Electrocinetique Cours
Electrocinetique Cours
Edition 6 - 06/09/2020
ELECTROCINETIQUE
CHAÎNE D’INFORMATION
CHAÎNE D’ENERGIE
Sommaire
A.Les dipôles! _______________________________________________________________3
B.1.Méthodes de Kirchhoff 12
B.1.1. Définition
B.1.2. Exemple
B.2.Théorème de Millmann 13
B.2.1. Enoncé
B.2.2. Exemple
B.3.Montages particuliers 14
B.3.1. Diviseur de tension
B.3.2. Diviseur de courant
B.3.3. Loi de Pouillet
B.4.Circuits équivalents au sens de Thévenin et Norton 15
B.4.1. Théorème de Thévenin
B.4.2. Théorème de Norton
B.4.3. Equivalence Thévenin - Norton
B.4.4. Exemple
C.Etude des réseaux en régime transitoire!______________________________________21
A. Les dipôles
A.1. Généralités sur les circuits électriques
Ce circuit comporte :
• six dipôles D1 à D6
• deux noeuds B et E
• trois branches BE, BCDE et BAFE
dq
I= où q est la charge en Coulomb (C), t le temps en seconde (s) et I l’intensité en Ampère (A)
dt
Notes
On appellera tension cette différence de potentiel. Cette tension est représentée dans un circuit électrique par une
flèche dont l'extrémité désigne le potentiel le plus élevé.
cours
Un fil électrique ne générant que des pertes infimes, la différence de potentiel aux bornes d’un fil est nulle.
Electrocinétique
A i B
Un dipôle électrique est caractérisé par deux grandeurs électriques :
: i
dipôle • l’intensité i qui le traverse
• la différence de potentiel, ou tension, entre les deux bornes du dipôle
uAB
i UAB UAB
D1
1-5), les Dipôle en convention récepteur Dipôle en convention générateur
D1) et Figure 1-5
u
i
D2
Notes
= f(i) ou i = f(u) reliant la tension u à leurs bornes au courant i les
ne (i = 0, u = 0),
t actif. Caractéristique
Figure 1-6
Lycée Jules Ferry - 06400 Cannes [email protected]
u 4/28
0
ssance correspondant à la puissance maximale qu'accepte le
ELECTROCINETIQUE COURS
i
Dipôle 1
Remarque : si deux dipôles sont reliés entre eux, les conventions peuvent être
UAB récepteur pour l’un et générateur pour l’autre :
i
Dipôle 2
U
En convention récepteur, la relation caractéristique s’écrit :
A I B
R UAB = RI ou I = GUAB : Loi d’Ohm
Notes
e
A I B Quel que soit le courant I, la tension UAB = e
U
η
Quelle que soit la tension UAB, le courant I = η
A I B
η est appelé courant électromoteur.
I
UAB
η U
Notes
ELECTROCINETIQUE COURS
u
0i
Les dipôles Edition 6 - 06/09/2020
Ainsi, pour ce modèle, on peut écrire :
I
Une diode est un dipôle unidirectionnel, dont les bornes sont appelées
ID Anode (A) et Cathode (K).
- si u us alors
. . . . . . . . . . . . . . .. . Si
. . ..UD<0 alors la diode est dite en polarisation inverse. Elle est bloquée,
UD
et se comporte comme un interrupteur ouvert.
Si U >0 alors la diode est dite en polarisation directe. Elle est U
Soit : u = . . . . . . . . . . . . . D. . . . . . . . . . . modèle « source de tension réelle» :
passante, sa résistance est nulle, et elle se comporte comme un
interrupteur fermé.
Diode réelle
I
Us est appelée tension de seuil et r : résistance dynamique de la diode.
Une diode réelle possède :
Remarques :
- Très • une résistance
souvent interne,
on néglige appelée
la résistance résistance
dynamique dedynamique
la diode (voirRmême
s sa tension de seuil, pour
une tension
les• montages de seuil Vs, au delà de laquelle la diode devient passante
de puissance)
U
- La diode a 2 modèles de comportement suivant la tension à ses bornes. Pour étudier un montage
Vs
avec une diode, il faut donc étudier les deux configurations possibles ( cf TD)
4. LES
A.2. Méthodes
ASSOCIATIONS ; DIPOLES EQUIVALENTS
d’étude
DE DIPOLES
a. Association en série
Elle A.2.1. Association
concerne en série
l’additivité des tensions le long d’une branche
n
uk u
k 1
L’association en série de dipôles s’appuie sur l’additivité des tensions le long d’une branche
Dipôles de même nature A.2.1.1. Association de résistances en série
Conducteur ohmique :
R1 R2 I Rn
n n ⎛n ⎞
( )
U = ∑ Ui =∑ RiI = ⎜⎜∑Ri ⎟⎟I = ReqI
u = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .= . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .= ( R1 + R 2 +…+
i=1 R ni=1) i = Req⎝×i=1i ⎠
Avec ReqU U2 résistance équivalente à l’association Un série
n
=1 R k
k 1
Source de tension : U
n
e1 e2 en
La résistance équivalente à n résistances connectées en série vaut : Req = ∑Ri
i=1
LycéeNotes
P. Mendès France Epinal
Source de courant : U
L’association en série de sources de courant idéales n’a aucun sens.
n
La fém équivalente à n fém connectées en série vaut : eeq = ∑ ei
b. Association en parallèle i=1
Source
η2 de tension : n n
! deI =sources
L’association en parallèle ∑Ii =∑deηtension
i idéales est impossible (court-circuit).
I2 i=1 i=1
I
c. Association étoile-triangle
Le courant électromoteur équivalent à n courants électromoteurs connectés en parallèle
n
ηn vaut : ηeq = ∑ ηi
Ces transformations sont liées aux associations
i=1 de dipôles en « triangle » ou en « étoile » ; elles concernent
essentiellement lesIquadripôles.
n
Figure 1-14
Le passage de la structure en triangle à la structure en étoile
est donné par :
𝑹𝟐 ×𝑹𝟑 R2 R3
𝒓𝟏 = 𝑹
Notes 𝟏 𝑹𝟐 𝑹𝟑
r1
r3 r2
Le passage inverse s’effectue en considérant les
𝟏
conductances à la place des résistances (𝒈 = )
𝒓 R1
𝒈𝟐 ×𝒈𝟑
𝑮𝟏 = 𝒈 𝒈𝟐 𝒈𝟑
𝟏
B
B Figure 1-15
On considère un dipôle récepteur est connecté à un dipôle générateur (e,r) ou (η,g) . Il existe alors un point de
fonctionnement spécifique
La caractéristique du générateur :au
u = couplage.
e – r i (ou i = - g.u ) est
appelée droite de charge; elle est tracée en convention générateur. i
La relation caractéristique du générateur est appelée droite de
I
charge :
La caractéristique du récepteur le dipôle D: u = f( i) ou i = f(u) est dipôle
Figure 1-16
Courbe (figure
tracée en convention récepteur. du dipôle
1-16) récepteur
η u = e − ri dans le cas
F d’un générateur de tension
Le point F, intersection de la droite de charge et de la Droite de
caractéristique du dipôle est le point de fonctionnement : i = η − gu dans le cas d’un générateur de courant
charge
coordonnées (uf,ifF)
On considère le montage suivant dans lequel une source de tension (fem E= 800 V , résistance interne r = 1 )
Notes
alimente un électrolyseur, dont la caractéristique est donnée ci dessous :
i en A
400
E
E’,r’
r 500 1000
u en V
Lycée Jules Ferry - 06400 Cannes [email protected] 9/28
i 0 e u
ou La caractéristique du récepteur le dipôle D: u = f( i) ou i = f(u) est dipôle
u Figure 1
i = f(u) et i = -gu tracée en convention récepteur. (figure 1-16)
F
D g D Le point F, intersection de la droite de charge et de la Droite de
caractéristique du dipôle est le point de fonctionnement : charge
coordonnées (uf,if)
Exemple :
ELECTROCINETIQUE
Solutions du système : u = f( i) et u = e – r i
COURS
0 ou e u
B -gu i = f(u) et i =
On considère le montage suivant dans lequel une source de tension (fem E= 800 V , résistance interne r=1 )
Figure 1-15 Les dipôles
alimente un électrolyseur, dont la caractéristique est donnée ci dessous : Edition 6 - 06/09/2020
Exemple :
érateur : u = e – r i (ou i = - g.u ) est
; elle est tracée en convention générateur.A.2.4.2.i Exemple 1 : Electrolyseur
On considère le montage
i en Asuivant dans lequel une source de tension (fem E= 800 V , résistance interne r = 1 )
alimente un électrolyseur, dont la caractéristique est donnée ci dessous :
A.2.5. Puissance
A.2.5.1. Définition
La puissance instantanée reçue par un dipôle en convention récepteur est égale au produit P = UI , où :
U2
P = UI = RI2 =
R
A.2.5.4. Exemple : transfert de puissance
I On considère un générateur de fém E = 10V et de résistance interne r = 5Ω . Ce
générateur est couplé à une résistance R = 5Ω
Notes
B.1.1. Définition
Les méthodes de Kirchhoff consistent à déterminer les courants circulant dans l’ensemble des branches d’un
circuit électrique.
Les équations de Kirchhoff s’écrivent :
Loi de mailles :
La somme algébrique des tensions dans une maille est nulle : ∑u = 0
Loi de noeuds :
La somme algébrique des courants transitant par un noeud est nulle : ∑i = 0
B.1.2. Exemple
On considère le circuit suivant, dans lequel on cherche à calculer le courant I2 dans la charge R2 :
UR1
N Il est constitué de 2 mailles (1) et (2), et de 2 noeuds N et M
R1
Loi de la maille (1) : E − UR1 − UR = 0
I1 I2
Ir
Loi de la maille (2) : Ur − UR2 = 0
(2)
E (1) Ur r R2 UR2
Loi du noeud N : I1 − Ir − I2 = 0
⎧U = R I
⎪⎪ R1 11
Notes
⎧ R2 + r
⎪ I = E
⎪⎪ 1 R1 + R2 r + R1R2
( )
Soit au final : ⎨
⎪ r
⎪ I2 = R + R r + R R E
⎪⎩ (
1 2 )
1 2
B.2.1. Enoncé
Le théorème de Millmann est également appelé loi des noeuds en terme de potentiel.
Or! Ui = Vi − VN
Donc! ∑G (V − V ) = 0
i i N
!
D’où le théorème de Milmann :
VN =
∑G V i i
∑G i
Remarque : si des branches contiennent des sources de courant, il suffit de remplacer le terme GiVi par la valeur du
courant électromoteur (cém) des branches en question.
B.2.2. Exemple
UR1 Reprenons le circuit décrit au B.1.2, et plaçons-y arbitrairement une
A N référence de tension («masse») en M : VM = 0
R1
I1 I2 Alors VA = E
Ir
Notes
rR2
soit : VN = E
rR1 + rR2 + R1R2
⎧
⎪ I =G V = r
E
⎪ 2 2 N
rR1 + rR2 + R1R2
⎪
⎪ R2
D’où on tire directement : ⎨ Ir = Gr VN = E
⎪ rR 1
+ rR 2
+ R1R2
⎪
r + R2
⎪ I = G V −E =
⎪ 1 1 N ( rR
)
+ rR + R R
E
⎩ 1 2 1 2
R2
U2 = U
R1 + R2
G2
I2 = I
G1 + G2
Notes
ELECTROCINETIQUE COURS
b. Loi de Pouillet∑E
I = : (la somme des tensions étant une somme algébrique)
∑R
Dans un circuit à une seule, ne comportant que des sources de tension parfaite et des résistances, le courant est
∑𝑬
relation :: 𝒊
donné par laExemple =∑
𝑹
ex :
E1 − E 2 − E 3
I= I=
R1 + R2 + R3
La résistance de Thévenin RTh est la résistance équivalente du circuit à réduire lorsque les sources sont rendues
passives.
Notes
B.4.1.4. Exemple
On considère le circuit suivant, dans lequel on souhaite étudier le courant traversant la charge entre A et B, avec
E=10V.
A
R1 R4
2kΩ 1kΩ
R2
1kΩ
Charge
E
R3
1kΩ
B
Première étape : déconnexion de la charge
A
R1 R4
2kΩ 1kΩ
R2
1kΩ
E
R3
1kΩ
B
Seconde étape : Calcul de la tension de Thévenin équivalente
A
R1 R4
La résistance R4 n’est pas prise en compte car, la charge étant
2kΩ 1kΩ déconnectée, aucun courant ne la traverse.
R2
1kΩ R1 + R2 + R3
Notes
1kΩ
1kΩ 1kΩ
R1 ( R2 + R3 )
R1 + R2 + R3
R2+R3
R3
1kΩ
1 kΩ
R1
2kΩ 2 kΩ
B B
D’où au final R Th = 2 kΩ
VTh 5V
B.4.2.1. Définition
Le théorème de Norton établit que toute portion d’un circuit électrique peut être réduite à un seul générateur de
courant en parallèle avec une seule résistance.
A l’instar du théorème de Thévenin, il est aussi bien applicable en régime continu qu’en régime sinusoïdal.
Notes
E 2 kΩ
10V
G2 = 5.10 −4 S
G3 = 3, 3.10 −4 S
B
E 2 kΩ IN G1 + G2 + G3 G1 + G2 + G3
10V
T G1G3
Or IN = G3 VM = E = 1,8.10−4 E = 1,82 mA
G1 + G2 + G3
B
A
R1 R3
1 kΩ 3 kΩ
R1R2
RN = R3 + = 3,67 kΩ
R2
E 2 kΩ R1 + R2
10V
Notes
IN
1,82 mA
3,67 kΩ
Un générateur de tension de Thévenin (ETh,RTh) est équivalent à un générateur de courant de Norton (IN,GN) avec
1
GN =
R Th
IN = GNE Th
A
RTh
GN
IN
VTh
B B
Notes
B.4.4. Exemple
A
R1 Reprenons le circuit étudié aux paragraphes B.1.2 et B.2.2, dont nous allons
I2 réduire une partie du circuit en générateur de Thévenin;
Tension de Thévenin
A
r R2 R1
r
E Diviseur de tension : VTh = E
r + R1
I2 VTh
RTh
Loi de Pouillet : I2 =
R Th + R2
R2
VTh r
E
r + R1 r
I2 = = E
rR1 rR1 + rR2 + R1R2
B + R2
r + R1
Notes
i
Relation u = f(i) : u = Ri
R
2
Energie dissipée : w= ∫ uidt = R ∫ i dt
u
du
C Relation u = f (i) : i=C
i dt
du
Energie stockée : w= ∫ uidt = ∫ uC dt dt = C ∫ udu
u
1
w = Cu2
2
Remarques :
1. La tension u est impérativement une variable continue, un condensateur n’acceptant pas de
discontinuité de tension à ses bornes
2. En régime permanent (u constant), i=0 et le condensateur se comporte comme un interrupteur
ouvert.
3. En régime périodique établi, la tension moyenne aux bornes d’un condensateur est nulle.
4. Un condensateur a un comportement de type «source de tension»
5.
Notes
L di
Relation u = f (i) : u=L
i dt
di
Energie stockée : w= ∫ uidt = ∫ iL dt dt = L ∫ idi
u
1
w = Li2
2
Remarques :
1. Le courant i est impérativement une variable continue, il ne peut y avoir de discontinuité de courant
traversant une bobine
2. En régime permanent (i constant), u=0 et la bobine se comporte comme un interrupteur fermé.
3. En régime période établi, l’intensité moyenne traversant la bobine est nulle.
4. Une bobine a un comportement de type «source de courant»
L’étude du régime transitoire des réseaux électriques aboutit le plus souvent à l’écriture d’équations différentielles.
Le circuit électrique sera alors dit :
• du premier ordre si le comportement est décrit par un seul paramètre, et régi par des équations différentielles
du premier ordre
• du second ordre si le comportement est décrit par deux paramètres, et régi par des équations différentielles
du second ordre
Notes
du
Relation caractéristique du condensateur : i=C
dt
dx
D’où la relation (on privilégiera l’écriture x + τ , où τ est la constante de temps)
dt
du
u + RC =E
dt
Notes
1
− t
u(t) = Ae RC
+E
u(O+ ) = u0
A +E = 0
⎛ −
1 ⎞
t 1
u(t) = E ⎜⎜1− e RC ⎟⎟ du(t) E −RC t
i(t) = C = e
⎝ ⎠ dt R
Notes
⎧
uL ⎪ u = Ri
⎪ R
⎪ di
E avec ⎨ uL = L
⎪ dt
⎪ du
u ⎪ i=C
⎩ dt
Notes
du d2u
−E + RC + LC 2 + u = 0
dt dt
d2u du
LC + RC +u =E
dt 2 dt
qui peut s’écrire sous la forme :
1 d2u 2m du
+ + u = E où ω0 = 1 est la pulsation propre du circuit (en rad.s-1)
2
ω0 dt 2
ω0 dt LC
R
m= est le coefficient d’amortissement (sans unités)
2Lω0
1
Remarque : Q = est appelé facteur de qualité
2m
1 2 2m 2
2
r + r + 1= 0 dont le discriminant réduit vaut Δ' = m 2− 1
ω0 ω0 ω0
En fonction de la valeur du coefficient d’amortissement, les racines de l’équation seront de nature différente :
1. si m > 1 : les racines sont réelles, le régime est apériodique
2. si m < 1 : les racines sont complexes, le régime est pseudo-périodique
3. si m = 1 : une seule racine réelle, le régime est critique
Notes
Cas où m>1
(
r = −m± m2 − 1 ω0 )
La solution de l’équation homogène est alors :
rt rt
ul (t) = A1e 1 + A 2e 2
Cas où m=1
On note Rr la racine réelle :
r = −ω0
Cas où m<1
−mω0t ⎛ ⎞
Enveloppe e (
r = −m± j 1− m2 ω0 = ⎜−1± j
1− m2 ⎟
) mω0
⎜ m ⎟
⎝ ⎠
⎡ 2 ⎤
ul (t) = e
−mω0 t
( 2
) (
⎢⎣C1 cos ω0 1− m t + C2 sin ω0 1− m t ⎥⎦ )
ul (t) = C1e
−mω0t
(
sin ω0 1− m2 t + ϕ )
Notes
1 d2u 2m du
E= + +u =K
ω20 dt 2 ω0 dt
C.3.4.4. Solution globale
Les conditions initiales sont :
• Avant la fermeture de l'interrupteur, la tension aux bornes du condensateur est nulle s’il est déchargé. Donc
u(0− ) = 0 . Comme il ne peut subir de discontinuité de tension, alors u(0+ ) = 0
• De même, l’intensité traversant la bobine est nulle : i(0 − ) = 0 . Une bobine ne pouvant subir de
discontinuité, on en déduit i(0+ ) = 0
rt
u(t) = E + A1e 1 + A 2e 2
rt
u(t) = E + ert B1t + B 2
( ) u(t) = E + C1e
−mω0 t
(
sin ω0 1− m2 t + ϕ )
Equations i(t) du(t) rt rt
i(t) i(t) −mω t ⎡
C
=
dt
= A1r1e 1 + A 2r2e 2
= rert B1t + B 2 + B1ert
( ) C ⎣ (
= −C1ω0e 0 ⎢msin ω0 1− m2 t + ϕ − )
C ⎤
( )
1− m cos ω0 1− m2 t + ϕ ⎥
2
⎦
Courbes
Notes