (Ox) dont l’origine O(x = 0) est placée au niveau de la sous-station à
gauche sur le schéma. La variable x ∈ [0, `] repère à tout instant la position de la locomotive entre les deux sous-
stations d’alimentation (voir le schéma en début d’énoncé).
`
Une longueur ` de rail est équivalente à un conducteur ohmique de résistance R = σs . Nous allons chercher tout
d’abord à justifier que le rail peut être modélisé par un simple fil de résistance nulle.
1 Évaluer approximativement la surface de sections rail d’un rail de chemin de fer, en cm2 .
2 En considérant que le rail est fait du même métal que la caténaire (donc même valeur de conductivité),justifier
que l’on puisse négliger la résistance du rail devant celle de la caténaire (que l’on notera R dans la suite)
3 Déterminer la résistance totale R de la caténaire entre les deux sous-stations considérées et effectuer l’ap-
plication numérique.
4 Donner l’expression de la résistance R 1 de la portion de caténaire amenant le courant à la locomotive depuis
la sous-station de gauche. On exprimera d’abord R 1 en fonction de σ , s et x et/ou `, puis on réexprimera le
résultat en fonction de R, ` et x (on rappelle que R désigne la résistance totale de la caténaire entre les deux
sous-stations).
5 Même question pour R 2 , résistance électrique de la portion de caténaire amenant le courant à la locomotive
depuis la sous-station de droite, que l’on réexprimera en fonction de R, ` et x.
Le système électro-mécanique étudié est donc équivalent au circuit électrique ci-dessous.
15 En déduire l’énergie E c,t0 →t f consommée par les moteurs de la locomotive, toujours le long du tronçon
considéré. On donnera le résultat en fonction de E , R, I 0 , ` et v 0 .
E c,t0 →t f
16 Exprimer le rendement de ce mode d’alimentation de la locomotive, que l’on définit par : η = E f ,t0 →t f en
fonction de R, I 0 et E . Faire l’application numérique, exprimée en %.
Capacités exigibles :
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Exprimer la puissance dissipée par effet Joule dans une résistance.
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
Caractéristique réelle d’une diode
On idéalise la caratéritique statique de la diode présentée ci-dessus : Si u < 0, i = 0 (diode non passante) ; et sinon
la diode est passante, u = 0 pour i quelconque positif.
6 Cette diode est mise en série avec un résistor. Quelle est la caractéristique du dipôle D formé de l’ensemble
des deux ?
7 Le dipôle D est alimenté par une source de tension sinusoïdale e(t ) = e 0 cos(ωt ), où ω est la pulsation.
Qu’observe-t-on sur un oscilloscope mesurant la tension aux bornes de la diode ? On fera un schéma du
montage.
Capacités exigibles :
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une résistance équivalente.
On considère la chaîne infinie de résistances représentée sur la figure ci-dessous. Quelle est la résistance équiva-
lente entre A et B ?
R2 R3
R1
R6 R5 R4
Capacités exigibles :
Utiliser la loi des mailles.
On considère le circuit suivant, dans lequel la nature des dipôles n’est pas
précisée.
Capacités exigibles :
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une
résistance équivalente.
Calculer la résistance équivalente du circuit entre les bornes A et B pour les montages suivants :
MPSI Chapitre 4- Introduction à l’électrocinétique 2023-2024
R2
A
R R
R1
A R R
R3 R R R
A B R R
R R R
R R
R4 R R R
R R B
Capacités exigibles :
Utiliser la loi des mailles.
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une résistance équivalente.
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
1 Calculer UE F ,
2 Calculer l’intensité I 0 circulant dans la branche
principale ;
3 Calculer l’intensité I 0 circulant dans la branche
contenant le générateur E 0 (préciser son sens) ;
4 Calculer les intensités i 1 , i 2 et i 3 .
Données : R = 1, 0 Ω, E = 5, 0 V et E 0 = 3 V.
Capacités exigibles :
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
1 Dans les circuits ci-dessous, déterminer la grandeur demandée :
i? i?
2r 2r
E E E 3r 2r
3r u? 3r
a. b. c.
r
i?
3r 2r
E r
E E 2r 3r
3r 2r u?
i?
r
d. e. f.
6
5r
2r 3r
E i?
I0 2r I0
3r 2r
3r 2r u?
3r u?
g. h. i.
r
r
E r 2r 3r u?
2r r r u?
j. k.
Capacités exigibles :
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
On considère un dipôle non linéaire (DNL) dont on dispose d’un tableau de valeurs permettant de tracer la ca-
ractéristique de ce dipôle, U représentant la tension à ses bornes et I l’intensité le traversant en conventions
récepteur.
1 Tracer sa caractéristique.
2 Déterminer l’intensité traversant ce dipôle, sachant qu’il est branché à un générateur de f.e.m.E = 5, 0 V et
de résistance interne 50 Ω.
Capacités exigibles :
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
Un dipôle actif présente la caractéristique statique courant-tension expérimentale suivante, donnée en conven-
tion récepteur.
Capacités exigibles :
Modéliser une source en utilisant la représentation de Thévenin.
Remplacer une association série ou parallèle de deux résistances par une résistance équivalente.
Établir et exploiter les relations des diviseurs de tension ou de courant.
1 Déterminer l’intensité i sur le schéma ci-dessous.
Capacités exigibles :
Utiliser la loi des mailles.
Utiliser la loi des noeuds.
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
1 À quelle condition les deux montages triphasés suivant sont-ils équivalents ?
Capacités exigibles :
Utiliser la loi des mailles.
Utiliser les relations entre l’intensité et la tension.
Une thermistance, c’est-à-dire un résistor dont résistance R(T ) dépend de sa température peut être utilisée comme
capteur de température. La loi de dépendance étant donnée par la courbe suivante :
il suffit de connaître R(T ) pour accéder à la température. À cette fin, une thermistance est placée dans le circuit
ci-contre. Les autres résistances identiques r ne dépendent pas de la température.
Exercice 17 Ç Résolution de problème : Résolution de problème : Vitesse des électrons dans un fil
Capacités exigibles :
Exprimer l’intensité du courant électrique en termes de débit de charge
1 Estimer la vitesse d’ensemble des électrons dans un fil.
On donne :
• la masse molaire du cuivre : M = 63, 5 g.mol−1 ;
• la masse volumique du cuivre : ρ = 8, 96 · 103 kg · m−3 ;
• chaque atome de cuivre libère un électron libre ;
• un fil de section 2, 5 mm2 supporte 20 A.
Solutions
Solution 1
1) u = RE11RR22+R
R 3 +E 2 R 1 R 3
2 R 3 +R 3 R 1
; 2) i = E
7R ; 3) i = E
12R ; 4) i = 2E
R , i 1 = i 2 = RE , i3 = 9 E
10 R ,
E
i 4 = − 10R , i5 = i6 =
³ ´
E 4u 28E 1 E
¡ ¢ 1 E1
20R ; 5) i = R = 5R ; 6) i = 3 R +J ; 7) 6R 2 + E2 .
Solution 2
1) UD N L = 0, 71 V et I D N L = 560 mA
Solution
³ 3 ´
1) u = R3R+R
3
4
− R1
R 1 +R 2 E ; 2) R 1 = 36, 5 Ω ; 3) R 1 = 36, 5 ± 0, 3 Ω
Solution 4
1) u M N = u P M = 2e = 12 V ; 2) u P N ,mesuré = e = 24 V, u P M ,mesuré = e
3 = 8, 0 V, u M N ,mesuré = e
3 = 8, 0 V ; 4)
R
u = R+r e ; 5) r ≈ 50 Ω
Solution 5
1) s rail = 50 cm2 ; 3) R = 70 Ω ; 4) R 1 = `x R ; 5) R 2 = 1 − `x R ; 6) I 1 = 1 − `x I 0 , I 1 =
¡ ¢ ¡ ¢
2) s ¿ s rail ;
x x
1 − `x I 0 ; 7) P c = E I 0 − R I 02 × `x × 1 − `x I 0 ; 8) P J = R I 02 × `x × 1 − `x I 0 ; 9) P f =
¡ ¢ ¡ ¢ ¡ ¢
I
` 0 , V = E − R I 0 × ` ×
R I 02 `
E I0 ; 10) P c = P f − P J ; 11) P J (t ) = R I 02 v 0 t (`−v
`2
0t)
; 12) t f = 3, 8 · 102 s ; 13) E J ,t0 →t f = 6v 0 ; 14)
E I0` (E I 0 −R I 02 )` R I0
E f ,t0 →t f = v0 ; 15) E c,t0 →t f = v0 ; 16) η = 1 − 6E = 97%.
Solution 6
(E −E 0 )(R 0 E +RE 0 )
2) U = 0, 5 V + 5I ; 3) R = 5, 0 Ω, P diode = 0, 1 W, P géné = 0, 1 W ; 5) P (R) = (R+R 0 )2
Solution 7
1) R eq = 2R.
Solution 8
1) u AC = −5 V, uC D = 9 V, u DE = −12 V.
Solution 9
R1 R2 R4 + R1 R3 R4 + R2 R3 R4 3 11
1) R eq = ; 2) R eq = R ; 3) R eq = R.
R1 R2 + R1 R3 + R2 R3 + R2 R4 + R3 R4 2 15
Solution 10
1) UE F = 1, 0 V ; 2) I 0 = 0, 83 A ; 3) I 0 = 0, 17 A ; 4) i 1 = i 3 = 0, 33 A, i 2 = 0, 17 A.
Solution 11
E E
a. u = 35 E ; b. i = 5r ; c. i = 5E
6r ; d. u = 6E
11 ; e. i = 3E
11r ; f. i = 5E
6r ; g. u = 3r I 0 ; h. u = 3 ;
3I 0 E
i. i = 5 ; j. u = E ; k. u = 6.
Solution 12
UD N L = 0, 39 V et I DNL = 93 mA.
Solution 13
1) U = 56 V + 80I , U = 10 V + 3, 3I , I = 0 A.
Solution 14
E
3 − α2
¡ ¢
1) i = − 6R
SolutionQ15
r
1) R i = Pj 6=i j , i ∈ {1, 2, 3}.
k rk
Solution 16
r (3V +r I 0 )
1) V = r3r
(R(T )−r )
+R(T ) I 0 ; 2) R(T ) = r I 0 −V ; 3) R(T ) = 2004 Ω, T = 12, 41◦ C.
Solution 17
1) v#0, 1 mm.s−1 .