9c A N N E E - No 6 21 OCTOBRE 1934 NOVEMBRE - DECEMBRE 1934

M M AM H
REVUE D’ASTRO-DYNAMIQUE
(A S TR O LO G IE S C IE N T IF IQ U E )
E ditée par
L’I n s t it u t Ce n t r al bel ge de Re c h e r ch es As t r o - d y n a m iq u e s
R É D A C T IO N E T A D M IN IS T R A T IO N : A V E N U E ALBERT, 107, BRU XELLES

SOMMAIRE

Les prévisions de STELLA pour 1935

Le destin du monde se jouera-1-il en 1935 ? La crise : aggravation,
évolution ou redressement ? Paix, guerre ou révolution ? Et 1936 ?
(avec tableaux m ensu els d'indices
favorables· et défavorables)

Enquête astrologique
sur la catastrophe de Pâturages.
(15-17 mai 1934),
par G.-L. Brahy et R. Brihay.
L’A stro-dynam ique et le dom aine
m édical. Vtc Ch. de Herbáis de
Thun.
« O ctobre, m ois fatidique. >
L’assassinat du Roi Alexandre. La
révolution espagnole. Nos prédic­
tions. Constatations astrologiques.

G uide astrologiq ue journalier

pour décem bre 1934. Véga.
Critique des p ronostics de Stella
pour septem bre. R. B.
P ron ostics pr décem bre 1934. Stella.
L’heure d’été en Belgique, France,
Hollande.
Livres, revues, échos, nouvelles. La
loterie coloniale. Un congrès astro­
logique en 1935. Etc.

Revue a ffilié e à ABONNEMENTS :

l’UNION DE LA PRESSE PÉRIODIQUE BELGE B e lg iq u e ................................. 50 francs l’an
Union professionnelle reconnue E tran ger. ... ..........12 belgas ou 45 fr. fr.

P A R A IT VERS LE 22 DE C H A Q U E MOIS POUR LE M O IS S U IV A N T

Numéro exceptionnel : 6 8 p a g e s — Prix : 6 Frs 75

 BUTS
i de
Mini Central BelgeJeRecherchesAstro-Dynainiques
Association sans but lucratif, fondée en 1926.

Cet Institut a pour but :

1° De vérifier scientifiquement, en dehors de tout système philosophique,
l’influence des astres sur l’homme, les événements sociaux, politiques et écono­
miques, et d’une façon générale, sur tous les règnes de la nature.
2° De centraliser sous forme d’une documentation pratique et perma­
nente les résultats des recherches semblables poursuivies tant en Belgique qu’à
l’étranger.
3° D’aider à la diffusion des recherches astro-dynamiques et à la
compréhension de leur utilité sociale.
4° De mettre à la disposition de tous, dans un but de progrès général,
le résultat de ses travaux, de scs recherches et de sa documentation.
5° De favoriser les relations entre toutes les personnes qui de près ou de
loin, s’intéressent à l’astro-dynamique et aux sciences qui s’y apparentent :
astro-physique, cosmobiologie, astrologie scientifique, etc.

.Idministrateur-Délégué : Gustave-Lambert BRAHY, expert-comptable, expert

en gestion mobilière.
zldministrateurs : Vicomte Ch. de HERBAIS de T H U N , ingénieur.
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rlnsti'
RENSEIGNEMENTS ET CONSU LTATIONS. Le Directeur ¿ e ^ s .
tut reçoit les mercredis et vendredis, de 10 à 11 heures et ttir ren
9c Année — No 6. 21 Octobre 1934 NOVEMBRE-DECEMBRE 1934.

IDU M /A IU N
REVUE D ’A S T R O · D Y N A M IQ U E
(ASTROLOGIE SCIENTIFIQUE)

C. Ch. Posta

Av e n u e Al ber t , 107 — BRUXELLES

Directeur: G u s t a v e -L a mb e r t BRAHY
Administrateur-fondateur de 1' Institut Central Belge
de Recherches Astro-dynamiques

Rédacteur en chef : Vicomte C h a r l e s d e H ERBAIS d e THUN

Le destin du monde va-t-il se jouer en 1935? (1> '

Aggravation de la crise, évolution ou redressement ?
Paix, guerre ou révolution ? Et 1936 ?
a ■ a
Cinquième essai de pronostics annuels basés sur l’Astro-dynamique
avec tableaux mensuels des indices favorables et défavorables.
Voici, pour la cinquième fois, un essai de prévisions faites
longtemps d ’avance pour l’année à venir. Et pour la cinquième
fois, nous nous trouvons devant une énigme formidable à
résoudre. Non seulement le travail est considérable, la synthèse
et la coordination des indices est laborieuse et délicate, mais
de plus il nous faut penser à chaque instant à la responsabilité
qui s’attache à nos déductions et à nos affirmations. Partisan de
la vérité quelle q u ’elle soit, nous devons dire ce que nous entre­
voyons, mais sans emphase et sans exagération théâtrale, de peur
de provoquer, dans un public insuffisamment averti, des réac­
tions exagérées. A quoi bon noircir à plaisir d’ailleurs ? Mais
combien plus inconséquent encore est cet optimisme de
commande qui masque le péril quand il existe, qui incite à se
mettre la tête sous l ’aile avec le vain espoir que le danger ne
forcera pas à relever les yeux.
Ne nous flattons pas au surplus de pouvoir lever complètement
le voile d’Isis. La déesse laisse seulement entrevoir quelques-uns
de ses traits, et comme elle, l ’avenir ne nous apparaît guère
mieux qu’une silhouette plus ou moins indécise. Il est permis de
deviner cependant, à son attitude extérieure, l’expression favo­
rable ou maléfique de cette silhouette énigmatique et toujours
un peu inquiétante.
(I) Reproduction interdite, même sous citation de source.
 DEMAIN

C’est le travail d ’approche que nous allons entreprendre

pour 1935.
* * *

Auparavant, jetons un regard sur cette année 1934, aux trois

quarts écoulée, et demandons-nous si elle a bien mérité le titre
d’année d ’angoisse que nous lui donnions en décembre dernier
(n° 8 de la revue Demain, 8e année, page 107) ( I ) .
Il n’y aura certainement aucune voix, pensons-nous, pour
prétendre le contraire. Jamais l’insécurité financière et politique
ne fut aussi grande; l’homme d ’aujourd’hui vit dans une inquié­
tude permanente au sujet de ce qu’il possède (lorsqu’il possède
encore) et la crainte d’une guerre brusquée est venue encore
s’ajouter à scs soucis de tous les jours. A tort ou à raison, par
suite de préparatifs militaires devenus partout évidents, cette
crainte d’un nouveau et atroce conflit est devenue pour beaucoup
une véritable hantise.
Nous permettra-t-on, à cet égard, de rappeler un court para­
graphe de nos pronostics pour 1934 (p. 108-109 du numéro
précité) ? Ce paragraphe nous paraît tout à fait évocateur de la
situation actuelle.
Si nous jugeons donc les choses d’après leur apparence et d’après
l’allure générale que semblent devoir prendre les événements, nous consi­
dérons que l’année 1934 sera au moins aussi agitée que celle qui se termine
actuellement et probablement même plus agitée; des alertes très vives se
succéderont presque sans interruption; l’inquiétude sera grande, tant
financièrement que politiquement. On pourra craindre constamment une
guerre brusquée, des troubles sociaux imprévus, des effondrements finan­
ciers. Sous ce rapport l’année prochaine mettra nos nerfs à une rude
épreuve et ceux qui ont une fortune à gérer passeront souvent des nuits
blanches. Aucun souci, aucune angoisse, aucun danger ne nous seront
épargnés en 1934.
ÉCONOMIQUEMENT on peut dire que l’amélioration est lente, mais
ne se dément pas. Ceci est évidemment un pronostic d’ensemble, en
quelque sorte synthétique.
Malgré les apparences rébarbatives, et même inquiétantes, nous pro­
nostiquons donc un nouveau pas vers le redressement. Le mouvement
déflationniste va se poursuivre — et, chose curieuse, qui n’est qu’un
paradoxe apparent — à la faveur même de l’inflation. Tout ce qui, dans
le monde, est bâti sur la spéculation pure peut craindre la débâcle en 1934;
tandis que les valeurs stables, pondérées et tous les éléments d’une
économie saine vont reprendre peu à peu leur rôle conservateur; ce
mouvement sera beaucoup plus net encore qu’en 1933.
FINANCIÈREMENT, l’instabilité et l’insécurité dominent et s’accen­
tuent jusqu’en octobre, époque décisive qui semble devoir être marquée
par un effondrement sensationnel.

(1) Envoi franco contre versement de 5 francs.

114
 DEMAIN

POLITIQUEMENT, la situation demeure très sombre et le pire

paraît souvent à craindre. Des développements inquiétants sont à attendre
à diverses époques, surtout durant les premiers mois et vers septembre-
octobre. Cette dernière époque semble capitale à tous les points de vue;
c’est le passage le plus critique de l’année 1934.

A côté de l’imbroglio monétaire, la reprise de la grosse

industrie, l ’amélioration des conditions économiques dans certains
pays et l’assainissement des marchés de certaines matières pre­
mières, sans oublier l ’éclatement salutaire de quelques gros
scandales politico-financiers, ont confirmé le pronostic.
Nous avions signalé comme passages particulièrement aigus
les tout premiers mois de l’année (scandales, convulsions,
violences) et la période septembre-octobre. La première période
a été nettement caractérisée par les affaires Stavisky et Prince, la
mort tragique du roi Albert ( I ) , les émeutes de Paris. La
deuxième, à l’heure où nous écrivons, s’annonce assez conforme,
mais reste à vérifier.
Il est utile de revenir ainsi quelquefois en arrière; non seule­
ment cela peut donner à nos nouveaux lecteurs la mesure exacte
de la confiance que l’on peut avoir dans le pronostic astrologique,
mais de plus, ceux qui nous suivent depuis plus longtemps
peuvent ainsi recréer après coup l’atmosphère plus ou moins
déformée que nos pronostics pour 1934 avaient suscitée dans
leur esprit au temps de leur première lecture et faire le point ou
la comparaison avec la situation réelle. Ce rapprochement les
disposera à envisager les probabilités de l’année 1935 sous un
jour plus exact et leur montrera que, bien souvent, des menaces
qui apparaissaient écrasantes comme des montagnes ne soulèvent
en réalité, vu l’immensité et la complexité du monde, que de
vulgaires taupinières.
Inspirons-nous donc de cette mise au point de 1934 pour
juger de ce que nous réserve 1935.
***
La question classique se pose : 1935 sera-t-il meilleur ou pire
que 1934 ?
Nous avons déjà expliqué l’an dernier pourquoi la réponse
directe à cette question était difficile et dangereuse. Les causes de
la crise sont trop complexes pour être envisagées en bloc; comme
l’an dernier nous devrons donc scinder notre pronostic et envi­
sager l’évolution de la situation actuelle sous trois aspects :
économique, financier, politique et social.
Pour y arriver, examinons donc comment se présente le tableau
des indices favorables et défavorables que nous avons pris
l’habitude de publier ici.

(1) Revoir à ce sujet notre n° 11, 8* année (numéro spécial : 5 francs). N . D . L. R.

IT 5
 -— DEMAIN

Ce tableau se présente comme suit :

Q U A L IT É DES IN D IC E S
MOIS
Assez Assez Très
Tris bons Bons bons
Douteux mauvais Mauvais mauvais

Janvier...................... 3 14 14 2 0 16 1
Février...................... 2 14 8 2 0 12 2
Mars.......................... 3 6 9 1 4 19 1
A vril.......................... 1 12 16 9 4 17 1
M a i .......................... 2 8 8 3 1 11 2
J u in .......................... 4 7 12 5 3 9 2
J u i ll e t ...................... 4 14 3 1 4 12 2
Août.......................... 2 9 12 5 2 20 1
Septembre . . . . 2 7 12 6 4 8 0
O c t o b r e .................. 3 7 13 3 5 9 2
Novembre.................. 4 11 7 7 5 7 3
Décembre.................. 1 13 12 1 6 15 4

121
1 45 1 38
Totaux. . 31 122 112 6 I 155

279 214
Et voici la comparaison avec les années précédentes :
QUALITÉ DES INDICES 1931 1932 1 1933 1934 1935

Très bons . . . . 2 ) 5 21 5 )
31
)
104 5 276
) )
Bons...................... 107 > 167 86 > 178 121 > 285 122 S 279
58 ) 87 ) 151 ) 149 )
Assez bons . . . 126 )

Douteux . . . . 51 72 20 15 45
Assez mauvais . . 93 } 87 98 \ 86 38 )
97 5 203 ) 131 ( 227 }
Mauvais.................. 98 > 194 119 > 238 155 > 214
13 ) 9 ) 21 ) 10 )
Très mauvais . . 21 )

Si nous analysons ces tableaux nous constatons que pour 1935

les indices favorables dépassent les indices défavorables de
65 unités.
Ces unités se décomposent comme suit :
Surplus des indices très bons sur les très mauvais... + 10
Surplus des indices mauvais sur les bons ..................... — 33
Surplus des indices assez bons sur les assez mauvais... + 88
Total par différence .......................................................... + 65
Mis en regard des années précédentes, ce surplus révèle une
très légère amélioration sur 1934 qui comportait un surplus
de 58 unités et sur 1933 qui se soldait par un surplus de
38 unités.
n6
 DEMAIN ··-· =

Ce n ’est pas très brillant à première vue; on ne voit pas

encore dans cette progression la fin probable de la crise.
Il faut noter aussi que, parmi les indices assez bons, figurent
un certain nombre d’indices très faibles (84) qui, si on les
négligeait, feraient sensiblement pencher la balance du côté
défavorable.
Mais ce qui est réconfortant, c’est de constater la prédomi­
nance très nette des indices très bons (31) sur les très mauvais
(21). Il y a donc un espoir sérieux de ce côté.
Il resterait à examiner la valeur qualitative de ces indices,
évidemment assez variable de l’un à l’autre. Ce point de vue
serait trop long à exposer. Passons immédiatement aux
conclusions.
L ’année 1935, selon nous, sera une année transitoire, durant
laquelle les courants destructeurs et reconstructeurs s’affron­
teront encore, se mêleront, se superposeront. Ce sera encore une
année très confuse et si elle réussit à marquer, sous ce rapport,
un progrès assez net par rapport à 1934, ce progrès risque d’être
éphémère. 1935 sera, pour lui trouver une formule qui fasse
image, “ l’année fallacieuse, l’année des Danaïdes ”, les diffi­
cultés s’amplifiant au fur et à mesure que les solutions se feront
jour.
ÉCONOM IQUEM ENT, il semble ainsi que l’on fasse un
pas, et même deux, vers le retour à l’équilibre. La réorganisation
des échanges se poursuit à peu près toute l’année, sauf vers le
printemps, et atteint incontestablement des résultats sérieux. Il
y a là un espoir très notable qui se fait jour.
FINANCIÈREM ENT, l’imbroglio monétaire actuel paraît
également par instants perdre de sa virulence. Et même, il
semble bien que des solutions importantes ou des décisions capi­
tales soient mises à exécution. Une première tentative, impar­
faite encore, se marque aux approches du printemps; une autre
probablement plus serieuse, vers octobre. Mais elles ne paraissent
pas redresser la situation qui reste fort compromise, et disons
même, excessivement critique en fin d’année. Partagée ainsi entre
ses espoirs et ses inquiétudes, 1935 sera une année de spéculations
successives.
POLITIQ U EM EN T E T SOCIALEMENT, la situation
demeure encore très tendue pendant tout le premier semestre de
l’année, surtout vers le printemps, et vers décembre. Tout conflit
important semble évité ou limité par la prolongation des palabres
et des échanges de vues; néanmoins un pronostic certain n ’est
guère possible de ce coté. La tendance politique est plutôt au
redressement de l’autorité, à une espèce de fascisme ou de dicta­
ture déguisée; mais une première tentative de contre-offensive
bolcheviste ou socialiste pourrait se dessiner vers le milieu de
117
 DEMAIN

Tannée. Simple menace d ’ailleurs, sans effet bien notable ni bien

prolongé, mais qui n ’est cependant pas étouffée pour cela et qui
continuera à couver sous la cendre.
Avant de donner quelques détails chronologiques, faisons
remarquer que 1935 sera marqué par 5 éclipses de Soleil et
2 éclipses de Lune. Il y a là un nombre vraiment anormal
d ’éclipses solaires — la moyenne est en général de 2 par an —
qui montre bien l’importance capitale de l’année 1935. Une des
éclipses en question tombe exactement à la Noël, dans l’après-
midi du 25 décembre; c’est là un indice très critique pour 1936;
et ceci indiquerait, si les configurations ne le montraient
déjà à suffisance elles-mêmes, combien l’année 1936 menace
d ’être agitée, sinistre et fatidique.
C ’est pourquoi il faudra mettre à profit, dans toute la mesure
du possible, l’année 1935 pour sauver ce qui reste à sauver.
«* *
Pronostiquer une atmosphère martiale et agressive en janvier
ne serait plus, à l’heure actuelle, un pronostic digne de ce nom.
Tout le monde sait que le plébiscite en Sarre est fixé au 13 jan­
vier 1935. Néanmoins il est curieux de constater que la planète
Mars, planète de la violence et de la guerre, domine la Sarre
en janvier. Le 11 janvier surtout et le 19 paraissent particuliè­
rement marqués. Quant à l’issue du plébiscite, nous ne cher­
cherons pas encore à l’établir ici, mais nous dirons seulement
que, quelle q u ’elle soit, elle ne paraît pas mettre fin aux diffi­
cultés, celles-ci paraissant bien, de même q u ’en Europe centrale,
se prolonger nettement durant tout le premier semestre de 1935.
Mais rien de réellement critique pour la paix ne nous paraît à
craindre en janvier, tout au moins dans l’ouest de l’Europe.
C ’est surtout en février et en mars que l’atmosphère est
menacée et que les difficultés, tant intérieures qu’extérieures, se
révèlent épineuses. A ce moment toute fausse manœuvre peut
précipiter les événements; c’est là une bien lourde responsabilité
pour les gouverneurs de peuples. Une atmosphère de crise s’en
suit, qui paraît assez grave. Des catastrophes sont vraisemblables
un peu partout vers cette époque, probablement aussi dans nos
régions (tempêtes, inondations, seismes, explosions, accidents
de transports, etc.). Cette atmosphère d ’agitation chaotique et
violente s’accentue encore en avril et paraît s’étendre à l’Amé­
rique; nous entrons là dans une des plus mauvaises périodes de
l ’année. Elle se prolonge en mai et s’accentue de nouveau en
juin. Des troubles révolutionnaires, sociaux ou religieux, pour­
raient se déclencher alors; des épidémies sont possibles, de
l ’aberration collective, une espèce de paralysie morale, la crainte
de mauvaises récoltes, etc. Les événements atteignent là un
paroxysme momentané.
n8
 DEMAIN

Juillet, bien que fort agité encore vers le milieu du mois,

(catastrophes toujours probables notamment) paraît amener un
revirement vraiment heureux. Optimisme peut-être excessif, car
août semble déjà marquer un déclin, une reprise des difficultés,
surtout dans les premiers jours; la Russie ou l’Europe orientale
ou balkanique semble en effervescence. Mais, malgré tout, il
semble bien qu’une atmosphère meilleure se fasse jour peu à peu.
Septembre fait ainsi l’effet d’un mois de transition, de pour­
parlers durant lequel les espoirs s’affermissent, malgré la détresse
et les soubresauts qui continuent à désoler certaines régions.
Avec octobre, nous arrivons ainsi à une étape, à un palier,
peut-être même à une recrudescence d’activités heureuses. Un
grand soulagement se dessine, même de l’enthousiasme. Une
agitation assez sérieuse semble pourtant se manifester en Europe
centrale (peut-être une ou des morts sensationnelles) et aux
Etats-Unis.
En tout cas, dans les derniers jours d’octobre et surtout en
novembre, surviennent des imprévus, des troubles, l’atmosphère
redevient plus violente, surtout dans l’est de l’Europe, l ’opti­
misme décroît sensiblement et rapidement. Aussi décembre est-il
de nouveau un mois mouvementé et critique. La situation se tend
de nouveau de façon inquiétante dès les premiers jours; on
s’efforce de nouveau à parer au danger, mais sans volonté suffi­
sante; aussi l’atmosphère se charge-t-elle de plus en plus. On
sent se lever, dans un ciel lourd, comme un vent annonciateur
d ’orage...
Le dernier acte de la Grande Crise va se jouer !
Telle est, brièvement esquissée, l ’atmosphère générale de 1935.
Elle paraît comporter une tentative bien nette de redressement;
il est à craindre, malheureusement, que cette tentative n ’échoue
encore tout près du but. Mais cette fois, les astres ne paraissent
plus disposés à nous accorder délais ni indulgences.
" Et la Belgique ” , dira-t-on ? Ce qui est certain c’est que la
Belgique a une chance de plus que les autres nations d’échapper
au péril international. L ’Exposition Internationale de Bruxelles
aura vraisemblablement des résultats heureux pour son commerce
extérieur... si l ’on sait battre le fer tant q u ’il est chaud ! Ce
proverbe n ’aura jamais d ’application plus belle qu’en 1935.
Nous donnerons, comme d ’habitude, mois par mois, des pro­
nostics plus amplifiés et plus précis. Pour l’instant ceux-ci
suffisent à établir que le destin du monde se jouera en 1935 et
que ce destin dépendra, plus q u ’à toute autre époque, de la
bonne volonté ou de l’inconscience des hommes. Si ceux-ci ne
font pas un sérieux retour sur eux-mêmes en 1935, le pire est à
craindre pour l’année 1936.
STELLA.
(Reproduction interdite, même sous citation de source,)
119
 LES B U L L E T IN S F IN A N C IE R S
É D IT É S P A R L ’ IN S T IT U T D E R E C H E R C H E S A S T R O -D Y N A M IQ U E S
A V E N U « A LB E R T. 107. BRUXELLES

E T L ’IN D E X B O U R S IE R P R É S U M É
L’Institut de Recherches Astro-dynamiques publie deux bulletins finan­
ciers : l’un, mensuel, qui paraît vers le 1? ou le 20 de chaque mois, donne
des directives générales sur les tendances probables des marchés durant le mois
suivant, c’est-à-dire qu’il signale les mouvements essentiels avec des dates-
repère aussi nettes que possible. L’autre bulletin bi-mensuel (ancien hebdoma­
daire), paraît une huitaine de jours avant le commencement de chaque quinzaine
et donne, outre des commentaires en rapport avec les événements récents ou
imminents, les tendances boursières probables pour chaque jour, en cours de
séance. Le service du bulletin hebdomadaire comprend celui du bulletin
mensuel.
Parmi ces indications journalières figurent ce que nous avons appelé
boursier présumé. Cet index vise à chiffrer, sous une forme mathématique,
nette et indiscutable, la valeur totale des influx cosmiques en vigueur au jour
étudié. Non pas seulement des influx qui sont à leur apogée ce jour-là, mais
de tous les influx possibles, peu importe qu’ils soient en voie de naissance ou
d’expiration, à leur minimum ou à leur maximum; pourvu qu’ils agissent
tant soit peu, ils sont enregistrés à leur valeur estimative.
Inutile de dire que c’est là un véritable travail de bénédictin, mais les
résultats obtenus depuis la publication de cet Index boursier présumé ont été
remarquables. C’est ainsi que cet index, introduit le 1er février 1934, donnait
comme chiffre — déjà en régression sur janvier-fin février : 1336, fin mars :
1144, au 15 avril : 1073, et le 3 mai : 1518, maximum de la période. On
conviendra que cet index suit assez parallèlement la tendance boursière et
permettait donc de prévoir les fluctuations des marchés, notamment la reprise
de fin avril. Le 1er juin, ce même index s’établissait de nouveau à 1267: le
1er juillet à 1092; le 1er août à 1057; le 14 août à *903; fin août à 1346;
le 15 septembre à 1138; en octobre bien en dessous de 1000.
Même d’un jour à l’autre, les variations des cours peuvent être assez nette­
ment prévues, grâce surtout aux indications complémentaires qui accompagnent
17»</ex boursier présumé.
Il va de soi qu’en aucun cas les Bulletins financiers de l’institut de Recherches
Astro-dynamiques ne constituent de la divination. Ils ne représentent, en
somme, que l’application à la Bourse d’un bulletin analogue aux prévisions
météorologiques publiés par les Observatoires. Tout comme ces dernières pré­
visions, les pronostics fournis par les Bulletins financiers de l’institut de
Recherches Astro-dynamiques sont susceptibles de se réaliser avec un sérieux
pourcentage de probabilités (environ 85 %) sans plus. De ce fait ils permettent
véritablement d’éliminer les risaues des opérations sur valeurs mobilières.
Les lecteurs de la Revue qui désirent obtenir des renseignements plus précis
sont priés de s’adresser personnellement au
Directeur de l’institut de Recherches Astro-dynamiques,
Avenue Albert, 107, à Bruxelles.
Elles liront d’ailleurs avec fruit l’ouvrage de M. G.-L. Brahy : Fluctuations
boursières et Influences cosmiques qui leur exposera l’idée maîtresse du système.
L ’Institut de Recherches Astro-dynamiques étant une asso­
ciation sans but lucratif, la publication de nos bulletins financiers
ne constitue pas une entreprise commerciale. Le prix de l’abon­
nement ne représente qu’une contribution aux frais de recherches
et d’études de cet Institut.
Le tirage de nos bulletins financiers est d'ailleurs limité
(actuellement 75 exemplaires) afin de réserver nos indications
à une élite et de ne pas favoriser des spéculations excessives.

120
 ■- - DEMAIN '

Pronostics généraux pour décembre 1934

■■■
Le dernier numéro de la Revue a publié nos pronostics pour
novembre prochain. Comme nous l’avons dit, novembre est
dominé par un incontestable désir de pacifier et d’ 4< arranger ”
les choses. Mais il est presque non moins certain que la paix
risque fort d ’être troublée en Europe (attentats ou coups de force
possibles, où l’Allemagne ou l’Europe centrale jouent leur rôle)
et qu’il faudra s’employer sérieusement pour résorber l’esprit
d ’agressivité qui se développera alors.
Avec décembre, des espoirs plus sérieux se font enfin jour,
mais toujours laborieusement. Cela ressemble un peu à la navi­
gation dans un archipel de récifs. Plus le mois s'avance, cepen­
dant, et plus l’optimisme semble croître. C ’est, il faut le dire,
un optimisme un peu facile, un peu inconsistant, qui ne cherche
pas trop ses raisons, qui ne les discute pas surtout de crainte
qu’elles s’évanouissent, ou encore qui trouve ses motifs d’exister
dans des circonstances fallacieuses, artificielles, superficielles ou
faisant illusion. Cet optimisme ressemble un peu à l’optimisme
de l’inflation, par exemple, ou à celui de certains grands discours
ou conférences. Ceci sans vouloir, bien entendu, en tirer aucune
conclusion semblable; il y a ressemblance tout simplement. Mais
c’est de l’optimisme quand même et c’est ce qui importe.
L ’agitation se marque surtout dans la première quinzaine du
mois : drames passionnels, grèves ou marques de mécontentement
dans de grandes compagnies ou des services publics, grosses diffi­
cultés politiques, palabres au sujet des mines, de la propriété
foncière, et probablement encore des incendies sérieux, des
tempêtes de pluie, etc. Vraisemblablement aussi de sérieux acci­
dents de transports (surtout par eau) et de graves maladies
(pleurésies, grippes, etc.) L ’Espagne, la Hongrie et la France
semblent particulièrement en jeu.
Des difficultés financières, compliquées de troubles divers,
peut-être de révoltes, sont probables en Russie.
Aux Etats-Unis, la situation reste toujours très compliquée,
les relations internationales paraissent assez tendues, et de graves
désordres ou complications politiques, dus à la situation finan­
cière très précaire, sont probables. Cependant une aide ou une
intervention de l’étranger ou un appel au crédit de la nation peut
rétablir momentanément la situation, plutôt en apparence que
fondamentalement, d’ailleurs.
Ainsi se termine l’année 1934, sur une note plus réconfortante
q u ’on n ’osait l’espérer. Si notre inquiétude n ’est pas dissipée,
elle ne paraît pas non plus aggravée, et c’est déjà quelque chose
dans les circonstances actuelles.
STELLA.
121
 ■' "■ DEMAIN

Enquête astrologique
sur la catastrophe de Pâturages
(15 et 17 mai 1934)

entreprise, sous les auspices de VInstiïut central

b elg e de Recherches astro-dynamîques,
par Gustave-Lambert BRAHY et Raymond BRIHAY

L'Institut central belge de Recherches astro-dynamiques

a inscrit, comme but essentiel de son activité, celui de “ vérifier
scientifiquement, en dehors de tout système philosophique,
Pinfluence des astres sur l’homme, les événements sociaux, poli­
tiques et économiques et, d’une façon générale, sur tous les
règnes de la nature
Ce but est atteint par diverses méthodes, les unes perma­
nentes, les autres intermittentes. Parmi les méthodes perma­
nentes figurent la publication et la diffusion de preuves matérielles
et patentes de la réalité des influences astrales; les pronostics
publiés mensuellement dans cette revue participent de cet ordre
d ’idées; il en est de meme des allusions constantes faites aux
découvertes de la science moderne et a son évolution dans la
direction de l’Astro-dynamique. De meme encore, les bulletins
financiers publiés par /'Institut de Recherches astro-dynamiques
contribuent a répandre l’idée que l’Astrologie repose sur des
fondements sérieux, certainement pas définitifs, mais suscep­
tibles du moins d’étre pris très sérieusement en considération.
A u nombre des initiatives intermittentes qui aident également
à prouver la vérité de l’Astro-dynamique, figurent les concours
que nous avons entrepris à plusieurs reprises et surtout les
enquêtes que de temps à autre nous ouvrons ici même.
Parmi ces dernières, notre enquête sur les “ Directions ”
suscita un grand intérêt; elle groupa, en effet, les opinions des
praticiens les plus éminents d l’heure actuelle; beaucoup d’étu­
diants y ont puisé des enseignements précieux et des voies
d ’orientation nouvelle. Citons également la statistique d’astro­
logues anciens et modernes, entreprise par notre administrateur,
le vicomte Ch. de Herbáis de Thun, auteur de Synthèse de
l’œuvre de Paul Choisnard, statistique dont une bonne partie a
été publiée ici même.
122
 DEMAIN

Ces enquêtes seraient peut-être plus fréquentes si nous dispo­

sions du personnel et des concours nécessaires à cette fin, ]usq u id ,
malheureusement, ceux qui pourraient nous aider dans ce sens ne
se sont pas encore rendu compte de Vintérêt immense qui
s’attache à des études semblables. Dans ces conditions, chacun fait
ce qu’il peut, et c’est déjà très beau à l’heure actuelle où des
soucis d ’ordre matériel requièrent presque exclusivement les
esprits.
Déjà en 1930, dans le n° 2 de la Revue belge ¿ ’Astrologie
moderne, 5e année, notre collaborateur G. L. alors encore
modeste étudiant, nous avait transmis un cas assez curieux
d’accident collectif ayant fait six victimes. Des conclusions très
sommaires en avaient été tirées. C’était d’ailleurs là, évidemment,
une étude fort restreinte, vu le nombre peu élevé de cas envisagés.
L'Institut de Recherches astro-dynamiques se fait aujour­
d ’hui un plaisir de présenter aux lecteurs de la revue Demain les
conclusions d’une enquête sur la catastrophe de Pâturages,
catastrophe qui coûta la vie, les 15 et 17 mai dernier, à
57 mineurs et ingénieurs.
Cette enquête qui, grâce à une persévérance remarquable et
à de multiples démarches auprès des Pouvoirs publics et des admi­
nistrations intéressées, a pu réunir la proportion rarement
atteinte — si pas unique — de 54 cas sur 57, a demandé plusieurs
mois de travail assidu; c’est pourquoi nous sommes seulement
à même d’en faire connaître maintenant les résultats.
Nous avons déjà eu l’occasion de signaler que cette enquête
avait été menée par notre administrateur-directeur, M. G.-L.
Brahy, assisté remarquablement, d’une façon assidue et très
compréhensive, par M. R. Brihay, un de nos étudiants les plus
zélés du moment.
Nous croyons pouvoir dire que cette enquête s’ajoutera
heureusement à celles de l’auteur anglais Ch. E. O. Carter
(168 cas) et de Z'Astrologische Gesellschaft in Deutschland :
" La maladie et la mort dans l’horoscope ” ( 169 cas divers).
Si elle n’apporte pas sur tous les points de résultats nets ou
définitifs, elle aura à tout le moins le mérite de présenter aux
étudiants sérieux un matériel utile pour leurs recherches et leurs
travaux.
Avant de terminer, nous tenons à nous incliner une fois encore
devant ces humbles martyrs du travail et du sacrifice, dont la mort
contribuera, nous l’espérons du moins, à réhabiliter un peu plus
encore la science à laquelle nous nous intéressons. Nous voudrions
I2 3
 DEMAIN

également exprimer encore une fois tous nos remerciements à

MM. les liquidateurs du Charbonnage du Fief de Lambrechies,
ainsi qu'aux administrations communales de Pâturages, La
Bouverie, Quaregnon, Marcinelle, Eugies, Frameries, Wasmes,
Grammont, Péronnes-lez-Binche, Blaregnies, Hornu, Flénu,
Dour et Jambes. Sans leur obligeance, notre initiative n aurait pu
être menée à bien.
Voici donc Penquête en question, comment elle se présente et
quels en sont les résultats immédiats.

Indications préliminaires
L ’enquête que nous exposons ci-dessus porte sur 54 cas, ce
qui représente à peu près la totalité des victimes de la catastrophe
(57). Dans trois cas seulement, correspondant à des nativités
étrangères, nous n ’avons pas cherché, vu les difficultés probables,
à obtenir communication des données de naissance.
Notre travail a consisté tout d ’abord à dresser, avec une préci­
sion suffisante (1/2°), les thèmes de naissance des 54 victimes. Les
positions des planètes et des pointes de maisons figurent, pour
chaque cas, aux tableaux 1 et II. Les thèmes sont classés dans
l ’ordre des naissances, de 1874 à 1912, et numérotés de 1 à 54.
En regard de chaque numéro d ’ordre, figurent les noms et pré­
noms de la victime ainsi que les données de sa naissance.
Ensuite, nous avons calculé, pour chaque thème, les positions
progressives des planètes par la méthode des directions dites
“ secondaires ” (1 jour = 1 an) et par celle des directions symbo­
liques (1° = 1 an). Ces directions sont annotées en caractères
gras, ordinaires ou italiques selon q u ’elles sont exactes à moins
de 1°, de 1° à 2°, à plus de 2°. Nous n ’avons pas cherché à établir,
vu surtout la somme de calculs qui aurait été nécessaire, les
directions dites primaires. Nous avons relevé également, pour
chaque victime, les transits caractéristiques au jour du décès.
Nous avons noté de même, à titre documentaire, les positions
qui, dans chaque thème de naissance, paraissaient dénoter un
danger.
Ces divers éléments ont été condensés au tableau I I I ( I } .
Les positions planétaires ont ensuite été analysées par rapport
aux douze maisons, de façon à déterminer les maisons les plus

(1) Nous avons également fait, à titre d ’essai, l'application du Point de Vie de Frankland
et de b Mesure de la Mort de Carter. Mais — est-ce inexpérience ? — les résultats ont été
presque nuis.

124
 DEMAIN ' ■

souvent occupées et par quelles planètes. Cette analyse fait l’objet

du tableau IV,
Enfin une analyse semblable a groupé les mêmes planètes
considérées cette fois par rapport aux douze signes du zodiaque;
elle se trouve condensée au tableau V.

Constatations générales
Si l’on examine tout d ’abord les tableaux statistiques IV et V,
les plus susceptibles de fournir d’un coup d’œil des conclusions
générales, on constate :

1° Que les indices, en ce qui concerne les maisons, se classent

dans l’ordre suivant : maison VIII (54 points), maison VI
(50 points), maison X (47 p.), maison IX (44 p.), maisons XI
et III (43 p.), maison I (41 p.), toutes au-dessus de la moyenne
(40,5 p.); maison XII (35 p.), maisons II et V (34 p.), maison IV
(32 p.) et maison VII (29 p.), celles-ci en dessous de la moyenne;
2° Que les plus hauts indices dans le même tableau sont fournis
par Jupiter en XIe maison (10 p.), Mars en VIII e et la Lune
en II e (9 p.); le Soleil en X e , Mercure en III e et VIII e, Saturne
en VIII e et Uranus en I e (8 p.); Vénus en X e et XIe et Neptune
en III e, VIII e et X e (7 p.);
3° Que les maisons qui donnent le plus grand nombre d ’indices
maxima sont dans l’ordre : la VIIIe (4); la X e (3); la III e et la XIe
(2); la I e et la IIe (1); la IV e , la V e , la VI e, la VII e, la IX e
et la XIIe (0);
4° Que les plus hauts indices, en ce qui concerne les signes,
se classent dans l’ordre suivant : Scorpion (49 points), Gémeaux
(44 p.), Lion (43 p.), Taureau, Cancer et Vierge (38 p.), Bélier
(37 p.), tous au-dessus de la moyenne (36); Verseau (33 p.),
Balance (29 p.), Sagittaire (25 p.), Poissons (22 p.), ceux-ci
au-dessous de la moyenne; le Capricorne atteint juste la
moyenne (36 p.);
5° Que les plus hauts indices dans le même tableau sont fournis
par Jupiter dans le Lion et Saturne dans le Scorpion (11 p.),
l’Ascendant dans la Vierge et le Soleil dans le Cancer (10 p.),
la Lune dans le Capricorne (9 p.), Mercure dans le Lion et
Mars dans les Gémeaux (8 p.) et par Vénus dans le Bélier (7 p.);
6° Que les signes qui donnent le plus grand nombre d’indices
maxima sont dans l’ordre : le Lion (2); le Bélier, les Gémeaux,
le Cancer, la Vierge, le Scorpion, le Capricorne (1); le Taureau,
la Balance, le Sagittaire, le Verseau, les Poissons (0);
«5
 DEMAIN

7° Que la réputation maléfique de la huitième maison, dite

“ maison de la mort ” , et du huitième signe (le Scorpion), se
trouve nettement confirmée comme la tradition renseignait,
puisqu’ils recueillent dans chaque tableau le maximum absolu;

8° Que la réputation maléfique de Saturne dans le Scorpion

et en huitième maison est également bien justifiée;

9° Q u’il en est de même encore de Mars en huitième maison,

mais non pas dans le Scorpion où il est en maîtrise (cette maîtrise
semblerait donc diminuer le côté maléfique de la planète);

10° Q u’il faut aussi noter comme douteuse, digne d ’attention

ou maléfique, la présence de Mercure et de Neptune en VIIIe
maison, de Jupiter en XIe et dans le Lion (5 e signe s’opposant
à la XIe maison), du Soleil en X e et dans le Cancer (4 e signe
s’opposant à la X e maison), de Mercure en III e et Mars dans les
Gémeaux (3 e signe), d ’Uranus à l’Ascendant, de Neptune en
III e et X e , de la Lune en IIe (opposé de la VIII e ?), de Vénus
dans le Bélier (en chute), de même qu’en Xe et XIe maisons
(maisons de Saturne). (Tout ceci, bien entendu, sous les réserves
qui s’imposent, vu l’exiguité relative de la statistique présentée.)

Constatations particulières
Les éléments de nativité qualifiés d ’inquiétants et figurant
dans la première colonne du tableau III ne peuvent, bien qu’ils
soient presque toujours d’une éloquence sinistre, donner lieu à
conclusion puisqu’ils ont été mentionnés arbitrairement, d ’après
la tradition et l’expérience.
Il en est autrement des éléments de directions secondaires
(3 e colonne), où l’on constate dans la majorité des cas ( 45 sur 54)
des dissonances (carrés, oppositions, semi-carrés, sesqui-carrés,
parallèles), soit entre les luminaires (Soleil et Lune) et les malé­
fiques (Mars, Saturne, Uranus, Neptune), soit entre les maléfiques
eux-mêmes, soit entre le gouverneur du thème et un maléfique,
soit encore entre le gouverneur de la VIII e maison, un luminaire,
un maléfique, ou le gouverneur du thème lui-même.
Quant aux directions symboliques, leur examen permet de
faire des constatations assez analogues, peut-être moins régulières
mais presque toujours massives et impressionnantes. C’est ainsi
qu’on note généralement, au moment de la mort, une forte
prédominance d ’aspects presque toujours exacts entre les planètes
maléfiques elles-mêmes (aspects le plus souvent maléfiques, mais
parfois bénéfiques), ou entre ces planètes, les luminaires et les
gouverneurs des maisons I et VIII, Certains cas révèlent ainsi une
126
 '— : DEMAIN -------

accumulation extraordinaire de configurations dissonantes entre

les maléfiques. Il semblerait aussi que, dans une majorité de cas,
plusieurs indications se confirment l’une l’autre (cas nos 1, 4, 5,
6, 7, 11, 13, 17, 18, 19, 22, 23, 24, 25, 26, 30, 31, 33, 38,
42, 46, 48, 50, 52 et 54). Il y a, certes, là un argument sérieux
en faveur du Radix système. Il resterait évidemment à voir si
toutes les personnes nées vers le meme moment — et il en existe
certainement — subissent fatalement et simultanément le même
sort; ces personnes ont forcément les mêmes directions, à
d ’infimes fractions près. Et s’il en était autrement, quel est donc
l’élément qui achève de rendre ces directions mortelles pour
certains et qui sauve les autres ?
Il est presque certain que la question des Ascendants et des
gouverneurs de thèmes, fatalement différents d’un cas à l’autre
lorsque les heures de naissance ou les lieux sont différents,
explique le fait, mais cela resterait à établir par des études subsé­
quentes. Malheureusement les cas probants sont assez difficiles
à réunir ( I ) .
La même objection peut d ’ailleurs s’appliquer aux directions
secondaires mais là, dans certains cas tout au moins, la Lune
progressée ajoute ses mauvais aspects aux directions néfastes et
apporte une précision nette dans le temps. Ceci démontre bien en
tout cas — ce que la logique établissait déjà — qu’une ou même
plusieurs directions planétaires maléfiques ne signifient pas néces­
sairement la mort, mais seulement sa possibilité, sa vraisemblance,
sa probabilité.
A ce sujet, il pourrait être intéressant de confronter le thème
de certaines victimes avec celui d ’un rescapé. Il en existe préci­
sément un, qui fut seulement blessé; c’est le nommé Jules
Bouchez, né à Wasmes, le 31 juillet 1897, à 9 heures du matin.
Son thème montre bien en directions secondaires : Soleil p. conj.
Mars r., Mars p. (gouv. VIII) conj. Mercure p. (gouv.), Jupiter
p. carré Neptune, Saturne p. conj. Uranus p., Vénus (autre gou­
verneur possible) semi-carré Jupiter p. et opp. Queue du Dragon,
toutes directions maléfiques en rapport avec le danger couru.
Mais la Lune progressee était, au moment de l’accident, en
trigone d ’un planétarium situé en XIIe maison et composé de

(1) Voir, à titre de curiosité, dans notre prochain numéro, le cas de Paul Choisnard
et Eudes Picard, astrologues jumeaux.
A propos de naissances simultanées ou gémellaires, on se souviendra que la revue a
mentionné plusieurs cas de personnes nées au meme moment et décédées de m eme, après une
vie identique. K.-E. Krafft cite, dans le dernier numéro du Grand Nostradamus, quatre fois
deux cas et une fois trois cas de naissances simultanées, aux memes endroits ou à peu près
et à des intervalles variant théoriquement de 0 minute H h. 20. Les décès ont eu lieu
de la même façon (meme maladie ou même cause) mais à des dates différentes. Il y a là un
cas assez curieux de deux enfants de familles différentes, l'un masculin, l ’autre fém inin, nés
à Bâle, le 7 août 1904, à 9 heures du matin et décédés tous deux de tuberculose pulmonaire,
le premier le 1" janvier 1921, la seconde le 31 mai 1919. Le sexe jouerait-il un rôle, ou
l ’hérédité ?

I27
 ' _ DEMAIN

Jupiter r., Mars r. et Soleil p. Il est probable que c est cet élément
bénéfique qui a sauvé le sujet d ’une mort presque certaine.
C ’est là toutefois une hypothèse gratuite et l’examen des
thèmes des victimes ne permet pas de trancher la question d ’une
façon aussi péremptoire. En effet, si l’on fait le dépouillement
des directions lunaires pour l’époque du décès, on constate que,
dans 32 cas seulement sur 54, ces directions sont exclusivement
maléfiques; dans les 22 cas restants — qui sont ainsi le résultat
d ’une sélection très rigoureuse et par le fait trop absolue — il y
a (rarement) présence exclusive de directions lunaires bénéfiques
ou, le ¡plus souvent, présence simultanée de directions lunaires
favorables et défavorables.
Encore le doute ne tiendrait-il généralement pas devant une
analyse un peu serrée de ces cas de simultanéité d’influences
contraires; car une opposition Lune-Saturne, par exemple, est
évidemment plus forte en principe qu’un sextile Lune-Vénus.
Puis il faut noter également l’ordre de préséance des aspects.
Remarquons d ’ailleurs que nous n ’envisageons ici les aspects
lunaires q u ’en ce qui concerne la détermination possible de
l’époque de la mort car, dans presque tous les cas douteux dont
nous parlons, les directions solaires ou planétaires sont suffisam­
ment éloquentes par elles-mêmes. Néanmoins, en ce qui concerne
donc ces directions lunaires, on peut admettre q u il y a, dans la
majorité des cas, un élément catégorique qui annihile toute
chance pure; dans un quart des cas environ il y a lutte — si l’on
peut dire — entre les configurations de sens opposé et, dans une
faible minorité des cas seulement, on ne trouve que des indications
favorables. Ce dernier groupe d ’exemples demeure évidemment
quelque peu déconcertant.
Mais rien ne prouve que, dans ces derniers cas, il n ’existe
pas un élément quelconque dont nous n ’avons pas tenu compte
— la progression de l’Ascendant par exemple — et qui consti­
tuerait lui-même un maléfice. Il n ’était guère possible, dans la
présente enquête, de tenir compte de cette progression des
Ascendants, pour la bonne raison que ceux-ci ne peuvent certai­
nement pas être connus avec exactitude, les heures inscrites à
l’état-civil n ’étant qu’approximatives. Or, sans l ’exactitude
absolue des heures de naissance, ce travail de progression eut été
un labeur supplémentaire sans aucun profit.
L ’examen des transits repris dans la dernière colonne du
tableau III peut également permettre des suggestions intéres­
santes. C ’est ainsi qu’on relève, sur les 54 cas étudiés, 94 transits
lunaires et 29 transits planétaires, soit une moyenne de 2 à 3 par
cas.
Parmi les transits lunaires, il faut noter tout spécialement la '
conjonction avec Neptune, qui vient en tête avec 20 cas, et les
conjonctions ou aspects dissonants sur Mars (15 cas), sur Uranus
128
 DEMAIN

(12 cas), sur Saturne (11 cas) et sur les luminaires (chacun
8 cas). Tout ceci confirme bien la logique, la tradition et
l’expérience.
Du côté des transits planétaires, c’est encore une fois Neptune
qui se met en évidence avec la conjonction du Soleil (5 cas). Puis
viennent les aspects dissonants de Mars sur lui-même et sur
Saturne (chacun 3 cas), ceux de Mars sur le Soleil, la Lune,
Uranus et Mercure (chacun 2 cas), et ceux du Soleil sur Uranus
(2 cas également). Les autres transits du Soleil, de Mars et
d ’Uranus n ’interviennent qu’une seule fois chacun. Ici également,
les constatations sont typiques.
Pour en revenir aux quelques cas imprécis dont nous avons
parlé plus haut, il se peut également que les directions primaires
donnent quelque chose de positif dans les cas qui nous paraissent
douteux. Il est assurément regrettable que ces directions n’aient
pu être examinées ici, concuremment avec les autres. .Mais les
auteurs de l’enquête, travaillant à celle-ci en dehors de leurs
occupations habituelles, ne disposaient forcément pas du temps
nécessaire à ces longs calculs; sans compter qu’il aurait encore
fallu s’entendre sur la méthode à adopter. D ’autre part, notre
Institut ne bénéficiant d ’aucun subside et arrivant tout juste à
subsister avec ses propres ressources, ne pouvait pas non plus
songer à rémunérer des collaborateurs éventuels, pas plus qu’il
n ’a rémunéré les auteurs de la présente enquête. Une grande
lacune se trouverait comblée si quelques cherdheurs sérieux
pouvaient s’intéresser au présent travail et le compléter par le
calcul des directions primaires. En se répartissant la besogne, la
chose n ’est pas impossible. Inutile de dire que nous accueillerions
avec intérêt toute proposition qui pourrait nous être faite dans
ce sens, de même que nous prendrons note de toute suggestion
ou observation que nos lecteurs pourraient nous transmettre.
Il ne reste peut-être q u ’un pas à franchir pour arriver à
découvrir des lois et des principes intéressants dans le domaine
le plus obscur qui soit. Devrons-nous renoncer à le franchir ?
C’est, en tout cas, une belle occasion qui s’offre aux partisans
des directions primaires de démontrer la valeur du système qu’ils
préconisent.
L ’Institut central belge
de Recherches astro-dynamiques.

L ir e d an s n o ir e p ro c h a in n u m é ro , p a r s u ite d e l'a b o n d a n c e
d e te x te :
Deux astrologues ’’ ju m e a u x ” : Paul Choîsnard et Eudes Picard,
avec portraits, thèmes astrologiques commentaires.
Les Catholiques et TAstro-dynamique.
Pronostics détaillés pour ja n v ie r 1935, etc.

129
 TAB LEA U I. — Donn ant les noms, prénoms, lieux et heures de

LIEU X ET DATES DE NAISS ANCE | MAISO N X

No NOMS ET PRÉNO MS HEURES
MILIEU DU CIEL

1 Deleuze, Louis-A ch. .. Quarcgnon 3 ju ill. 1874 16 10 Vierge

2 Huart, Jules ............... Pâturages 13 ju ill. 1880 21 9 Sagittaire
3 Limbou rg, H e n r i........ » 12 juin 1881 23 8 Sagitta ire
4 Cousin, Alfred ............ » 26 oct. 1881 8,30 11 Vierge
5 Genart , Gaston ........ La Bouveric 21 janv. 1882 22 1 Cancer
6 Vilain, Adclson .......... Pâturages 14 fév. 1882 0,30 2 Balance
7 Sottiau x, Georges . . . . Mardn elle 21 fév. 1883 19 18 Gémeaux
8 Blonde l, Léon ............ Eugics 13 août 1883 11 4 Lion
9 Cornez, Louis .......... Pâturages 19 nov. 1883 2 28 Gémeaux
10 Dclorgne, Arm ille . . . . Frameries 15 avril 1885 8 21 Verseau
11 Dehom breux, O nde .. La Bouvcrie 20 mai 1885 15 12 Cancer
12 Lermusiaux, Arthur .. Pâturages 9 nov. 1885 15 4 Capricorne
13 Lheure ux, Pierre-Jos. . La Bouverie . 7 fév. 1886 19 5 Gémeaux
14 Cousin , Louis . . ........ Pâturages 3sept. 1886 7 27 Gémeaux
15 Lermusiaux, Achille » 29 août 1887 14 8 Balance
16 Michel, Arm ilde ........ Wasmes 22 déc. 1887 9 18 Scorpion
17 Crombez, Emile ........ Pâturages 2 mai 1889 22 12 Balance
18 Godart, Alphonse . . . . Quaregnon 20 nov. 1889 13 16 Sagitta ire
19 Francx, Achille .......... Pâturages 1 ju ill. 1892 1,30 4 Verseau
20 Portion , V ita l ............ Quaregnon 12 oct. 1892 19 8 Verseau
21 Deroeck, Daniel . . . . Gramm ont 26 ju ill. 1893 1 20 Verseau
22 Garet, Gustave .......... Pâturages 18 avril 1894 5 14 Capricorne
23 Godart, Léon .............. » 10 avril 1895 12 24 Bélier
24 Caillau , Achille ........ Péronnes-lez-Binche 5 juin 1895 12 15 Gémeaux
25 Cornez, Noël .............. Pâturages 27 déc. 1895 6 10 Balance
26 Joly, Adonis .............. Blaregnies 7 fév. 1896 18 24 Taureau
27 Blanqu et, Prospe r . . . . Pâturages 18 avril 1896 15 17 Gémeaux
28 Ramasse, Aimable . . . La Bouverie 21 avril 1896 20 2 Vierge
29 Urbain , Emile ............ Frameries 25 mai 1896 22 10 Scorpion
30 Dehon, Léopold ........ Hornu 25 juin 1896 16 7 Vierge
31 Huchon , Adolph e . . . . Wasmes 26 juin 1896 10 11 Gémeaux
32 Ballez, A rth u r ............ » 28 fév. 1897 23 26 Lion
33 Hubert , Fulgen ce . . . . » 28 mars 1897 1 26 Balance
34 Gerin, Xavier ............ Flénu 6 mai 1897 6 16 Verseau
35 Hoyois , Emile ............ La Bouverie 19 ju ill. 1898 21 18 Sagitta ire
36 Dehon, Fernan d ........ Dour 10 août 1898 10 21 Cancer
37 Bertiau x, Emile ........ Pâturages 2 mai 1899 6,30 19 Verseau
38 Huart, Albert ............ » 5 ju ill. 1899 23,30 9 Caprico rne
39 Blairon , Joseph .......... » 8 août 1899 21 6 Caprico rne
40 Maleng raux, Emile .. Eugies 14 jan. 1901 8 29 Scorpio n
41 Garet, Zéphir ............ Pâturages 15 mars 1901 23,30 18 Vierge
42 Cardin al, Jean-B apt. . La Bouverie 21 avril 1901 23 20 Balance
43 Caudro n, F élix .......... 1» 6 oct. 1901 15 6 Sagitta ire
44 Rousseau, H enri ........ Pâturages 19 fév. 1902 12 0 Poissons
45 Dufour , Albert .......... » 15 mai 1902 14 27 Gémea ux
46 Van M olle, Edgard .. Jambes 13 fév. 1904 10,45 5 Verseau
47 Hoyois , Désiré .......... Frameries 25 juin 1904 2 4 Verseau
48 Auquiè res, Adelso n .. La Bouverie 10 ju ill. 1905 10 22 Gémea ux
49 Hoyois , Adelso n ........ » 28 sept. 1906 15 28 Scorpio n
50 Fiasse, Clotair e .......... Wasmes 4 sept. 1908 4 19 Taurea u
51 Dupon t, V ita l .............. Pâturages 25 jan. 1910 1 20 Lion
52 Ledoux , Louis ............ Wasmes 27 avril 1911 6 6 Verseau
53 Abrass art, Jules . . . . . Eugies 10 ju ill. 1911 23 6 Capric orne
54 Cuvelie r, Flor.-A .-P.-J. Pâturages 17 oct. 1912 6 27 Cancer

130
naissance des 54 victimes, avec la position des Maisons dans leurs thèmes.

ASCENDANT
MAISON XI MAISON XII . MAISON II MAISON III
MAISON I 1

11 Balance 3 Scorpion 20,55 Scorpion 21 Sagittaire 1 Verseau

27 Sagittaire 16 Capricorne 13,10 Verseau 12 Bélier 17 Taureau
26 Sagittaire 15 Capricorne 12,— Verseau 10 Bélier 16 Taureau
12 Balance 4 Scorpion 21,29 Scorpion 22 Sagittaire 2 Verseau
7 Lion 7 Vierge 0,50 Balance 05 Balance 25 Scorpion
29 Balance 19 Scorpion 5,48 Sagittaire 10 Capricorne 24 Verseau
24 Cancer 26 Lion 20,14 Vierge 14 Balance 13 Scorpion
8 Vierge 5 Balance 26,02 Balance 23 Scorpion 26 Sagittaire
4 Lion 4 Vierge 28,24 Vierge 22 Balance 22 Scorpion
21 Poissons 8 Taureau 25,29 Gémeaux 13 Cancer 0 Lion
17 Lion 16 Vierge 9,36 Balance 4 Scorpion 6 Sagittaire
23 Capricorne 19 Verseau 8,59 Bélier 23 Taureau 16 Gémeaux
12 Cancer 15 Lion 10,36 Vierge 2 Balance 0 Scorpion
3 Lion 3 Vierge 28,05 Vierge 21 Balance 21 Scorpion
4 Scorpion 24 Scorpion 9,58 Sagittaire 16 Capricorne 0 Poissons
8 Sagittaire 25 Sagittaire 14,02 Capricorne 6 Poissons 20 Bélier
8 Scorpion 27 Scorpion 12,45 Sagittaire 20 Capricorne 5 Poissons
4 Capricorne 24 Capricorne 26,56 Verseau 24 Bélier 25 Taureau
29 Verseau 11 Bélier 6,06 Gémeaux 28 Gémeaux 15 Cancer
4 Poissons 17 Bélier 11,53 Gémeaux 1 Cancer 19 Cancer
20 Poissons 6 Taureau 24,36 Gémeaux 12 Cancer 29 Cancer
5 Verseau 6 Poissons 3,10 Taureau 6 Gémeaux 26 Gémeaux
3 Gémeaux 12 Cancer 11,58 Lion 0 Vierge 23 Vierge
23 Cancer 23 Lion 18,19 Vierge 11 Balance 10 Scorpion
6 Scorpion 25 Scorpion 11,31 Sagittaire 18 Capricorne 3 Poissons
2 Cancer 6 Lion 2,28 Vierge 23 Vierge 20 Balance
23 Cancer 25 Lion 20,09 Vierge 13 Balance 12 Scorpion
4 Balance 27 Balance 15,48 Scorpion 18 Sagittaire 23 Capricorne
1 Sagittaire 18 Sagittaire 6,06 Capricorne 24 Verseau 10 Bélier
8 Balance 1 Scorpion 18,35 Scorpion 19 Sagittaire 28 Capricorne
18 Cancer 20 Lion 15,— Vierge 8 Balance 6 Scorpion
28 Vierge 23 Balance 11,16 Scorpion 10 Sagittaire 17 Capricorne
1Q Scorpion 7 Sagittaire 23,55 Sagittaire 5 Verseau 22 Poissons
15 Poissons 0 Taureau 20,13 Gemeaux 9 Cancer 26 Cancer
6 Capricorne 27 Capricorne 0,41 Poissons 28 Bélier 28 Taureau
26 Lion 24 Vierge 16,22 Balance 12 Scorpion 14 Sagittaire
19 Poissons 5 Taureau 23,20 Gémeaux 11 Cancer 28 Cancer
29 Capricorne 27 Verseau 22,53 Bélier 0 Gémeaux 21 Gémeaux
25 Capricorne 22 Verseau 13,57 Bélier 25 Taureau 18 Gémeaux
18 Sagittaire 5 Capricorne 28,07 Capricorne 25 Poissons 4 Taureau
18 Balance 9 Scorpion 26,33 Scorpion 28 Sagittaire 9 Verseau
14 Scorpion 2 Sagittaire 18,35 Sagittaire 28 Capricorne 15 Poissons
24 Sagittaire 13 Capricorne 7,40 Verseau 6 Bélier 12 Taureau
3 Bélier 20 Taureau 3,40 Cancer 20 Cancer 8 Lion
3 Lion 3 Vierge 27,25 Vierge 21 Balance 21 Scorpion
0 Poissons 12 Bélier 8,15 Gémeaux 29 Gémeaux 16 Cancer
29 Verseau 11 Bélier 6,41 Gémeaux 28 Gémeaux 15 Cancer
28 Cancer 29 Lion 24,02 Vierge 17 Balance 17 Scorpion
17 Sagittaire 4 Capricorne 28,55 Capricorne 23 Poissons 3 Taureau
27 Gémeaux 2 Lion 29,17 Lion 19 Vierge 15 Balance
23 Vierge 18 Balance 7,20 Scorpion 6 Sagittaire 11 Capricorne
2 Poissons 14 Bélier 9,54 Gémeaux 0 Cancer 17 Cancer
25 Capricorne 22 Verseau 15,15 Bélier 25 Taureau 18 Gémeaux
2 Vierge 29 Vierge 21,— Balance 17 Scorpion 20 Sagittaire
131
 T A B L E A U II. — Suite du tableau I, donnant pour

No SOLEIL LUNE MERCURE VÉNUS

11 Cancer 1 Poissons 6 Lion 14 Lion

2 22 Cancer 4 Balance 17 Lion 22 Cancer
3 22 Gémeaux 1 1/3 Capricorne 16 Cancer Il Taureau
4 3 Scorpion 13 Va Sagittaire 241/2 Scorpion 5 Balance
5 2 Verseau 3 Poissons 12 Verseau 24 y2 Capricorne
6 25 Verseau 28 Sagittaire 10 Poissons 23 1/2 Verseau
7 3 Poissons 0 Vierge S 1/2 Verseau 16 Capricorne
8 20 Lion 17 Sagittaire 4 1/2 Vierge 10 Lion
9 26 i/ÿ Scorpion 26 Cancer 22 Scorpion 11 1/2 Sagittaire
10 25 1/2 Bélier 27 Bélier 12 Taureau 20 y2 Bélier
11 29,41 Taureau 21 y2 Lion 5 y» Taureau 4 Gémeaux
12 17 J/« Scorpion 19 y2 Sagittaire 1 1/2 Sagittaire 2 1/2 Capricorne
13 19 Verseau 29 " Poissons 7 ' Verseau 6 Poiss. (R)
14 11 Vierge 16 Scorpion 23 Lion 17 y· Lion
15 6 Vierge 22 y2 Capricorne 24 Lion 6 Balance
16 0,15 Capricorne 1 Bélier 15 Sagittaire 14 >/2 Scorpion
17 12 i/2 Taureau 14 Gémeaux 21 1/2 Taureau 10 Taureau (R)
18 28 1/2Scorpion 24 y2 Balance 18 1/2 Scorpion 7 Scorpion
19 9 V- Cancer 27 1/2 Vierge 21 y2 Cancer 23 Cancer (R)
20 20 Balance 18 y2 Cancer 23 Balance 5 »/·.· Vierge
21 3 Lion 1 y2 Capricorne 23 Lion 26 Lion
22 23 Bélier 5 Balance 2 Bélier 12 Poissons
23 20 Bélier 3 Scorpion 25 Poissons 21 Taureau
24 14 V2 Gémeaux 20 1/2 Scorpion 8 Cancer 27 Cancer
25 5 V2 Capricorne 9 Taureau 9 Capricorne 20 Scorpion
26 18 V* Verseau 10 Sagittaire 21 Verseau (R) 11 Capricorne
27 29 Bélicr 1 Cancer 29 y2 Bélier 7 .Bélier
28 2 Taureau 13 1/2 Lion 6 1/2 Taureau 11 Bélier
29 5 Gémeaux 21 y2 Scorpion 24 Gémeaux 23 Taureau
30 4 1/2 Cancer 9 Capricorne 16 1/2 Gémeaux 1 Cancer
31 5 Cancer 19 V2 Capricorne 16 y2 Gémeaux 1 1/2 Cancer
32 11 Poissons 11 Verseau 17 Verseau 26 1/2 Bélier
33 71/3 Bélier 9 y2 Verseau 2 ’/2 Bélier 15 Taureau
34 16 Taureau 4 Cancer 4 Gémeaux 4 Taureau (R)
35 27 Cancer 9 Lion 17 Lion 5 Vierge
36 18 Lion 1 Gémeaux 15 Vierge 29,54 Vierge
37 11 i/2 Taureau 5 y2 Verseau 17 Bélier 6 Bélier
38 13 y2 Cancer 23 Gémeaux 5 Lion 24 Gémeaux
39 16 Lion 12 Vierge 3 Vierge (R) 5 1/2 Lion
40 23 Va Capricorne 9 1/2 Scorpion 18 y2 Capricorne 27 y2 Sagittaire
41 25 Poissons 23 y®Capricorne 91/2 Poiss. (R) 13 Poissons
42 1 Taureau 14 Gémeaux 9 y2 Bélier 29 Bélier
43 13 Balance 4 V2 Lion 7 Scorpion 23 Scorpion
44 29,56 Verseau 21 Cancer 28 y2 Verseau (R) 22 1/2 Verseau (R)
45 24 Taureau 6 Vierge 11 y2 Gémeaux 9 Bélier
46 23 1/2 Verseau 21 Capricorne 28 Capricorne 17 Capricorne
47 3 Cancer 29,41 Scorpion 161/2 Gémeaux 29 y®Gémeaux
48 17 y2 Cancer 26 y2 Balance 4 y® Lion 2 Gémeaux
49 41/2 Balance 17 1/2 Verseau 8 Balance 20 y2 Scorpion
50 11 Vierge 15 Sagittaire 24 Vierge 26 Cancer
51 4 Verseau 29 Cancer 7 Verseau (R) l· Poiss. (R)
52 6 Taureau 13 Bélier 18 Taureau (R) 11 Gémeaux
53 17 1/2Cancer 11 Capricorne 25 y2 Cancer 3 Vierge
54 23 y2 Balance 14 Capricorne 2 y2 Scorpion 21 Scorpion
132
les mêmes les positions des planètes dans leurs thèmes.

MARS JU P IT E R SATURNE URANUS N E PT U N E

12 C ancer 25 V ierge 13 V erseau (R) 9 Lion 7 T aureau

25 i/o Lion 18 7 Bélier 28 Bélier 6 1/2 V ierge 14 T aurea u
23 1/2 Bélier 14 1/2 T au rea u 5 T aureau 10 V ierge 15 1/2 T aureau
12 1/2 C ancer 23 1/2 T aurea u (R) 9 1/2 T aureau (R) 17 V ierge 15 1/2 T aureau (R)
23 Gém.< (R) 16 1/2 T a u re a u 6 T aureau 18 V ierge (R) 14 T aureau (R)
28 G ém eaux 18 T a u re a u 7 T aureau 17 1/2 V ierge (R) 14 T aureau
14 i/·. V erseau 21 1/2 G ém eaux 20 T aureau 22 V ierge (R) 16 T aureau
23 G ém eaux 22 C ancer 9 G ém eaux 22 V ierge 21 T aureau
15 7 Lion 4 1/2 Lion 7 7 Gém . (R) 27 V ierge 191/2 T aureau (R)
12 Bélier 26 Lion (R) 20 G ém eaux 29,50 V ierge (R) 22 T aureau
9 T au reau 27 Lion 24 G ém eaux 29 V ierge (R) 23 T aureau
1/., V ierge 29 V ierge 8 C ancer (R) 6 Balance 24 T aureau (R)
24 V ierge (R) 5 1/2 Balance (R) 2 Cancer (R) 71/2 Balance (R) 23 T aureau
8 Scorpion S 1/2 Balance 19 C ancer 61/2 Balance 28 T aureau (R)
1 7 Lion 2 Scorpion 1 Lion 10 1/2 Balance 0,05 G ém eaux
S Balance 25 1/2 Scorpion 5 1/2 Lion (R) 17 Balance 28 T aureau (R)
25 T au rea u S C apric. (R) 14 Lion 19 Balance (R) 1 Gém eaux
6 Balance S 1/2 C apricorne 3 V ierge 241/2 Balance 3 Gém. (R)
17 V erseau 22 Bélier 24 1/2 V ierge 2 Scorp. (R) 10 G ém eaux
16 V erseau 20 Bélier (R) 5 7 Balance 5 1/2 Scorpion 11 Gém. (R)
16 7 Lion 27 T aurea u S Balance 7 Scorpion 13 G ém eaux
15 V erseau 3 G ém eaux 21 Balance (R) 14 Scorp. (R) 12 Gém eaux
23 G ém eaux 29,58 G ém eaux 5 Scorp. (R) 19 Scorp. (R) 13 Ÿ2 G ém eaux
27 C ancer 10 C ancer 1 Scorp. (R) 17 Scorp. (R) 15 1/2 G ém eaux
11 S agittaire 7 1/2 Lion (R) 16 Scorpion 23 Scorpion 16 Gém . (R)
11 7 C apricorne 2 Lion (R) 19 Scorpion 241/2 Scorpion 15 1/2 Gém . (R)
5 Poissons 0,01 Lion 17 Scorp. (R) 23 1/2 Scorp. (R) 16 G ém eaux
7 1/2 Poissons 0,16 Lion 17 Scorp. (R) 23 1/2 Scorp. (R) 16 G ém eaux
3 Bélier 4 1/2 Lion 14 1/2 Scorp. (R) 22 Scorp. (R) 17 G ém eaux
26 Bélier 10 Lion 13 Scorp. (R) 21 Scorp. (R) 18 y 2 G ém eaux
26 Bélier 10 .Lion 13 Scorp. (R) 21 Scorp. (R) 18 1/2 G ém eaux
21 G ém eaux 4 7 V ierge (R) 1 S agittaire 29 Scorpion 17 1/2 G ém . (R)
3 C ancer 1 1/2 V ierge (R) 7 S agitt. (R) 29 Scorp. (R) 18 G ém eaux
23 C ancer 7 V ierge 28 7 Scorp. (R) 271/2 Scorp. (R) 19 G ém eaux
1/2 G ém eaux 4 Balance 6 S agitt. (R) 29 V2 Scorp. (R) 23 7 G ém eaux
15 G ém eaux 7 7 Balance 5 1/2 S agitt. (R) 29 Vs S corpion 24 G ém eaux
7 Lion 4 1/2 Scorp. (R) 23 S agitt. (R) 7 S agitt. (R) 23 G ém eaux
11 V ierge 1/2 Scorpion 19 S agitt. (R) 4 1/2 S agitt. (R) 25 G ém eaux
2 Balance 3 Scorpion 17 S agitt. (R) 4 S agitt. (R) 26 G ém eaux
12 1/2 V ierge 29 S agittaire 9 C apricorne 15 S agittaire 27 G ém . (R)
25 y 2 Lion (R) 10 C apricorne 15 C apricorne 17 S agittaire 261/2 G ém eaux
25 Lion 13 C apricorne 16 7 C apricorne 16 1/2 S ag itt. (R) 27 G ém eaux
241/2 Scorpion 5 C apricorne 10 C apricorne 14 S a g ittaire 1 1/2 C ancer (R)
8 V2 Poissons 3 V erseau 23 1/2 C apricorne 21 S agittaire 29 G ém . (R)
13 Va T au rea u 16 7 V erseau 28 C apricorne 20 1/2 S ag itt. (R) 29,49 G ém eaux
19 i/o Poissons 26 Poissons 13 V erseau 29 S a g ittaire 3 1/2 C ancer (R)
26 G ém eaux 25 1/2 Bélier 2 0 7 V erseau (R) 28 S ag itt. (R) 5 1/2 C ancer
11 1/2 Scorpion 28 T a u re a u 2 Poiss. (R) 1 72 C apric. (R) S C ancer
10 V ierge 9 1/2 C ancer 10 Poiss. (R) 4 1/» C apricorne 12 1/2 C ancer
7 V ierge 28 Lion 9 Bélier (R) 13 C apric. (R) 161/2 C ancer
1 T aureau 14 1/2 Balance 171/2 Bélier 22 C apricorne 17 7 C a ncer (R)
3 Poissons 10 S corp. (R) 9 T au rea u 29 1/2 C apricorne 19 C ancer
27 Bélier 5 Scorpion 18 T aurea u 28 C apric. (R) 21 C ancer
29 7 Balance 13 S agittaire 3 G ém . (R) 29 7 C apricorne , 26 C ancer
TABLEAU III Donnant pour le thème de chaque victime les
et les transits remarquables
II
re
rd ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS DE LA NATIVITÉ DIRECTIONS SECONDAIRES (1)
o
’
d

1 Soleil et Mars (gouv.) conj. en VIH. Nep­ S o le il p. con j. M. C., sem i-c. V é n u s p.
tune en VL Vénus (gouv. VI) et Mercure Lune carre Saturne et Vénus r.
(gouv. VIH) opp. Saturne.

2 Saturne (gouv.) en chute. Soleil conj. PoIIux. S a tu rn e paraît. U ran u s.

Lune en VIH. Soleil en VI, conj. Vénus Lune p. conj. Vénus (gouv. VIH).
(gouv. VIH). Neptune carré Asc. Soleil- Lune p, conj. M ars p .
Vénus carré Saturne (gouv.) et semi-c.
Uranus.

3 Saturne conj. Neptune, carré Asc. Uranus S o le il p. op p . A sc. r., carré S a tu rn e p.

sesqui-c. et paraît. Mars. L u n e p. o p p . M ars p.

4 Mars (gouv.) en chute, en VIH. Soleil L u n e con j. Asc. r., op p . m i-p o in t J u p i­

en XII. Neptune en VI, conj. Saturne. ter r. p.
Soleil proche parai. Mars r.

5 Saturne et Neptune en VIII. Uranus en XII. L u n e s e x t. S o le il p., con j. V é n u s(g o u v .).

Jupiter (gouv. VI) en VIII, conj. Neptune. L u n e p. carré p o in te VIII.
Mars (R) (gouv. VIH) au M. C., carré Asc. S o le il p. sem i-c. S a tu rn e p.
V én u s (gouv.) p. se m i-c. N e p tu n e p.

6 Jupiter (gouv.) en VI. Lune (gouv. VIII) Ju p iter (gouv.) p. carré S o le il r.

opp. Mars. L u n e p. q u inc. V én u s p.
(vient de opp. Jupiter p. gouv.).
Soleil p . carré M ars p.

7 Uranus à l’Asc. Jupiter carré Uranus. S o le il et M ercure p. (gouv.). en VIII.

Soleil VI opp. Lune XII. Mars (gouv. L u n e p. se x tile N e p tu n e p., se x tile
VIH) carré Saturne (gouv. VI). S a tu rn e r., carré M ercure p. {vient de
opp. Vénus r.)
Mars (gouv. VIII) p. carré Jupiter p.
8 Saturne et Neptune en VIH. Mars opp. L u n e p. carré Ju p iter p.
Lune. Mars carré Uranus. Soleil carré S o le il p. (XII) trig. S a tu rn e r. (VIII).
Neptune.

9 Uranus à l’Asc. Mars semi-c. Asc. Vénus M ars p ro ch e paraît. S a tu rn e.

(gouv.) opp. Saturne. L u n e op p . M ercure (gouv.) r.
Lune proche opp. Soleil r.

B4
éléments inquiétants de la nativité, les directions critiques pour 1934
du jour de la m ort
I I
re
o rd
N o DIRECTIONS SYMBOLIQUES (1) TRANSITS
’
d
La dite en italique correspond & celle du décès présumé

1 Lune conj. Neptune. 15 mai : Mars conj. Lune p. en VI.

Saturne c. Mars.

2 Mars opp. Jupiter. 15 mai : Lune carré Soleil p.

Vénus (gouv. VIII) trig. Neptune.

3 Saturne opp. Lune. 15 mai : Lune conj. Queue Dragon.

Mars conj. Queue Dragon. Lune conj. Soleil r.

4 Saturne trig. Soleil, opp. Part Fortune 15 mai : Lune conj. Queue Dragon, r.
Uranus opp. Saturne. Mars conj. Jupiter (gouv. IV).
Neptune sesqui-c. Mercure (gouv. VIII).
Mars sext. Soleil.

5 Saturne opp. Mars (gouv. VIII). 15 mai: Lune carré Uranus p. r.

Vénus (gouv.) opp. Uranus.

6 Saturne conj. Mars, opp. Lune (gouv. 14 mai : Lune opp. Asc. r.
VIII). 15 mai : Lune carré Uranus p. r.

7 Mars semi-c. Saturne. 17 mai : Lune semi-c. Saturne r. p.

Uranus carré Mars.

8 Mars conj. mi-point Vénus-Soleil. 15 mai : Lune conj. Lune r.

Lune carré Uranus r.
Du 13 au 16 : Lune traverse VIII.
9 Uranus opp. Neptune. 2 mai : Uranus conj. Queue Dragon p.
Saturne sext. Uranus. 14 mai : Lune conj. Saturne p. r.
15 mai : néant.

B5
 DEMAIN
9 9
e
r
o d ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS DE LA NATIVITÉ
N ro DIRECTIONS SECONDAIRES (1)
’
d

10 Saturne à l’Asc. Uranus carré Asc. Lune p. sextile Mars r., carré Mercure r.,
sesqui-carré Uranus p. et r. trigone
Soleil p.
Soleil p. proche parai. Saturne r.
Mars p. proche parai. Neptune r.
Saturne p. proche Asc. r.

11 Soleil, Neptune, Mars en V III. Uranus en Lune opp. Neptune p.

X II. Soleil conj. Pléiades. Soleil conj. Mars p. semi-c. Mercure p.
Neptune, carré Jupiter.

12 Soleil (gouv. VI) pointe V III. Mars (gouv. Soleil p. carré Uranus r.
V III) en VI. Soleil (gouv. V I) opp. Lune p. sextile Mercure r., carré
Neptune. Saturne carré Asc., opp. M. C., Vénus r. {va vers carré Saturne p.)
carré Uranus. Soleil p. opp. Saturne p.

13 Soleil en VI. Soleil carré Neptune, sesqui-c. Soleil p. opp. Uranus r. et Jupiter.
Saturne. Lune carré Saturne, opp. Mars Uranus p. conj. Jupiter r.
(gouv. V III). Saturne carré Uranus. Lune p. sextile Queue Dragon p.
Mars p. à 2o Asc. r.

14 Soleil en X II. Mars p. carré Soleil r.

Lune p. va vers sextile Uranus r.

15 Saturne et Mars en V III. Neptune en VI. Mars p. carré Neptune r.

Lune (gouv. V III) en exil. Jupiter (gouv.) Lune p., trig. Neptune p. et r., sextile.
carré Saturne et Mars. Saturne conj. Mars. Saturne r. et Mars r.
Soleil carré Asc.

16 Saturne (gouv.) en exil. Soleil én X II. Mars Vénus p. carré Mars r.

en exil, en V III. Mars opp. Lune. Asc. Lune p. sext. mi-point Mars r. et Ura­
carré Uranus et Mars. nus r. va vers conj. Mercure gouv. VIII.

17 Saturne en exil en V III. Soleil carré Saturne. Lune p. carré Soleil r.

Lune (gouv. V III) opp. Asc. Mars p. conj. Soleil p.

1S Lune et Uranus (gouv.) en V III. Vénus Jupiter p. sesqui-c. Saturne p.

(gouv. V III) en VIH, en exil. Uranus Vénus (gouv. V III) carré Saturne p.
(gouv.) conj. Lune (gouv. V I). Saturne Lune p. va vers trig. Lune r., Uranus r.t
opp. Asc., carré Neptune. Soleil opp. sesqui-c. Vénus r. (gouv. VIII).
Neptune.

136
 DEMAIN
I I
e
r
o d
N ro DIRECTIONS SYMBOLIQUES (1) TRA N SITS
' La date en italique correspond & celle du décès présumé
d

10 Mercure (gouv.) carré Queue Dragon. 16 mai : Lune conj. Saturne p. et Asc. r.
Neptune carré Mars. Lune carré Uranus p. r.
17 mai : néant.
18 mai : Mars conj. Mars p.

11 Mars carré Uranus. 14 mai : Soleil conj. Neptune r.

Saturne semi-c. Uranus. 15 mai : Mars opp. Asc. r.
Neptune semi-c. Jupiter.

12 Uranus opp. Neptune r. 14 mai : Lune carré Mars r.

Soleil conj. Neptune p.
15 mai : Lune opp. Lune r.
Lune carré Mars p.
Soleil conj. Neptune r.
16 mai : Mars opp. Soleil r.
13 Saturne opp. Soleil, semi-c. Jupiter. 14 mai : Soleil conj. Neptune r.
Vénus (gouv.) opp. Mars. Lune carré. Mars p.
Mars sesqui-c. Lune. 15 mai : Soleil conj. Neptune p.
Uranus opp. Neptune. 16 mai : Lune carré. Mars r.
Neptune très près Mars p.

14 Saturne conj. Tête Dragon. 15 mai: Lune opp. Mars p. (Mars gouv. VIII).
Mercure (gouv.) sext. Mars. Lune carré Soleil r.

15 Lune (gouv. VIII) carré Asc. 14 mai : Lune opp. Asc. r.

15 mai : Néant.
16 mai : Lune carré. Lune p.

16 Mars conj. Jupiter. 17 mai : Mars opp. M. C. r.

Neptune carré Uranus. Soleil opp. Jupiter (gouv. XII).

17 Neptune conj. Tête Dragon. 15 mai : Lune opp. Asc.

Uranus opp. Neptune. Lune conj. Lune r.
Neptune carré Uranus.
Jupiter (gouv.) carré Mars. Mars conj. Saturne p.
Uranus opp. Neptune.

18 Saturne carré Jupiter. 14 mai : Lune carré. Saturne r. et p.

Neptune opp. Jupiter. 15 mai : Lune opp. M. C. r.
Neptune semi-c. Saturne.
Mars conj. Vénus.

137
 DEMAIN
1 1
1
re
o rd ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS DE LA NATIVITÉ DIRECTIONS SECONDAIRES (1)
N 'o
d

19 Uranus en VI. Uranus carré M. C. M ercure (gouv.) p. carré N e p tu n e p.

Soleil p. opp. Mars p.
Lune p. va vers sext. Neptune r.t carr
Soleil r.

20 Mercure (gouv.), Uranus et Soleil en VI. M ars carré N ep tu n e.

Neptune à l’Asc. Lune carré Soleil. Lune p. approchant opp. Lune r. (II-V1H),
carré Jupiter p. (gouv.).

21 Uranus pointe VI. Neptune en XII. M ars p. con j. S o le il p.

S o le il carré N e p tu n e r. et p.
Lune p. sext. Mercure p.
Lune p. approche opp. Lune r.

22 Saturne en VI. Vénus (gouv.) en XII. Saturne M ars p. co n j. V é n u s r. (gouv.).

(exaltation maximum) opp. Soleil. V é n u s p. op p . S a tu r n e r.
J u p iter (gouv.V I 11) con j. N e p tu n e r. et p.
L u n e p. con j. M ars p., carré J u p iter p.
(gouv. VIII), trig. U ran u s p.
Carré Mars-Jupiter se déforme.

23 Uranus et Saturne dans Scorpion en IV. S a tu rn e p. con j. L u n e r.

Saturne (gouv. VI) sesqui-c. Mars, carré L u n e p. con j. M ercure r., se x t.
Asc. S o le il p., carré J u p iter (g o u v . VIII).
M ars p. carré Soleil r.

24 Queue Dragon conj. Asc. Soleil conj. N ep­ M ars p. carré L u n e r.

tune, carré Asc., sesqui-c. Saturne (gouv. L u n e p. en VIII, se x t. S o le il r., sext.
VI). Mars (gouv. VIII) carré Saturne Neptune r.f carré Jupiter r.
(gouv. VI).

25 Uranus en XII dans Scorpion. Mars conj. Soleil p. carré Saturne r.

Asc. Neptune opp. Asc. Mars opp. Nep­ Lune p. sext. M ars r., trig. Soleil p . y trig.
tune. Uranus conj. Saturne. Vénus (gouv. Neptune p.
VI) conj. Uranus, Saturne, semi-c. Soleil.

26 Soleil en VI en exil. Mercure (gouv.) en VI. L u n e p. carré M ars r.

Soleil et Mercure carré M. C., Uranus et J u p iter p. sem i-c. N e p tu n e .
Saturne. Uranus conj. Saturne, opp. M. C. Mars p. semi-c. Soleil p.
Saturne (gouv. VI) carré exact· Soleil.

27 Uranus et Saturne dans Scorpion. Uranus V én u s p. o p p . U ran u s r.

conj. Saturne. L u n e p. carré M ars r. (gouv. VI).
Soleil p. carré Mars r.
138
 DEMAIN
II |
re
o rd
N o DIRECTIONS SYMBOLIQUES (1) TRA N SITS
' La date en italique correspond à celle du décès présumé
d

19 Neptune conj. Mercure et Vénus, c. 14 mai : Lune conj. Neptune r.

Jupiter. 75 mai : Lune conj. Neptune p. et carré
Mercure (gouv.) sext. Uranus. Mercure (gouv.).
Uranus carré Mercure (gouv.). Mars carré Mars r.
16 mai : Lune carré Saturne r.

20 Uranus sext. Soleil, sext. Mars. 14 mai : Lune conj. Neptune p.

Saturne carré Mars. 75 mai : Lune conj. Neptune r.
Lune conj. Asc.

21 Uranus carré Tête Dragon. 77 mai : Lune carré Saturne (gouv. VIII).
Saturne carré Mars.
Uranus trig. Mars.

22 Neptune carré Saturne. 75 mai : Lune conj. Neptune r. p. (gouv.

Jupiter (gouv. VIII) opp. M. C. XII).
Saturne opp. Jupiter (gouv. VIH).

23 Mars carré Lune. 75 mai : Lune conj. Neptune r. p

Saturne opp. Neptune. 16 mai : Lune conj. Mars r.
Neptune carré Soleil.
Uranus opp. Jupiter (gouv. VIII).

24 Mercure (gouv.) carré Uranus. 14 mai : Mars opp. Uranus p.

Neptune conj. Vénus-Mars. 75 mai : Mars opp. Uranus r.
Saturne opp. Soleil à 4°. Lune conj. Neptune p.
Lune carré Asc. r.

25 Jupiter (gouv.) carré Neptune. 75 mai : Lune opp. Mars r.

Lune (gouv. VIII) conj. Neptune. Lune opp. Asc. r.
Uranus conj. Soleil, carré Part Fortune. Lune conj. Neptune p. r.
Soleil opp. Uranus p.

26 Jupiter (gouv. VIII) carré Lune r. 77 mai : Lune opp. Mars r.

Neptune triçone Uranus. Mars carré Soleil r.
Uranus senu-c. Saturne.
Mars conj. Mercure (gouv.), conj.
Soleil, carré Saturne.
Mercure (gouv.) conj. Soleil.

27 Uranus opp. Lune. 75 mai : Néant.

139
 DEMAIN
il1
re
o dr ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS DE LA NATIVITÉ DIRECTIONS SECONDAIRES (1)
N o’
d

28 Soleil en XII. Neptune en VIII. Queue S o le il p. carré M ars r.

Dragon conj. M. C. Uranus conj. Saturne L u n e p. se x t. S atu rn e r.
à l’Asc.

29 Saturne (gouv.) et Uranus dans Scorpion. S o le il p. se m i-c. Q u e u e D ragon .

Mars carré Asc. L u n e p. carré S o le il p., se x t.
M ercure p., carré Vénus p.

30 Soleil et Neptune en VIII. Saturne en XII. M ercure p. carré S a tu rn e r. et p.

Uranus à l’Asc. Soleil sesqui-c. Uranus. M ars p. op p . U ran u s r. et p.
Lune opp. Soleil. S o le il p. carré S a tu rn e r. p.
Lune p. approche opp. Uranus p.

31 Mars en VIII. Saturne et Uranus dans M ars p. op p . U ran u s r.

Scorpion. M ercure (gouv.) p. carré S a tu rn e r. et p.
Soleil p. carré Saturne r. et p.
Lune carré Vénus p., carré Jupiter p.

32 Uranus dans Scorpion. Mars (gouv.) S o le il p. se sq u i-c. S atu rn e r. p.

en VIII. Uranus conj. Saturne. Mars conj. L u n e p. carré S o le il r.
Neptune.

33 Jupiter (gouv. R.), en exil. Neptune en VI. Ju p iter (gouv.) carré S a tu rn e r.

Jupiter (gouv.) carré Saturne et Uranus. Lune p. quitte conj. Neptune, p.
Neptune opp. Asc. Saturne conj. Uranus.

34 Saturne et Uranus en VI. Soleil et Neptune L u n e p. op p . S o le il r.

en XII. Saturne conj. Uranus. Mercure M ars p. carré S o le il r.
(gouv.) opp. Uranus et Saturne (gouv. S o le il p. con j. N e p tu n e p.
VIII).

35 Uranus dans Scorpion. Mars carré Asc., L u n e p. con j. U ran u s r.

opp. Saturne et Uranus. Uranus carré Asc. S o le il p. op p . Asc., c. M ars r., c. Uranus.
Vénus (gouv. VIII) opp. Asc., carré Mars M ars p. con j. N e p tu n e p.
et Saturne. V én u s(gou v.V H I) carré Q u e u e D ragon .

36 Lune en VIII, opp. Uranus, opp. Saturne. L u n e p. carré M ars {quitte carré Uranus
et Saturne).
M ars p. carré J u p iter r.
Soleil p . carré Neptune r.

37 Neptune à l’Asc. Soleil en XII. Uranus en VI. M ars p. carré L u n e p.

Saturne (gouv. VIII) opp. Asc. Soleil M ercure (gouv.) op p . U ra n u s p.
carré Mars. Mars opp. Lune. Saturne opp. L u n e p. q u in c . S a tu rn e r.
Uranus. (va vers carré M ars p.).

140
 DEMAIN
I I
e
r
o d
N ro DIRECTIONS SYMBOLIQUES (1) T R A N S IT S
' La date en italique correspond i celle du décès présumé
d

2S Mercure (gouv. VIII) sext. Lune, conj. 15 mai: Lune conj. Neptune r. p. pointe VIII.
Neptune. Mars opp. Saturne r.
Saturne opp. Mercure (gouv. VIII).
Uranus trig. Soleil, quinq. Jupiter.
Neptune trig. Uranus.
Mars sext. Neptune, quinq. Saturne.
29 Saturne quinq. Vénus. 15 mai·. Lune conj. Neptune r. p.
Soleil (gouv. VIII) trig. Saturne.
Uranus carré Mars.
Mars opp. Saturne.

30 Neptune carré Mars. 75 mai'. Lune conj. Mercure r. (gouv. VIII).

Uranus opp. Vénus. Lune conj. Neptune r. p.
Saturne opp. Neptune. Lune entre en VIII.

31 Neptune carré Mars. 15 mai : Mars conj. Lune p.

Saturne opp. Neptune. 17 mai : néant.
Uranus opp. Vénus. 21 mai : Mars conj. Mars p.

32 Rien. 75 mai : Lune conj. Mars r.

33 Mars opp. Lune. 75 mai : Lune conj. Neptune r. p.

Saturne carré Soleil. 19 mai : Soleil opp. Uranus.
Jupiter (gouv.) opp. Soleil.

34 Mars conj. Jupiter, carré Saturne. 75 mai : Lune conj. Neptune r. p.

Uranus trig. Vénus, opp. Lune. Lune conj. Asc. r.
Saturne opp. Lune, trig. Vénus. Lune conj. Soleil, p.
Neptune trig. Uranus, trig. Saturne.

35 Uranus carré Jupiter (gouv.). 17 mai : Lune conj. Queue Dragon.

Neptune trig. Uranus, conj. Soleil.

36 Soleil carré Neptune. 75 mai : Lune carré Lune p.

Mars conj. M. C. Lune conj. Mars r.
Neptune trig. Uranus. Lune carré Soleil, p.

37 Mars trig. Soleil. 75 mai : Lune opp. Saturne p.

Uranus trig. Soleil. 16 mai : Lune opp. Saturne r.
Lune conj. Neptune j .

141
 DEMAIN
n 1
e
r
o d
r ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS DE LA NATIVITÉ DIRECTIONS SECONDAIRES (1)
n o
’
d

38 Mars (gouv.) en VI. LJranus (gouv. XII) Neptune conj. Queue Dragon.
en VIII. Soleil conj. Canopus. Mars (gouv.) Mercure p. carré Uranus p. et r.
carre Saturne. Uranus parai. Saturne. Lunep. carré Lune r., carré Vénus,
Saturne opp. Lune et Neptune. Lune conj. carré Neptune.
Neptune.

39 Mars (gouv.) en VI, en exil et gouv. VIII. Lune p. conj. Saturne r.

Uranus (R.) en VIII. Neptune conj. Queue Soleil p.semi-c.Jupiter p., carré Saturne r.
Dragon. Lune carré Saturne.

40 Soleil et Saturne en XII. Mercure (gouv. VIII) Soleil p. carré Queue Dragon, semi-c.
en XII. Vénus (gouv. VI) opp. Neptune. Saturne p.
Mars carré Uranus. Saturne p. semi-c. Tête Dragon.
Mercure p. (gouv. VIII) opp. Mars r.,
carré Uranus r.
Lune p. sans aspects.

41 Neptune en VIII. Mars carré Asc. Lune p. carré Saturne p.

Mars p. quinc. Soleil r.
Mars p. carré Queue Dragon p.
Vénus p. carré Lune r. (gouv. VIII).
Soleil p. trig. Mars r.

42 Saturne et Uranus à l’Asc. Lune en VI. Soleil p. carré Mars p.

Mars en VIII. Jupiter (gouv.) en chute. Mercure p. opp. Uranus r.
Mercure (gouv. VI) carré Saturne, carré Lune p. (en VIII) carré Soleil p.
Jupiter (gouv.), sesqui-c. Mars. Lune
(gouv. VIII) opp. Asc. et Uranus.

43 Soleil en VIII, en chute. Saturne (gouv.) Lune en VIII carré Saturne r. et p.

en XII. Soleil carré Saturne. Saturne Soleil p. conj. Tête Dragon.
parai. Uranus. Lune (gouv. VI) opp. Asc. Vénus (gouv. VIII) opp. Neptune r. p.

44 Saturne (gouv. VIII) en VIII. Uranus en VI. Lune carré Neptune r. et p.

Neptune à l’Asc. Lune conj. Pollux. Lune Soleil p. sext. Jupiter r.
dignifiée opp. Saturne dignifié. Soleil p.conj. Mars p., carré Neptune r. etp.

45 Mars en VIII, en exil. Lune en XII. Neptune Mars p. carré Lune r.

au M. C. Mars (gouv. VIII) carré Jupiter Vénus p. conj. Mars r.
(gouv. VI). Neptune carré Asc. Uranus Lune p. sext. Lune r.
opp. M. C.

46 Uranus pointe VIII. Soleil et Lune en exil. Jupiter (gouv. VIII) carré Neptune r. et p.
Asc. conj. Aldébaran. Uranus opp. Nep­ Mars p. sext. Saturne r.
tune (II-VIII). Saturne semi-c. Uranus. Lune p. sext. Uranus r.
142
 DEMAIN
II 1
e
r
o d
N ro DIRECTIONS SYMBOLIQUES (I) T R A N SIT S
’ La date en italique correspond i celle du décès présumé
d

38 Saturne carré Asc. 15 niai : Lune opp. Saturne p. r.

Uranus conj. M. C., trig. Mars.
Neptune carré Jupiter (gouv. VIII).
Jupiter conj. Uranus.

39 N eptune carré Jupiter. 15 mai : Mars sesqui-c. Marsr.

Mars carré Vénus. Lune opp. Saturne r. et p.
17 niai : néant.
18 mai : Lune conj. Neptune r.
Lune conj. Neptune p. et Queue Dragon.

40 Uranus conj. Mercure (gouv. VIII). 15 mai : Lune carré Mars r.

Mars sextile Uranus. Lune opp. Uranus r. p.
Neptune sesqui-c. Uranus.

41 Uranus conj. mi-point Saturne-Lune. 15 mai : Lune opp. Uranus r. et p.

Mars carré Neptune. 16 mai : Lune conj. Neptune r. p.
Neptune sesqui-c. Uranus.

42 Mars carré Neptune. 15 mai : Lune conj. Lune r. (gouv. VIII).

Uranus carré M. C. Lune opp. Uranus p. r.
Neptune carré Soleil. Lune opp. Asc. r.
Lune (gouv. VIII) opp. Saturne.

43 Neptune conj. Lune. 15 mai : Soleil opp. Mars r.

Saturne sext. Uranus, trig. Soleil. Lune opp. Uranus r. p.
Lune opp. Mars p.

44 Uranus conj. Saturne, opp. Lune (gouv.) 17 mai : Lune sesqui-c. Soleil r.

45 Mars carré V énus (gouv. probable). 15 mai : Soleil conj. Soleil r.

Saturne trig. Neptune. Soleil carré Lune r.
Lune opp. Uranus p. r.

46 Uranus conj. Mercure. 16 mai : Lune carré Jupiter (gouv. VIII).

Mars carré Lune. Lune conj. Neptune p.
Jupiter (gouv. VIII) carré Mercure (gouv.). 17 mai : Lune carré Mars p.

M3
 DEMAIN
U llw
°N pjo
. ÉLÉMENTS INQUIÉTANTS DE U NATIVITÉ DIRECTIONS SECONDAIRES (1)
p

47 Uranus pointe VIII. Uranus opp. Vénus U ranus p. opp. Mars p.

(gouv. VI). Vénus (gouv. VI) conj. Mars, Soleil p. semi-c. M ercure r.
conj. Neptune. Soleil opp. Uranus. Lune p. sem i-c. Saturne p., opp.
Soleil r.
Mercure p. (gouv.) opp. Saturne p.
Lune p. opp, Vénus r. (gouv. VI).

48 Saturne en VI. Saturne conj. Queue Dragon. Vénus p. opp. Uranus r. et p.

Ju p iter p. semi-c. Soleil, r.
Lune p. trig. Soleil r.
Lune p. semi-carre Uranus p. r.

49 Uranus en XII. Soleil en VIII. Mercure M ercure p. (gouv.) carré Lune p.

(gouv. VIII) carré Uranus. Mars opp. Lune p. sesqui-c. M ercure r.Tsesqui-c.
et parai. Saturne. Soleil carré Uranus. Jupiter r., carré Mercure p. (gouv.
VIII), carré Vénus r.

50 Asc. conj. Régulus. Saturne en VIII. Mars Soleil p. opp. Saturne p.

à l’Ascendant. Mars p. conj. M ercure r. (gouv.).
Lune p. quinc. Vénus r., sext. Mercure
(gouv. prob.), carré Jupiter r. (gouv. VIII).

51 Mars (gouv.) en exil, en VI et gouv. VI. Lune p. en VIII sesqui-c. Soleil r.

Saturne en VI. Mars (gouv.) opp. Asc., M ercure p. (gouv. VIII) carré M ars r.
carré Soleil, carré Lune. Mercure (gouv. (gouv.).
VIII) carré Mars, carré Asc. Saturne Mars p. quinc. Jupiter r.
carré Neptune.

52 Soleil, Saturne et Mercure (gouv.) en XII. M ercure p. (gouv.) conj. Saturne r.

Soleil conj. Saturne. Saturne opp. Jupiter. Soleil p. semi-c. Lune r.
Lune p. sext. Lune r.

53 Mars (gouv.) carré Uranus, carré Neptune. Lune p. opp. S aturne r. et p.

Uranus opp. Neptune. Lune opp. Soleil, Lune p. trig. Soleil r.
carré Asc. Soleil carré Asc. Soleil p. carré Mars p.

54 Vénus (gouv.) en exil et gouv. VIII. Saturne M ercure p. opp. Saturne r. et p.

en VIII. Neptune conj. M. C., opp. Mars p. conj. Soleil p.
Uranus. Uranus carré Mars, carré Soleil, Lune p. carré U ranus r.
carré Asc. Mars conj. Soleil. Lune p. conj. Mars r.

144
 DEMAIN
II II
e
r
o rd
N o DIRECTIONS SYMBOLIQUES (1) TRA N SITS
’ La date en italique correspond i celle du décès présumé
d

47 Soleil opp. M. C. 15 mai : Lune conj. Mercure r. (gouv.)

Mars carré Jupiter (gouv. VIII). Mars carré Mercure p. (gouv.).
Uranus carré Jupiter (gouv. VIII).

48 Saturne carré Uranus. 14 mai : Lune carré Saturne p. r.

Mercure (gouv.) opp. Saturne. 15 mai : néant.
16 mai : Lune opp. Uranus p- r.

49 Mars conj. Mercure (gouv. VIII). 17 mai : Lune conj. Neptune p. et r.

Saturne opp. Mercure.
Uranus trig. Soleil.
Neptune conj. Tête Dragon.

50 Mars carré Queue Dragon. 14 mai : Lune carré Mars r.

Neptune quinq. Uranus. 15 mai : Lune carré Soleil r.
Soleil opp. Saturne. Lune opp. Lune r.

51 Mercure (gouv. VIII) sext. Mars (gouv.). 15 mai : Uranus carré Lune r.
Lune sesqui-c. Mercure p. r.
Lune sesqui-c. Soleil r.

52 Saturne carré Mars. 17 mai : Mars conj. Mercure r. (gouv.)

Neptune carré Jupiter. Lune carré Lune r.
IS mai : Lune conj. Neptune.

53 Mars conj. Saturne. 15 mai : Lune sesqui-c. Uranus p. r.

16 mai : Mars conj. Saturne r.

54 Mars conj. Vénus (gouv.). 15 mai : Lune opp. Jupiter (gouv. VI) p. r.
Uranus carré Vénus (gouv.). Lune sesqui-c. Uranus r. p.
Vénus (gouv.) conj. Jupiter.

(1) Ces directions sont annotées en caractères g ra s , ordinaires ou italiques, selon qu’elles
sont exactes à moins de 1<>, de lo à 2o, à plus de 2o.

M5
 TABLEAU IV
indiquant la position, en maisons, des Luminaires et des sept planètes.

(Les planètes se trouvant dans le dernier sixième d’une maison

sont considérées comme appartenant à la maison suivante.)

I XI
n III IV V VI VII VIII IX X XII
Asc.

S O L E IL . . 4 2 5 6 4 7 0 7 3 8 1 7

L U N E . . . 4 9 6 3 3 6 3 4 6 4 3 3

M E R C U R E 4 1 S 1 6 7 1 8 4 3 6 5

V É N U S . . 1 2 5 7 6 3 5 2 6 7 7. 3

M A R S . . . 5 5 3 3 3 5 6 9 4 4 7 0

J U P IT E R . 4 5 1 2 1 5 6 4 4 5 flO 7

S A T U R N E . 6 5 3 3 5 5 2 8 6 4 3 4

U R A N U S . S 2 5 4 2 6 4 5 5 5 4 4

N E P T U N E 5 3 7 3 4 6 2 7 6 7 2 2

Totaux au-dessus
de la moyenne 41 43 50 54 47 43

Moyenne 40,5

Totaux en dessous
de la moyenne 34 32 34 29 35

Le nombre total des points est 486 (9 X 54)

Moyenne pour chaque maison : 40,5
Moyenne par maison pour chaque planète : 4,5
 TABLEAU V
indiquant la position, dans es signes zodiacaux de l’Ascendant, des Luminaires
et de cinq planètes.

(U ranus et Neptune, vu leur fa ib le déplacement, ont été exceptés).

Tau­ Gé­ Sagit­ Capri­ V e r­ Pois­

Bélier V ierge 1Balance Scor­
reau meaux Cancer Lion
pion taire corne seau sons

ASCENDANT. 4 1 9 1 2 IO 5 7 6 4 4 1

S O L E IL . . 5 8 4 IO 3 3 4 4 0 3 7 3

LU N E . . . . 3 1 4 6 4 4 4 6 6 9 4 3

M E R C U R E . 5 5 6 4 S 4 2 5 2 3 7 3

VÉNUS . . . . 7 6 5 6 5 4 2 6 2 5 2 4

M ARS. . . . 6 4 $ 5 7 6 4 3 1 1 4 5

J U P IT E R . 4 6 3 3 11 5 5 7 2 5 2 1

S A T U R N E . 3 7 5 3 3 2 3 11 6 6 3 2
1

Totaux au-dessus
de la moyenne 37 38 44 38 43 38 19
Moyenne : 36 36

Totaux en dessous
de la moyenne 29 25 33 22

Le nombre total des points est 432 (8 X 54). La moyenne pour chaoue M
signe est 36.
Le chiffre le plus élevé est 11, que l’on trouve dans le Lion et dans le
Scorpion ; le plus bas est 0, dans le Sagittaire.
La moyenne pour chaque planète dans un signe est 4,5; l’indice le plus
élevé étant 11 (Saturne-Scorpion et Jupiter-Lion) et le plus bas étant 0 (Soleil-
Sagittaire) qui ne se présente qu’une fois.
L’indice le plus élevé pour chaque facteur est imprimé en caractères gras
dans les deux tableaux.
*47
 DEMAIN

Critique des pronostics de Stella

pour septembre 1934
•·O
Les événements semblent depuis quelque temps précipiter
leur cadence, et dans l ’ensemble ils correspondent toujours bien
à ce que Stella nous laissait entrevoir.
La menace de troubles révolutionnaires en France, annoncée
dans le numéro 3-4, s’est amplement vérifiée ces derniers temps;
presque aucune réunion politique n ’a pu se tenir sans incidents,
et ceci est évidemment l’indice d ’un état d’esprit généralisé. Visi­
blement l’opinion française de tous partis est très surexcitée et
les projets de M. Doumergue ne sont pas faits pour l’apaiser. Les
perspectives budgétaires, d ’autre part, se sont encore assombries
un peu partout, ce n ’est un secret pour personne. Stella a d’ail­
leurs relevé déjà les incertitudes monétaires survenues fin août-
début de septembre comme il l’avait signalé. Toutes les monnaies
en ont été ébranlées et le belga a connu quelques mauvais jours.
Comme prévu également l’activité politique, les tractations
militaires, un esprit belliqueux ont surtout dominé en Europe
centrale et orientale : palabres autour du pacte oriental, attitude
cavalière de la Pologne, incidents d ’Albanie, entrée des Soviets
à la S. D. N . L ’Allemagne, comme Stella l’annonçait, s’est
isolée de tout appui extérieur et vient de réaliser une nouvelle
étape de sa faillite. Aux Etats-Unis, la grève du textile a égale­
ment confirmé les craintes exprimées par Stella; l ’enquête en
cours sur le scandale des munitions n ’a pas manqué non plus
d ’énerver l’opinion mondiale.
Stella avait également prévu des accidents de chemin de fer
(il y en eut plusieurs sérieux; en Angleterre, en Pologne, etc.),
d ’avion (ils furent caractéristiques et se présentèrent même
certains jours par rafales, notamment aux alentours du 21), des
accidents de mines (l’explosion de Glasgow fit 260 victimes),
des séismes et conditions météorologiques violentes (outre le
séisme du Mexique, le raz de marée du Japon fit notamment
plus de 2.500 tués et 1.300 blessés).
Le mois de septembre a décidément été exceptionnellement
riche en morts violentes. L ’éclipse du 10 août dernier est-elle
pour quelque chose, comme Stella paraît le croire, dans cette
accumulation d ’événements maléfiques ? Stella avait signalé à ce
sujet la période du 25 au 30 septembre; il semble que les événe­
ments aient plutôt devancé cette date puisque les plus importants
ont eu lieu entre le 21 et le 24. R. B.
(Voir, d*autre part, nos commentaires de dernière heure sur “ Octobre,
mois fatidique ”.)
148
 DEMAIN

L’Âstro-dynamique et le domaine médical

I. - Préambule
Les réponses reçues à la suite du premier Referendum de la
Revue Demain, — mars 1934, — ont montré que les études qui
concernent les applications de la science Astro-dynamique à la
Médecine étaient réclamées par une notable proportion de
lecteurs.
C’est en vue de donner satisfaction au désir ainsi exprimé
que nous avons rédigé cette première partie, d’ordre essentiel­
lement documentaire.

Dans le numéro de Demain de février 1934, p. 141, nous

indiquions que le quotidien Le Rempart avait suggéré, le
14 juillet 1933, la création d’un Institut de Recherches scienti­
fiques sur les médecines traditionnelles.
C’est là un indice caractéristique d’un retour aux Sciences
conjecturales si prospères autrefois.
Mais affirmer que ces Sciences, qui comprennent l’Astro-
dynamique, sont en progrès et gagnent chaque jour du terrain
auprès des savants et du public, montrer que différents auteurs
bataillent pour leur donner la place qu’elles méritent ne suffit
pas; encore faut-il appuyer cette affirmation et cette démon­
stration de citations de personnages qualifiés, ne pratiquant pas
l’Astrologie, mais assez indépendants et consciencieux pour
s’exprimer à son sujet sans aucun préjugé.
En voici quelques-unes :
L’Idée de l’influence des astres peut très bien être avouée par la raison.
(Transon, Encyclopédie.)
Peut-être les astres nous apprendront-ils un jour quelque chose de la
vie. (H. Poincaré, Valeur de la Science.)
Les errements inconscients de l’Astrologie, qui faisait correspondre à
tout être vivant les mouvements d’une planète ou d’une constellation,
semblent répondre à un fondement scientifique : ° naître sous une bonne
étoile ” .
Il ne semble plus absurde dorénavant qu’une cellule’soit “ née ” sous
le signe d’une constellation. (Lakhowsky, Origine de la vie, p. 144.)
A-t-on assez persiflé les illuminés de jadis qui prétendaient que nos
149
 DEMAIN

destinées dépendent non seulement du Soleil, mais pour le moins autant

de lointaines étoiles. Ceux qui les critiquaient avaient tort, les vieux
astrologues avaient raison. (Charles Nordmann.)
L’homme subit des influences supra-terrestres qui dominent sa santé
ou sa maladie et, dans une certaine mesure, dirigent scs actes, au moins
momentanément. (D r Maurice Faure, Influences des taches solaires sur les
états morbides.)

Il ne nous serait pas possible de citer tous les Docteurs qui,

actuellement, s’intéressent aux Sciences conjecturales en général,
à l ’Astrologie médicale et aux médiodes nouvelles, nous nous
bornerons à en mentionner quelques-uns, notamment parmi ceux
qui ont publié des écrits sur ces questions.
Allendy, Barishac, Bounhiol, Brétéché, Daniel, de La Lande,
de Rofia,'de Tchajewsky, Duprat, Faure, Foveau de Courmellcs,
Gailhard, Jagot, Jousset, Lathoud, Lenclos, Leprincc, Maxwell,
Naveau, Picard, Pouliot, Régnault, Tessier, Vergnes.
René d ’Urmont, l’astrologue connu, qui lutta pour la réhabi­
litation de l’Astrologie, avant la guerre de 1914, dans L ’Influence
Astrale, aux côtés de Paul Choisnard, a cité récemment dans
VEcho du Mystère, les paroles suivantes prononcées à l’occasion
du Jubilé de M. le Professeur d’Arsonval :

Une nouvelle conception de l’état de santé doit être envisagée.

De délicates et impartiales mesures ont validé les aperçus de génie des
Alchimistes dont le grand œuvre n’était autre que la poursuite du
rayonnement universel.
D’autres ont démontré que les voyances d’êtres particulièrement doués
et que le pouvoir de guérir par l’imposition des mains reposaient sur un
fond de vérité.

Rayonnement universel, rayons cosmiques, influences astrales,

sont les maillons de la chaîne mystérieuse qui relie les cellules
vivantes composant nos corps matériels, aux puissances extérieures
inconnues, dont l’Astrologie d ’autrefois avait en partie décelé
l’action et dont les travaux de nombreux chercheurs tendent
actuellement à retrouver la clef.
Nous sommes persuadés que parmi les Docteurs belges, qui,
de tout temps, ont voulu se tenir à la hauteur des progrès, il s’en
trouvera qui estimeront ne pas devoir se laisser devancer par
leurs collègues étrangers et qui voudront collaborer à la mise au
point de l’étude des influences cosmiques sur la santé des indi­
vidus, sans se préoccuper des préjugés vulgaires, des rieurs
ignorants et des contradicteurs de parti pris.
150
■— - ■ DEMAIN

II. - Aperçu général

Il fut un temps où il était de bon ton de mépriser FAstrologie,
de la tourner en ridicule, même et surtout, dirons-nous, quand on
ignorait totalement en quoi elle consistait.
Cette période est actuellement révolue.
Les progrès réalisés dans cette science, notamment à l’étranger,
l’approbation ou l’adhésion de savants notoires, les arguments
présentés dans nombre de revues des plus sérieuses et dans des
livres documentés, ont montré à tous ceux qui ont le souci de
“ savoir ” qu’avant de se prononcer à la légère ou de critiquer
a priori, à la façon d ’un primaire, il importait d’approfondir.
Quiconque croira désormais spirituel de se moquer des
influences sidérales et des astrologues, des sourciers et de la
radiesthésie, des conceptions spiritualistes et des spirites, de
l’unité de la matière et des alchimistes, se décernera à lui-même
un brevet d ’ignorance.
Ces sciences reprennent aujourd’hui leur place légitime dans
la série des connaissances humaines et les bûchers d’autrefois
sont éteints.
En Belgique, semble-t-il, le corps médical, qui cependant
comprend de nombreux érudits, reste sceptique.
La cause essentielle en paraît résider surtout dans un manque
de documentation. Celle-ci, en matière d’astrologie médicale,
est, en effet, assez rare et très disséminée. Notre Revue Demain,
dont le but essentiel, poursuivi depuis neuf ans, sans but lucratif,
est la diffusion de l’Astro-dynamique et de ses applications, a tenu
à présenter à ceux qui se sont voués au soulagement des misères
humaines un exposé des publications et organisations relatives
à cette question.
S’il est un domaine, dans lequel l’étude des influences
cosmiques se montre susceptible d’aider efficacement les prati­
ciens, c’est bien le domaine médical.
Un docteur, mis à même de connaître les dispositions innées
d ’un malade, dues à ces influences, acquerra, de toute évidence,
une sûreté de diagnostic dont le priverait son ignorance à leur
sujet.
Dans son livre La portée de VAstrologie scientifique, Choisnard
a écrit, en 1914 :

Etant donné le fait des correspondances des maladies avec les influences
astrales, on doit en conclure que, s’il n’y a pas en elles de sources
proprement dites des maladies, elles offrent malgré tout des correspon­
dances indicatrices dont le médecin aurait grand avantage à profiter à
la fois comme diagnostic et pronostic. Il est hors de doute que les

*5*
 ■■ ' DEMAIN ------

prédispositions natives pour la santé, souvent très nettes dans l’horoscope,

sont de nature à intéresser le médecin pour les soins à donner au malade,
d’autant plus qu’on peut arriver, je crois, avec une certaine précision,
à déterminer la nature et le degré de réceptivité morbide de chaque
individu d’après son ciel de naissance.

Les anciens avaient parfaitement compris cette vérité, puisque

tous les médecins célèbres de l’antiquité et de la Renaissance
étaient en même temps bons astrologues.
Nombreux sont les vieux écrits, manuscrits ou imprimés,
parus à ce sujet, dont certains enrichissent les collections de la
Bibliothèque royale de Bruxelles et de celle de l’Université de
Gand, en dehors des grandes bibliothèques étrangères : Paris,
Vienne, Florence, Oxford, Londres, etc., qui en conservent aussi
différents exemplaires.
On peut en consulter les listes à la Bibliothèque royale
notamment dans Caillet, Manuel bibliographique des sciences
occultes et dans Houzeau et Lancaster, Bibliographie de rAstro­
nomie, Salle de lecture, n° 321.
Ce dernier livre donne, dans le volume I, une liste détaillée
des écrits qui concernent l’Astrologie médicale.
Paracelse, dont la Revue anglaise Modem Astrology a donné
une biographie, numéro de janvier 1934, s’y trouve cité au
nombre de beaucoup d’autres; la Bibliothèque royale possède
d’ailleurs plusieurs éditions de ses livres, notamment Les 14 livres
de Paracelse, traduction de C. de Sarcilly.
Il y a également une très bonne édition latine de Junctin,
commentateur de Ptolémée, dans laquelle différents cas de
maladies sont traités astrologiquement.
Une Revue allemande Die Astrologie (octobre 1929, p. 301,
novembre 1929, p. 349) a donné d’intéressants commentaires et
des extraits du livre d’Astrologie médicale André Argole, De
diebus criticis,\m^fxnA en 1639, qui traite du diagnostic médical
et des pronostics basés sur l’Astrologie.
Ceci se rapporte à l ’histoire ancienne de l ’Astrologie médicale
et ne présente d’intérêt que pour les chercheurs disposant du
temps nécessaire à la consultation plus ou moins laborieuse de ces
vieux grimoires.
Les membres du corps médical ou les étudiants, désireux de
se rendre compte du développement actuel de l’Astrologie
médicale, en trouveront les éléments notamment dans les publi­
cations anglo-saxonnes.
Elles sont nombreuses et documentaires. Heinrich Dâath,
Alan Léo, Raphaël, ont produit sur la question des écrits qui se
trouvent en librairie.
152
 DEMAIN

Est particulièrement recommandable : Astro-Diagnosis, d e __

Max Hcindel. (London, 1929, in-16.)
Ce livre peut être consulté à la Bibliothèque royale.
La publication qui paraît jusqu’ici la plus complète et la plus A
importante du genre est toute récente, c’est : Encyclopedia of )
Medical Astrology, gros volume de 958 pages du Docteur J
Cornell, édité aux Etats-Unis.
Outre ces livres, il a paru de nombreux articles dans les
revues anglaises, mais il est assez difficile de se les procurer et
de les réunir pour en faire une base d’études. Nous signalerons
en particulier Modem Astrology qui publie régulièrement des
articles de Weemyss sur l’Astrologie médicale.
En Angleterre, l’ère des progrès dans cette science a été
principalement marquée par la création de The British Institutc
of Medical Astrology and Methaphysical Science, incorporated
under the Companies Act, octobre 1929, qui constitue, en
quelque sorte, une reconnaissance officielle de l’Astrologie
médicale.
Depuis sa fondation, l’activité de cet Institut s’est manifestée
par de nombreux travaux. Au cours de cette dernière année a
été organisée une section pour l’examen des candidats astrologues
et pour la délivrance de diplômes.
Cet Institut a pour organe officiel The British Journal of
Astrology. Edit. Foulsham et C°, Londres.
Peu documentés sur le développement de l’Astrologie médicale
en Allemagne, nous avons eu recours à M. Hentgès, l’astrologue
luxembourgeois bien connu, particulièrement au courant des
progrès réalisés dans ce pays. Il a bien voulu nous adresser les
renseignements suivants :

Depuis la guerre, le mouvement astrologique a pris un essor prodigieux

en Allemagne. Mesurée à sa production littéraire, l’Astrologie allemande
occupe sans conteste la première place dans le monde entier. Parmi les
chercheurs qui se vouent à ce genre d’études, le nombre des universitaires
augmente d’année en année. Beaucoup de médecins se trouvent attirés
par les multiples problèmes de l’Astrologie généthliaque. Du XIIIe au
XVIIe siècle, l’Astrologie se trouvait intimement liée à la médecine. Cette
tradition a trouvé, de nos jours, des continuateurs et des rénovateurs.
Peu de temps avant la guerre, un jeune médecin viennois, le docteur
Wehofer, a publié sous le pseudonyme de Eeerhotu un premier traité
d’astrologie médicale intitulé : Die Medizinische Astrologie tinter Berücfc
sichtigung des Pflanzenheilverfahrens, der Homâopathie, Hygiene und
Biochemie. Ce livre, inspiré des travaux de Duz, Daath, Hcindel,
Simmonite, Raphaël, etc., a inauguré, pour ainsi dire, ce genre de
recherches en Allemagne.
Quelques années après, au plein milieu de la guerre, le Theosophisches

*53
 DEMAIN

Verlagshaus, de Leipzig, spécialisé dans la publication d’ouvrages astro­

logiques, éditait une traduction allemande de l’ouvrage de Max Hcindcl
Die Botschaft der Sterne. Hcindcl est considéré, à juste titre, comme le
protagoniste de l’Astrologie médicale en Amérique.
Le “ Theosophisches Verlagshaus ” de Leipzig, qui édite depuis
vingt-six ans la Revue Astrologische Rundschau, a publié, au cours des
dernières années, dans presque chaque numéro, un certain nombre de
thèmes se rapportant à des maladies de toute espèce. Cette documentation,
aussi variée qu’abondante, a été utilisée en majeure partie par le Dr Gerhard
Naumann pour sa brochure Krankheit und Tod im Horoskop.
Entre-temps Wilhelm Becher, de Berlin, avait, de son côté, publié une
traduction allemande du petit traité du D r Dâath, intitulé Medizinische
Astrologie et le capitaine autrichien Schwickert, astrologue éminent connu
sous le pseudonyme de Sindbad, avait écrit un petit volume intitulé
Astrologie und Medizin, très bien conçu.
En 1928, paraissait le livre Die Korrektur der Geburtszeit. Die zeitlich
bedingte Empfängnis und Geburt des Menschen, qui avait le Dr Chiva
Ja^ob pour auteur. Cet ouvrage, basé sur de nombreuses observations
puisées dans différentes maternités de Berlin, entreprend une justification
de la fameuse “ Trutina Hermetis ”.
Dans les premiers mois de l’année, le beau livre Sternenmächte und
Mensch du D r Fr. Schwab, paraissait en deuxième édition. Travail solide,
puissamment documente, faisant une large place à l’expérimentation et
aux recherches statistiques, il est en même temps très intéressant au point
de vue médical.
Si les différents traités que nous venons de mentionner envisagent
surtout le diagnostic des maladies, le D r Friedbert Asboga, dans son livre
Astromedizin, Astropharmazie, Astrodiätetii^ traite particulièrement la
thérapeutique basée sur des principes astrologiques.
La psychanalyse, créée par le Dr S. Freud, a également été traitée dans
ses rapports avec l’Astrologie dans le livre Die innerseelische Erjahrungs-
weit am Bilde der Astrologie par la doctoresse Olga von Ungern-Sternberg,
tandis que son collègue le D r K. G. Heimsoth, dans le livre Charakter-
Konstellation, mit besondere Berücksichtigung der Gleichgeschlechtlichkeit,
étudie notamment le problème de ¡’homosexualité.
Voilà les principaux ouvrages d’astrologie médicale publiés en
Allemagne... et j’en oublie peut-être ? De toute façon cette matière est
vivement étudiée dans les revues consacrées à l’Astrologie et dans les
nombreux cercles d’études astrologiques surgis à peu près dans toutes
les grandes villes de l’Allemagne.
Je profite de l’occasion pour vous signaler que depuis quelques mois
je travaille à un Kompendium der medizinischen Astrologie. Mon
manuscrit, qui comporte 36 chapitres, nécessite encore quelques retouches
pour être mis au net.

En ce qui concerne les écrits en langue française, relatifs à

l’Astrologie médicale, le numéro de Demain, du 21 novem­
bre 1931, en a publié une liste; elle est assez restreinte et ne
x 54
 ... . · - DEMAIN

comprend guère que des appréciations sommaires, articles de

revues en général. C’est dans ces dernières années surtout que
différents livres envisageant cette question ont paru et que des
manifestations d’ordre collectif se sont produites, prouvant que
le monde médical français, dans son ensemble et dans ses orga­
nisations scientifiques, ne restait plus indifférent à l’utilisation
des principes de l’Astrologie scientifique.
Parmi ces organisations nous avons mentionné à plusieurs
reprises et notamment dans Demain, août-septembre 1933, p. 50:
L'Institut International d'études des Radiations solaires, terrestres
et cosmiques, fondé à Nice, rue Verdi, 24, à l’initiative du
Docteur Maurice Faure et de la Société Médicale du littoral
méditerranéen.
Son organe publicitaire est La Côte d'azur médicale, dirigée
par le Docteur Régnault, rue Peirex, 14, Toulon.
Comme l’ont proclamé ses fondateurs, les travaux de l’institut
sont dirigés d ’après le principe suivant, admis comme une vérité
scientifique :

Des recherches récentes démontrent que les hommes sont directement

influencés par les radiations cosmiques; la recrudescence des maladies, des
accidents, des morts subites, des suicides, des crimes, des émeutes, des
guerres et des révolutions est parallèle à celle des perturbations cosmiques,
atmosphériques et telluriques. {Côte d'azur médicale, 1933, p. 210.)

Le Groupe Lyonnais d'Etudes médicales, philosophiques et

biologiques, rue du Plat, 16, Lyon, a publié récemment Les
Rythmes et la Vie (Librairie Lavandier, rue Victor Hugo, 5,
Lyon. (Voir Demain, octobre 1933, p. 50.) Dans ce volume, un
chapitre intitulé “ L ’Influx cosmique et la vie de l’Homme ” , du
Docteur Henry Duprat, de Genève, p. 115, constitue une justi­
fication très documentée de l’Astrologie.
Ce travail est d ’autant plus intéressant, au point de vue du
domaine médical, qu’il est présenté par un groupement de
savants dont le but est de rechercher, en pleine liberté, sans
préjugés et sans parti pris, tout ce qui est susceptible d ’intéresser
la santé de l’homme, sa conservation ou son recouvrement.
Le moins qu’on puisse dire de ces conditions de publication
est qu’elles correspondent à l’entrée quasi officielle, en France,
de la question astrologique dans les milieux médicaux.
Au début de son étude, le Docteur Duprat, voulant sans doute
éviter de froisser les antiques préjugés de certains, soucieux de
ne pas provoquer les sourires des sceptiques, n ’écrit pas immé­
diatement le mot Astrologie, II y arrive sous la protection du
terme Influx cosmique; il le qualifie alors de “ clair et joli ”
mais jouissant d ’une fort mauvaise réputation.

*55
 DEMAIN

Epris passionnément de tout ce qui traduit, modifie ou trouble

la vie humaine dans l’immédiat comme dans l’antécédent, il fut
amené à s’intéresser à l’Astrologie et acquit la conviction que le
fait astrologique est réel.
Passant à la partie démonstrative, il examine les influences du
Soleil, celles de scs taches et celle de la Lune. Il cite les travaux
des Docteurs Maag, Cherton, Faure, Sardou, de M. Vallot,
astronome, de Lakhowsky, du Docteur Allendy et du célèbre
abbé Moreux, de l’Observatoire de Bourges
Les influences qui précèdent, en raison sans doute de ce que
la plupart d ’entre elles peuvent se vérifier par des expériences
d ’ordre matériel, sont actuellement incontestées.
Le Docteur Duprat passe ensuite à l’examen de l’Univcrs
sidéral, constitué par les corps de notre système solaire; il
conclut qu’avec le respect de la raison et de l’esprit scientifique,
on peut, sans fausse honte, envisager le fait astrologique en
pensant qu’il a suscité l’attention approbative d ’intelligences
supérieures.
Après une énumération des principaux auteurs anciens et
modernes et de leurs travaux, un aperçu de la technique générale
de l’Astrologie, la citation de quelques prédictions astrologiques
célèbres réalisées, le Docteur Duprat aborde les applications
médicales de l’Astrologie.
Paracelse, dit-il, se basait sur l’Astrologie et les conceptions
anciennes sur les quatre éléments correspondent bien aux idées
actuelles quant à la classification des tempéraments.
L’intérêt médical de l’Astrologie est incontestable et les états morbides
correspondent toujours à de grosses dissonances ou à des faiblesses du
thème de nativité.

Le Docteur Duprat estime que l’étude de l’Astrologie est un

devoir d ’humanisme, car elle conduit à une connaissance plus
facile et plus profonde, permettant de secourir le prochain.
Telle est l’opinion d ’un praticien qualifié qui déclare s’être
spécialement attaché, en tant que médecin, au côté médical de
l’Astrologie.

Son intérêt, dit-il, est incontestable, et l’on peut affirmer qu’il n’y a pas
d ’états pathologiques, chroniques, profonds, de grandes débilités locales
ou générales, d ’hérédités morbides importantes, de notables infirmités
auxquelles ne répondent de grosses dissonances ou faiblesses du thème

(1) Rappelons ici que l ’abbé Moreux fut toujours un adversaire irréductible de l’Astrologie
et que Cboisnard, qui ne parvint jamais à l'amener à discuter publiquement et posément la
question — et pour cause I — le qualifiait, d ’après certains de ses écrits, '* d'astrologue sans
le savoir ".

156
 DEMAIN

de nativité. Toutes mes recherches dans ces cas ont confirmé cette
conclusion.

De l’avis substantiel de ce docteur, nous passerons à celui

d ’un homme de lettres.
Maurice Privât, qui possède l’art d ’aborder tous les sujets avec
un égal brio, a publié récemment un petit livre intitulé : Les
Nouvelles Manières de Guérir. (Edition des Documents secrets,
rue d ’Orléans, 16, Neuilly-Paris.)
Il s’y déclare un profane, curieux, inapte à la technique, féru
du merveilleux; il en fait l’hommage “ aux Maîtres de la Méde­
cine : Clovis Vincent, Victor Pauchet, René Allendy, Marcel
Mantiny, Paul Gillet, qui appartiennent à des écoles rivales, mais
dont le savoir et le caractère honorent l’humanité ” .
Son étude est un hymme en l’honneur “ des rénovateurs de
l’art de guérir ” .
Rayons cosmiques et influences planétaires; correspondances
avec les plantes, les animaux, les métaux, art spagyrique du
moyen âge, auquel Jollivet-Cartelot a consacré un volume intitulé
La Médecine spagyrique, renaissance des principes et des procédés
de Paracelse... C ’est toute l’ancienne astrologie et ses traditions
qui transparaissent sous les découvertes les plus récentes.
Pourquoi voudrait-on, dit Privât, que nos pères aient été des
imbéciles ? Pour eux l’homme participait à la vie universelle;
accordé avec son ciel de naissance, il lui devait son tempérament.
Les malades étaient des déséquilibrés, il fallait trouver pour y
remédier leur signature et celle des planètes qui les aimantaient.
Maurice Privât, à la fin de son livre, écrit ces lignes d’allure
prophétique :
La Médecine est en pleine renaissance, trouve des facultés ignorées,
s’enrichit des conquêtes de la chimie, de la physique, de la psychologie,
tout ce qui fait la connaissance. Elle s’emparera du ciel lui-même.

D ’un livre intitulé La Vie, du D r J.-P. Bounhiol, Professeur à

l’Université de Bordeaux, où la biologie se trouve étudiée au
point de vue énergétique, nous extrayons quelques phrases qui
se rapportent aux influences astrales ou cosmiques sur l’individu
et son état sanitaire.
Les conceptions antérieures se trouvent débordées et dépassées par la
découverte relativement récente d’une quantité considérable de faits
nouveaux.
Les problèmes abordés sont d’une complexité inouïe.
Les physiciens ont révélé l’existence de radiations, de même nature que
les radiations proprement lumineuses, ne différant de celles-ci que par
leurs longueurs d’onde.

T57
 ------ DEMAIN -------

Une série immense et continue de ces radiations se trouve aujourd’hui

établie.
Dans ce registre de radiations, les organismes manifestent une sensibilité
qui s’étend à un groupe plus ou moins grand.
L’homme possède des organes, des sens spécifiquement réceptifs vis-à-vis
des énergies mécanique, sonore, lumineuse; il n’en possède aucun à l’égard
de l’énergie électrique.
Les phénomènes électriques ont, comme les phénomènes calorifiques,
lumineux et radiants, cette origine commune : l’activité solaire.
Le passage des taches solaires au méridien central coïncide, dans la
proportion de 84 %, avec une recrudescence des symptômes des maladies
chroniques. Les relations entre les taches solaires et les morts subites ne
paraissent pas davantage niables.
Les périodes d’aggravations des maladies coïncident presque toujours
avec les points sensibles de la révolution solaire (passage des taches), de la
révolution terrestre (équinoxes, solstices), de la révolution lunaire, bref,
avec les grandes variations qualitatives et quantitatives du rayonnement
énergétique qui frappe la Terre et modifie notamment son équilibre
électrique.
Le champ électrique terrestre, fils instable et tourmenté du rayonnement
solaire et peut-être d’autres sources rayonnantes plus lointaines, telles que
les nébuleuses, est à peine connu.
Cette influence est indéniable et profonde; elle est aussi incessante et
incessamment changeante.

Le Bulletin de la Société Astrologique de France, d ’avril-

juin 1933, n° 14, p. 15, a publié une étude de M mc J. Chantereine
et du Docteur J. Brétéché intitulée A propos des instabilités
endocrines, qui débute par le préambule suivant :
Tous les corps émettent des vibrations que l’on peut mettre en évidence
par les procédés des radiotelluristes... chaque glande endocrine correspond
harmoniquement à une couleur déterminée.

Il s’agit des applications de la radiesthésie médicale dont les

principes sont exposés dans un livre de J. Chantereine et Docteur
Savoire, Ondes et Radiations humaines, rue du Général Niox, 9,
Paris, et de la liaison avec l ’Astro-dynamique.
L’expérimentation rationaliste de l’Astrologie scientifique, disent les
auteurs, montre que chaque type astral ne répond pas seulement à la déno­
mination d’un type morphologique, physio-pathologique et psycho-
animique, de description didactique, mais qu’il est vraiment conditionné
par la situation des planètes du Soleil, de la Lune, du Méridien et de
l’horizon à l’heure précise de sa naissance. Par conséquent, l’activité
endocrine est influencée astralement suivant les cas.

Des exemples sont fournis à l’appui de cette thèse, ils ont

158
 DEMAIN

conduit à la rédaction des lois suivantes, qui peuvent se vérifier

par d ’autres recoupements :
1° C’est par l’intermédiaire de nos glandes endocrines, agissant comme
un poste récepteur, transformateur, émetteur d’ondes que les astres
influencent notre physiologie et nos réactions psychologiques;
2° Toute notre existence, nous subissons les premiers influx qui nous
ont marqué à l’heure de la naissance, à l’origine de notre vie propre, tout
se passe comme si les planètes et les différents secteurs du Zodiaque
continuaient à irradier de la direction première, selon laquelle ils nous
ont d’abord frappés;
3° Nous subissons également les influx actuels, non seulement selon
leurs aspects propres, mais aussi selon les aspects qu’ils peuvent présenter
avec les influx de naissance. C’est cette influence de radiations planétaires
actuelles qui, dans le domaine de l’endocrinologie, entraîne l’instabilité
que nous constatons souvent.

Le Docteur Brétéché entend se retrancher dans le domaine de

l’Astrologie individuelle, — morphologie, physiologie, psycho­
logie, pathologie mentale, endocrinienne et générale, —
ébauchant simplement l’étude des variations d’humeur, variations
endocriniennes et physiologiques, sous l’influence astrale du
moment par rapport aux influx de naissance. En particulier,
étude expérimentale chez des épileptiques.
Il importe de remarquer que M mc J. Chantereine et le Docteur
Brétéché tiennent compte également de la Chiroscopie médicale
exposée par Μ. Mangin-Balthazar. (Edit. La Renaissance
moderne, boulevard Saint-Michel, 99, Paris, VIe .)
Le Docteur Brétéché se propose de publier un livre qu’il inti­
tulera Astrologie psychologique et médicale.
Dans L'Etude objective du Tempérament. Thérapeutique
homéopathique, publié sous le pseudonyme du Docteur Lenclos,
par Peyronnet et C îc, rue de Valois, 7, à Paris, en 1926, l’auteur
pose en principe, dès l’introduction, que :
La médecine moderne semble, si l’on en juge à sa thérapeutique à
tiroirs, ignorer trop le malade, dont le tempérament module pourtant les
variations morbides. Il y a donc lieu d’étudier les tempéraments et à cet
effet de recourir à la Physiognomonie, à la Chiromancie, à la Graphologie
et à l’Astrologie.
Les quatre tempéraments primordiaux, étudiés par Gallien en l’an 160
après Jésus-Christ, par Polty et Gary, en 1889, sont les suivants : sanguin,
bilieux, lymphatique, nerveux. Ils comportent des combinaisons, binaires
ou trinaires, dont la résultante est parfois difficile à dégager.
La correspondance est constante entre la morphologie d’un visage ou
d’une main et, d’autre part, la situation relative des diverses planètes, du
Soleil, de la Lune, des groupes stellaires fixes, du méridien et de l’horizon
au moment précis de la naissance du sujet.

159
 DEMAIN

L’Astrologie est la plus précise des sciences conjecturales objectives,

elle montre le mieux les relations favorisantes ou contrariantes des diverses
facultés entre elles.
Le Docteur Vannier, dans sa Typologie, a montre l’utilité de la connais­
sance des types planétaires. Connaître le type naturel, dit-il, c’est prévoir
le type morbide et c’est avoir ainsi la possibilité de définir d’avance les
remèdes qui conviendront aux atteintes morbides du type sain.

Le Docteur Lenclos conclut de la façon suivante :

Sachant que la maladie est la réaction donnée à un agent pathogène,
nous envisagerons l’examen médical comme devant comporter deux
phases : l’une déterminera la maladie par les procédés classiques d’inspec­
tion, l’autre, à l’aide de la Graphologie et surtout de l’Astrologic, permettra
de connaître le malade, son tempérament et son type, donc ses modes
de réactions et les remèdes qui lui conviennent à lui tout particulièrement.
Nous sommes loin ici de la thérapeutique omnibus, n’envisageant
qu’une face du problème.
Nous arrivons ainsi à la notion d’un pronostic établi sur la connaissance
du terrain et nous pouvons même, en médecins astrologues, prévoir les
maladies auxquelles un sujet sain est exposé.

Ce livre se termine par une critique courtoise de la Doctrine

de l’Homœopathie française du Docteur Vannier, rédigée par le
Professeur Mauriac et par une réponse du Docteur Lenclos.
Nous avons ainsi passé en revue une partie des livres les plus
récents qui se rapportent à l’Astrologic médicale.
Pour les chercheurs habitant Bruxelles, qui voudraient
consulter à la Bibliothèque royale les anciens auteurs ayant
abordé ce sujet, voici la liste de ceux qu’on peut y trouver :
Agrippa Cornélius, philosophe et médecin; Cardan Jérôme,
grand médecin, mathématicien et philosophe; Paracelse
Théophraste, illustre médecin, chimiste, philosophe hermétique.
Il nous reste, pour être aussi complet que possible, à dire un
mot des publications périodiques.
Les Revues médicales, belges et françaises, se confinent, pour
la plupart, dans les questions exclusivement techniques ou
professionnelles. Elles ne s’intéressent pas aux rapports possibles
de l’Astrologic et de la Médecine, quelques-unes sont plus
éclectiques. Par exemple : La Revue Médicale, rue de
Lisbonne, 44, à Paris, aborde fréquemment ce sujet, notamment
sous la signature dû Docteur Foveau de Courmelles, qui écrit
d ’ailleurs dans plusieurs revues. Notons, par exemple,
Influences Solaires ”, Revue de Pathologie comparée, avril
1932. “ Essais de mesures invisibles ” , Courrier Médical, rue
Thénard, 4, à Paris, 12 juin 1932. " A la Recherche de
l ’inconnu ” , Courrier Médical, 25 septembre 1932.
160
 DEMAIN

La Côte d'azur médicale, dont nous avons parlé plus haut, à

propos de l’institut international d ’études des Radiations cos­
miques, s’est attachée, depuis plusieurs années, à la propagation
des conceptions relatives aux vibrations variées dont la decouverte
n ’est encore qu’à ses débuts.
L'Homœopathie Moderne, publication bi-mensuelle, rue de
la Bienfaisance, 33, à Paris, qui traite les questions médicales
dans le sens indiqué par son titre, a consacré plusieurs de ses
numéros aux rapports qui existent entre l’Homœopathie et le
Naturisme.
Le Docteur Balland dit à ce propos que “ dans les deux cas
on étudie les inter-dépendances de l ’homme et du cosmos ” .
C ’est là encore un exemple de la renaissance des idées
anciennes.
Dans son numéro 29 du 25 mai 1934, Bruxelles-Médical
signalait un travail “ Paludisme et électricité atmosphérique ”
(E. Dubai, Paris), dans lequel l’auteur conclut que les accès
paludéens peuvent être considérés comme étant d’origine
cosmique.
Cette même revue contient, dans son numéro du 26 août
dernier, sous la signature du Docteur R. Blondel, un article
intitulé “ Le calendrier des maladies ” que, vu son intérêt, nous
reproduisons en entier.

Le rôle des influences saisonnières sur l’apparition et le développement

des maladies est une des plus vieilles notions de la médecine. De là à
mettre en cause le jeu des planètes, il n’y avait qu’un pas. Laissons les
astrologues à leur destin et tenons-nous-en à l’observation des faits.
Il faut convenir que ceux-ci sont assez troublants, surtout si l’on se
met, comme il convient, à leur chercher des explications à la lumière des
connaissances que nous avons acquises assez récemment sur ce que cache
le vieux mot d’influences saisonnières, lesquelles ne sont que des actions
météorologiques et des effets des radiations de toute espèce. On sait à
quelles hypothèses aventureuses, quant à la genèse du cancer lui-même,
a donné naissance la découverte des rayons cosmiques, que nous allons
étudier maintenant jusque dans la stratosphère.
De Rudder, s’appuyant sur d’impressionnantes statistiques, a relevé,
selon les mois de l’année, les périodes correspondant à la plus grande
fréquence des diverses maladies. En novembre, ce sont les angines; en
décembre, la diphtérie et la scarlatine; en janvier, la grippe, les bronchites,
la méningite cérébro-spinale et aussi les crises des épileptiques. Février
offre un choix plus varié, où les maladies organiques voisinent avec les
maladies franchement infectieuses : eczéma, psoriasis, tétanie, spasme de
pylore, rachitisme, appendicite, pneumonie. En mars, dominent la ménin­
gite tuberculeuse, les hémoptysies, l’érythème noueux, la maladie de
Basedow, les crises de paludisme. Toutes ces maladies déclinent peu à

161
 DEMAIN

peu jusqu'en juin, où commencent les troubles digestifs, qui s’accentuent

de plus en plus pendant les mois d’été.
Sans doute, ces données n’ont rien de fatal. Mais, ou bien les statistiques
par grandes masses, dans les differents pays, et suivies pendant de longues
années, ne signifient rien, ou bien il y a à ces faits, dûment contrôlés, des
raisons qu’un esprit scientifique se refuse à considérer comme mystérieuses.
Ces raisons, on est d’abord porté à les rechercher du côté des variations
de la température, c’est-à-dire du fait le plus facile à observer. Il faut
aujourd’hui renoncer à cette explication trop simple. Les faits s’observent
dans les régions polaires et dans les pays favorisés — la Guyane anglaise,
par exemple — où les écarts des maxima de chaud et de froid au cours
de l’année ne dépassent pas quelques degrés.
Evidemment, il y a des maladies franchement hivernales et d’aulrcs
franchement estivales. Mais il s’agit là de troubles organiques dont on
démêle assez facilement les raisons. Il est évident que les engelures,
l’urticaire, l’albuminurie, les bronchites sont favorisées par le froid :
mais c’est un peu de notre faute si nous nous défendons mal contre lui.
Un vieil adage dit qu’il n’y a pas de mauvais temps, mais seulement des
vêtements mal appropriés.
Ajoutons que, d’instinct, en hiver, nous augmentons le nombre de nos
calories alimentaires et qu’il en résulte une surcharge des organes digestifs
lorsque nous poursuivons ce régime, le plus souvent, au delà de la période
où il est justifié, ce qui explique la fréquence des troubles hépatiques, des
cholécystites, des crises d ’hypertension et d ’artério-sclérose à la fin de
l’hiver. Aussi, comme je l’ai dit ici bien souvent, le carême vrai, les
périodes de jeûne surtout, interviennent-ils toujours très utilement au
début du printemps. Ajoutons que la rareté plus grande des légumes verts
et des fruits, en hiver, pour la plus grande partie de la population, joue
aussi un rôle dans l’équilibre nutritif.
En été, par contre, la paresse des organes digestifs, la fréquence des
infections alimentaires, la rupture de l’équilibre hydrique par la sudation
sont autant de causes qui favorisent des troubles organiques d’une autre
nature.
Mais le vrai problème n ’est pas là. Il se pose à propos des relations qui
se manifestent entre les phénomènes météorologiques et les périodes culmi­
nantes des maladies infectieuses ou des troubles purement nerveux,
relations pour lesquelles les explications qui précèdent n’ont plus aucune
valeur. Avec une régularité absolue, le maximum hivernal de la diphtérie
précède exactement celui de la scarlatine. Le rachitisme, la spasmophilie
apparaissent au début de l’année et se prolongent jusqu’au printemps.
E t ces maxima sont exactement placés aux mêmes époques dans les
climats chauds que dans les climats froids.
Il faut donc nous rabattre sur les effets des radiations solaires et,
puisque les rayons caloriques ne nous fournissent pas une explication
suffisante sur les rayons chimiques et les ultra-violets, qui nous parviennent
très inégalement suivant les périodes de l’année, tant par l’éloignement
du Soleil que par l’effet des brumes qui les arrêtent pour une large part.
Or, ces rayons jouent un rôle considérable sur notre métabolisme
162
 = -: DEMAIN --

organique tout entier. On sait leurs effets sur la peau, bien qu’ils n’y
pénètrent pas plus loin qu’à un ou deux millimètres de profondeur. Mais
la peau est la région où se constituent les réactions d’immunité contre les
maladies infectieuses. D ’autre part, il existe, dans scs couches les plus
superficielles, des stérols, que les rayons ultra-violets transforment en
vitamine D : celle-ci se répand de là dans tout l’organisme et joue un
rôle considérable sur la fixation du calcium : le calcium en joue un, qui
n’est pas moindre, sur l’équilibre du système nerveux, et c’est celui-ci,
en définitive, qui règle l’activité de toutes nos fonctions organiques.
L’enchaînement de tous ces faits est d’une logique rigoureuse.
Les observations abondent dans les pays les plus divers et qui viennent
confirmer ces vues. Il nous faut renoncer à l’idée, admise trop facilement
jusqu’ici, que la virulence des microbes pathogènes varie avec les condi­
tions atmosphériques. C’est la résistance même de notre organisme qui
varie, et cela sous l’influence des radiations solaires. Toute une science
nouvelle, la météoropathologie, est actuellement en création, fondée sur
ces données, et qui peut conduire, en dehors de son intérêt scientifique,
à maintes conclusions pratiques, par exemple, le choix des meilleures
époques pour pratiquer les vaccinations avec succès, ce qui, on en
conviendra, présente un intérêt considérable.
La pauvreté des rayons solaires en ultra-violets est un facteur de
rachitisme que personne ne discute plus aujourd’hui; la contre-épreuve
est fournie par les résultats excellents que donne l’emploi artificiel de ces
rayons chez les enfants rachitiques.
La croissance même des enfants en subit l’influence. Elle est toujours
moindre, à âge égal, pendant l’hiver que pendant l’été. Des mesures
précises l’ont démontré : le maximum de l’activité de croissance est en
.avril et en août.
L’activité des glandes endocrines, à tous les âges, est en relation très
nette avec l’action des rayons ultra-violets. Si l’on engraisse en hiver et
si l’on maigrit en été, c’est non seulement parce que le régime alimen­
taire est différent, de même que le comportement sudoral et l’exercice
physique, mais c’est aussi, très vraisemblablement, parce que la glande
thyroïde est plus paresseuse dans le premier cas, plus active dans le second.
II n’est pas jusqu’au psychisme qui ne soit influencé. N ’a-t-on pas établi
•que le nombre des suicides présente une certaine constance aux mêmes
périodes de l’année ?
Enfin, à côté des ultra-violets, d’autres facteurs interviennent proba­
blement dans l’évolution des maladies organiques et dont nous commen­
çons seulement à soupçonner l’existence, les taches solaires, par exemple,
qui sont génératrices d’orages magnétiques. Le docteur Maurice Faure
.a publié de très intéressantes statistiques qui montrent que les taches
solaires coïncident avec une fréquence notable des apoplexies, des morts
subites, de la fin des malades chroniques dont la résistance semble se
trouver brusquement diminuée.
Il y a décidément sous le soleil, comme dit Shakespeare, beaucoup plus
• de choses que nous n’en pourrons jamais soupçonner...

163
 "■■■' ■' DEMAIN

Notons tout d ’abord la conclusion de cet article. Visiblement

l ’auteur croit fermement à l’influence de radiations inconnues;
on peut constater combien ce point de vue se rapproche du nôtre.
Où la concordance semble encore plus troublante, c’est lors­
q u ’on opère un rapprochement entre les diverses maladies
signalées par les statistiques comme ayant leur point maximum
à une certaine période de l’année et le passage du Soleil à travers
le signe du Zodiaque corespondant à cette même période.
En novembre, le Soleil traverse le signe du Scorpion, opposé
au Taureau, signe qui gouverne la gorge (on sait combien deux
signes opposés sont étroitement dépendants l’un de l’autre au
point de vue maladie). Rien d ’étonnant, par conséquent, qu’on
note à ce moment des angines.
En décembre, le Soleil traverse le signe du Sagittaire, signe
qui gouverne les fonctions respiratoires, les nerfs et les artères;
les statistiques notent à ce moment de la diphtérie et de la
scarlatine.
En janvier, nous avons le Soleil au Capricorne, signe qui régit
les maladies du froid, signe faible; les statistiques donnent :
grippe, bronchite, méningite, crises d’épilepsie.
En février, le Soleil traverse le signe du Verseau, signe faible
également, signe de déficience organique, d’anémie, de pauvreté
du sang; on note alors des maladies organiques ou infectieuses.
En mars, avec le signe des Poissons qui gouverne le sang, les
humeurs, le système lymphatique, les statistiques accusent :
méningite tuberculeuse, hémoptysie, crises de paludisme, etc.
Peut-être n ’y a-t-il pas concordance absolue, en ce sens que
certains empiétements peuvent se constater aisément; mais
ceux-ci paraissent nettement limités et localisés. Aussi croyons-
nous q u ’il y a là une vérification très intéressante qui pourrait
être entreprise pour le plus grand bien de la médecine et de
1’Astro-dynamique.
Mais revenons-en à l’objet essentiel de notre étude.
On a constaté que certaines maladies se déclaraient, en même
temps que dans le reste du monde, dans des îles du Pacifique où
nul bâtiment n ’avait abordé depuis des mois. La théorie de la
transmission des maladies par les microbes et la contagion n ’est,
certes, pas opérante ici.
Dernièrement nous lisions dans Le Consultant du Praticien
(juin 1934), un passage intitulé “ Le Temps de la Rougeole ”
et dont voici la teneur :
Si j’étais médecin homéopathe, j’aurais certainement une tendance
à établir une relation entre le temps de la rougeole et le temps des cerises,
car ils se superposent toujours l’un et l’autre. E t qui sait ? Les effluves
164
~~ DEMAIN

solaires ou autres qui font carmincr les cerises sont peut-être les mêmes
que celles qui favorisent l'éruption de la rougeole.
C'est, en effet, presque toujours en juin que régnent et s’étendent les
épidémies de rougeole; pour quelle raison ? Nous l’ignorons. L’année
1934 ne fait pas exception à cette règle, bien au contraire, car, actuel­
lement, la rougeole fait des ravages dans toute la France.

Hippocrate, rue des Grands degrés, 7, à Paris. Cette Revue

a publié, d ’avril à juin 1934, une étude intitulée : “ De l’influence
de la Lune sur les maladies d ’après les Médecins astrologues des
origines au XV e siècle. ”
Elle rappelle les doctrines médicales chinoises et indiennes,
la tradition médicale chez les Grecs et les Romains, la “ mélo-
thésie zodiacale ” ou répartition des influences des signes sur les
membres, les principes de l’Ecole de Salerne qui remontent à la
chute de l’Empire des Romains; elle cite plusieurs ouvrages
se rapportant à ces questions.
L ’auteur, P. Saintyves, Directeur de la Revue Anthropolo­
gique, ne paraît pas admettre, sur tous les points, l’exactitude
de la tradition astrologique, mais il l’expose clairement et d ’une
façon complètement impartiale.
La Revue de ¡.’Université de Bruxelles, n° 4, 1934, contient un
article de M. Edmond Liénard, intitulé : “ La Mélothésie
zodiacale dans l’antiquité ” . C’est une étude historique particu­
lièrement intéressante de la question, que l’auteur lui-même
résume ainsi :
Le principe de la mélothésie zodiacale ou planétaire remonte à la plus
haute antiquité et son origine doit se chercher soit en Chaldée, soit en
Egypte ou dans les deux pays à la fois. De là, il pénètre dans le monde
gréco-romain vraisemblablement beaucoup plus tôt que les documents ne le
feraient supposer. Bientôt la mélothésie subit de nombreuses modifications.
L’Olympe grec contenait douze grandes divinités, tout comme le zodiaque
englobait douze constellations.
Cette coïncidence devait favoriser les rapprochements et on remplaça
les astres par des dieux.

L ’auteur ne se prononce pas sur la valeur ni sur la portée de ce

système astrologique; il semble cependant le considérer comme
une simple superstition.
Quant aux Revues astrologiques ou conjecturales proprement
dites, depuis 1933 surtout, elles publient des études astro-
médicales.
Nous voyons ainsi dans Le Grand Nostradamus, rue du Fau­
bourg Saint-Honoré, 56, à Paris :
N° 1, mai 1934, p. 49 : “ Les astres et le pronostic des inter-
165
 DEMAIN '

vendons chirurgicales ” , par Jean Vaquère, pseudonyme d ’un

médecin et chirurgien remarquable.
N° 3, juillet-août 1934, p. 42 : “ A propos de l’horoscopie
medicale ” . Reproduction d ’une ancienne gravure de 1539,
marquant les parties du corps humain influencées par les signes
du Zodiaque. Cette gravure est accompagnée de commentaires
et d’exemples.
' La nouvelle publication de Chacornac, quai Saint-Michel, 11,
à Paris, Astrologie entre dans la même voie.
Cahier n° 1, 1934, p. 18 : “ Les Règles de la Médecine selon
l’Astrologie ”, par Jean de Indagine. Extrait du livre Chiroinance
et physionomie par le regard des membres de Vhomme,
Lyon, 1571.
Cahier n° 2, p. 88 : “ Du pronostic des Maladies ” , par Jean-
Baptiste Fayol, d ’après le livre L'harmonie céleste, petit in-8°,
Paris, 1672.
Il y a lieu de féliciter la rédaction de Astrologie de s’attacher
à faire revivre ainsi d’anciennes publications, sommeillant depuis
des siècles dans la poussière des bibliothèques.
C ’est là un des meilleurs moyens de prouver l’efficacité des
études astrologiques jointes à la pratique médicale.
Le cahier n° 3 d"Astrologie doit être entièrement consacré
à l’Astrologie médicale.
La Revue, sous la signature de son rédacteur en chef, M. A.
Boudineau, a adressé un appel à ses lecteurs (cahier 2, p. 79), en
s les priant de lui faire connaître tout ce qui est de nature à
/ apporter quelque contribution à l’application de l’Astrologie à
la médecine.
/ Tout observateur impartial peut ainsi constater que, depuis
quelques années, la médecine évolue très nettement vers l ’étude
des influences astrales et cosmiques. Nous avons déjà eu l’occa­
sion de citer ici l’opinion de médecins modernes qui confessent
que “ tout a l ’air de se passer comme s’il existait réellement des
influences astrales ” .
C ’est, en réalité, un retour très net à la médecine astrologique.

De l ’examen des différentes publications que nous avons citées,

on peut conclure que le mouvement astro-médical, déjà très
développé à l ’étranger, est définitivement amorcé en France. Il
ne peut que s’étendre, attendu q u ’il intéresse une très importante
categorie de savants et de praticiens, qui, par leur profession
même, sont particulièrement aptes à s’assimiler une science
d ’observation telle que l ’Astrologie et à en tirer parti.
(A suivre.}
V* C h . d e HERBAIS d e TH U N .
166
— DEMAIN , · · · · - · ^ ^ — · ■—

Guide astrologique journalier

pour décembre 1934
■■■
Ce guide journalier, publié à la demande de nombreuses per­
sonnes, ne signifie pas que les indications données soient valables
unijormément pour tous. La destinée de chacun dépend avant
tout de son thème de naissance personnel. Néanmoins, en
s'inspirant des directives reprises au présent guide, il est certain
qu’on s'assurera le maximum de chance dans toute initiative, ces
directives étant scientifiquement et synthétiquement étudiées
pour correspondre à des conseils précis.

SAMEDI 1er DÉCEMBRE. — Journée peu favorable, portant

aux illusions faciles, aux initiatives erratiques, confuses; suscep­
tible d ’amener des accidents, ennuis, déceptions, discussions
rancunières. La soirée peut apporter un peu de chance pure.
DIM ANCHE 2. — A part quelques imprévus (ruptures, frois­
sements ou emballements) en matière sentimentale et quelques
possibilités d’accidents sans gravité particulière qui peuvent
survenir le matin, la journée convient pour les affaires en général
et particulièrement pour les travaux patients et persévérants et
les affaires à évolution lente et raisonnée ou touchant à la terre,
aux mines, aux immeubles.
LUNDI 3. — Le danger d ’accidents, d ’explosions, de chutes,
d ’ennuis persiste le matin, mais la journée convient aux initiatives
de l’esprit, à tout travail intellectuel. Il est préférable de ne pas
se purger ce jour-là, ni les deux suivants, l’organisme pouvant
s’en ressentir désagréablement. Peu de chance en matière
sentimentale.
MARDI 4. — Bon pour le travail intellectuel, le matin sur­
tout. Assez bien de chance financière. L ’inspiration est féconde et
favorise tout travail d ’intuition.
MERCREDI 5. — Les initiatives intellectuelles continuent
à être favorisées. Ce jour convient aussi aux relations sentimen­
tales, aux plaisirs. Possibilités de petits accidents, de chutes, de
contusions.
JEUDI 6. — Mauvaise journée en général, surtout l’après-
midi.
VENDREDI 7. — Convient aux affaires en général, même
quelque peu risquées. Susceptible toutefois de provoquer des
167
 DEMAIN

coups, blessures, inflammations, accidents. Eviter les impru­

dences.
SAMEDI 8. — Très bonne journée pour le travail d’inspi­
ration. Convient spécialement aux romanciers et littérateurs.
Satisfactions exceptionnelles en perspective.
DIMANCHE 9. — La nuit du 8 au 9 et la matinée du 9 sont
favorables aux relations sentimentales. L’après-midi convient aux
choses de l’esprit ou pour effectuer des changements. Il y a
toutefois des dangers d ’accidents, d’imprévus et, le soir surtout,
d ’idées confuses et erratiques.
LUNDI 10. — Sauf pour les choses de l’esprit qui se trouvent
sous de bons auspices, il n ’y a rien de bon à attendre de cette
journée, susceptible d ’amener des déboires, des accidents,
contusions, brûlures, chutes, surtout l’après-midi et le soir.
MARDI 11. — Bonne en général, mais peut amener des
imprévus.
MERCREDI 12. — La matinée et le début de l’après-midi
peuvent susciter des discussions, de la fausseté, de la malveil­
lance. La soirée est peu favorable en général.
JEUDI 13. — Tout à fait mauvaise : ne pas sortir des occupa­
tions routinières.
VENDREDI 14. — Encore une mauvaise journée. Durant
la matinée, possibilité d ’accidents, contusions, brûlures.
SAMEDI 15. — A l ’aube, le travail intellectuel sera aisé, mais
il y a, à ce moment, des risques d ’accidents, d ’imprudences.
L ’après-midi apporte beaucoup de chance pure. Elle convient
aussi, ainsi que la soirée, pour s’occuper de travaux stables,
ordonnés, à évolution lente et méthodique et touchant à la terre,
aux mines, aux immeubles.
DIM ANCHE 16. — Les relations sentimentales, les arts, les-
plaisirs se trouvent sous de bons auspices, surtout le matin. Mais
pour le reste, la journée est douteuse (discussions sournoises et
malveillantes).
LUNDI 17. — Les travaux d ’inspiration, d’intuition sont
favorisés. Ce jour convient spécialement aux romanciers et litté­
rateurs. En dehors de cela, dangers de débordements passionnels
pouvant avoir une mauvaise influence sur la santé.
MARDI 18. — Bonne journée en général, convenant aux
initiatives intellectuelles et éducatives, ainsi qu’aux changements
et déplacements.
168
 DEM AIN - — = t= = s

MERCREDI 19. — Journée assez quelconque, mais portant

aux idées confuses et chimériques.
JEUDI 20. — Convient pour s’occuper d ’innovations, de
créations et de choses stables, raisonnées, ordonnées, ou se rap­
portant aux immeubles, à la terre, aux mines. Le matin, il peut
se produire des discussions, chicanes; l’après-midi est peu favo­
rable aux personnes souffrant des poumons; la soirée peut amener
de la malchance.
VENDREDI 21. — Journée entièrement mauvaise : entraî­
nements passionnels, actes irréfléchis, pertes, déceptions, ennuis,
chutes, accidents. La soirée amène plus de réflexion, de
modération.
SAMEDI 22. — Très belle journée : l’art, l’amour, les travaux
d ’inspiration et d ’intuition se trouvent sous des influences
bénéfiques; la santé et les spéculations sont aussi favorisées.
DIM ANCHE 23. — La matinée peut amener des accidents,
des explosions, des imprévus. La soirée convient pour donner
un coup de collier. Ne pas étrenner un vêtement avant mercredi
(magnétisme solaire excessif).
LUNDI 24. — Défavorable. L ’après-midi, principalement,
erreurs de jugement, ennuis, déceptions, possibilités de chutes.
Mauvaise journée pour les cardiaques.
MARDI 25. — Ne vaut pas mieux que la veille pour les
cardiaques. L ’après-midi, dangers d ’emballements passionnels,
d ’accidents, de déceptions, de pertes, d ’imprévus; mais on peut
s’occuper, avec certaines perspectives de succès, de ’créations,
d ’innovations, d ’idées nouvelles.
MERCREDI 26. — Le début de la matinée convient pour
tout travail de l’esprit. Durant la journée, on peut présenter des
requêtes qui ont quelque chance d ’aboutir.
JEUDI 27. — L ’art, l’amour, les plaisirs, les relations senti­
mentales se trouvent sous de bons auspices; il faut cependant se
défier des excès ou des exagérations. Il y a assez bien de chance
pure ce jour-là.
VENDREDI 28. — Journée peu favorable en général. Eviter
les discussions, les brouilles. Autant que possible ne pas traiter
de contrats l ’après-midi.
SAMEDI 29. — Très mauvaise journée : idées confuses,
nébuleuses; dangers d’accidents, d ’explosions, de contusions, de
chutes, d ’ennuis, de déceptions, de violences. Se déplacer le moins
possible. Dans l’après-midi, les travaux d ’inspiration semblent
169
 DEMAIN

favorisés, mais le soir les relations sentimentales le sont très peu.

Défavorable à la santé des personnes souffrant des reins.
DIM ANCHE 30. — S’en tenir aux affaires en cours et aux
travaux stables, ordonnés, méthodiques dont le progrès est
fonction du temps ou qui touchent à la terre, aux mines, aux
immeubles. Par ailleurs, mauvaise après-midi : dangers d’acci­
dents, d ’explosions, de chutes, d ’ennuis, de déceptions, de
déboires.
LUNDI 31. — Favorable en général, surtout au point de vue
intellectuel et artistique, mais danger d’être trop critique, trop
entier dans les idées.

Les meilleurs jours du mois sont les 4, 8, 11, 15, 18, 22 et 26.
Les plus défavorables sont les 3, 6, 10, 13, 14, 17, 21, 24, 29
et 30 (après-midi). Des accidents peuvent survenir les 3, 5, 6,
10, 13, 14, 17, 29 et 30 (après-midi). Les jours qui conviennent
le mieux aux travaux d ’intuition, d ’inspiration sont les 4, 8, 17,
22 et 27. Pour ce qui concerne les arts, choisissez les 2, 7, 11, 16,
22 et 27. Pour le travail intellectuel, les 5, 10 et surtout les 15,
26 (matin) et 31 sont favorables. Les relations sentimentales se
trouveront sous de bons auspices dans la nuit du 8 au 9, les 11,
16 (matin), 22 et 27, mais elles seront moins agréables les 13,
17, 21, 25 et 29. Pour autant que la chose soit possible, évitez
de voyager les 7, 13, 14, 21 et 29.
O P E R A TIO N S, — Les operations pourront être entreprises avec le
maximum de chance de rétablissement rapide du 7 au 20 ( matin) et
notamment les 7, 8, 11, 12 et 15 (après-m idi). A la rigueur, les 4, 22,
26 et 31 sont encore des dates favorables. Dans la mesure du possible,
ne pas opérer la tête les 14, 15 et jusqu’à l’aube du 16; la gorge, du 16
au 18; l’estomac, du 21 au 23; l ’intestion et le foie, du 26 au 28; les
reins et organes fém inins, du 1er au 3 et du 28 au 30; le rectum et la
prostate, du 3 au 5 et le 31; les yeux, les 10 et 11. Les indications qui
précèdent sont évidem m ent d ’ordre général; des dates tout à fait appro­
priées peuvent être, éventuellement, calculées pour chacun suivant son
cas particulier. En effet, il est également préférable de ne pas opérer
lorsque la Lune se trouve dans le signe Ascendant du thèm e et il est
souhaitable que l’état du Ciel au m om ent de l ’opération soit en aussi
bonne harmonie que possible avec les configurations du m om ent de la
naissance.
VEGA.

(Notre Studio Astrologique, voir annonce page 176, se charge, sur

demande, de dresser un ” G uide jo u r n a lier ” A B S O L U M E N T
P E R S O N N E L E T IN D IV ID U E L d’après le thème de naissance
du consultant.)
170
 DEMAIN

L’heure d’été
Plusieurs lecteurs nous ont demandé de signaler à nouveau les
périodes d'utilisation de l'heure d'été dans l'ouest de l'Europe.
Nous le faisons d'autant plus volontiers que cela nous permet de
rectifier quelques inexactitudes qui s'étaient glissées dans notre
texte précédent.

Périodes d’utilisation de l’heure d’été

en BELGIQUE
1916 — du 30 avril à 23 heures au 1er octobre à 1 heure.
1917 — du 16 avril à 2 heures au 17 septembre à 3 heures.
1918 — du 15 avril à 2 heures au 16 septembre à 3 heures.
1919 — du 1er mars à 23 heures au 4 octobre à 24 heures.
1920 — du 14 février à 23 heures au 23 octobre à 24 heures.
1921 — du 14 mars à 23 heures au 25 octobre à 24 heures.
1922 — du 25 mars à 23 heures au 7 octobre à 24 heures.
1923 — du 21 avril à 23 heures au 6 octobre à 24 heures.
1924 — du 29 mars à 23 heures au 4 octobre à 24 heures.
1925 — du 4 avril à 23 heures au 3 octobre à 24 heures.
1926 — du 17 avril à 23 heures au 2 octobre à 24 heures.
1927 — du 9 avril à 23 heures au 1er octobre à 3 heures.
1928 — du 14 avril à 23 heures au 7 octobre à 3 heures.
1929 — du 21 avril à 2 heures au 6 octobre à 3 heures.
1930 — du 13 avril à 2 heures au 5 octobre à 3 heures.
1931 — du 19 avril à 2 heures au 4 octobre à 3 heures.
1932 — du 17 avril à 2 heures au 2 octobre à 3 heures.
1933 — du 26 mars à 2 heures au 8 octobre à 3 heures.
1934 — du 8 avril à 2 heures au 7 octobre à 3 heures.

Voici Ies “ probabilités ” pour les années prochaines (à vérifier, bien

1935 — du 14 avril à 2 heures au 6 octobre à 2 heures.

1936 — du 19 avril à 2 heures au 4 octobre à 2 heures.
1937 — du 18 avril à 2 heures au 3 octobre à 2 heures.
1938 — du 10 avril à 2 heures au 2 octobre à 2 heures.
1939 — du 16 avril à 2 heures au 8 octobre à 2 heures.

Périodes d'utilisation de l’heure d’été

en HOLLANDE
{Communiquées par l'institut royal Météorologique Néerlandais.}
1916 — du 1er mai au 2 octobre.
1917 — du 16 avril au 17 septembre,
1918 — du 1er avril au 30 septembre,
1919 - du 7 avril au 29 septembre,
1920 — du 5 avril au 27 septembre,
1921 — du 4 avril au 26 septembre,
1922 — du 26 mars au 8 octobre,
1923 — du 1er juin au 7 octobre,
1924 — du 30 mars au 5 octobre.
1925 — du 5 juin (2 h. du matin) au 4 octobre (2 h. du matin),
1926 — du 15 mai (2 h. du matin) au 3 octobre (2 h. du matin).
1927 — du 15 mai au 2 octobre.
 DEMAIN

1928 — du 15 mai au 7 octobre.

1929 — du 15 mai au 6 octobre.
1930 — du 15 mai au 5 octobre.
1931 — du 15 mai au 4 octobre.
1932 — du 22 mai (2 h. du matin) au 2 octobre,
1933 — du 15 mai au 8 octobre.
1934 — du 15 mai au
P. S. — La mise en vigueur de l’heure d’été en Hollande a toujours eu lieu
entre i et 3 heures du matin.

Périodes d’utilisation de l’heure d’été

en FRANCE
1916 — de la nuit du 14 au 15 juin à la nuit du 30 sept, au 1er oct.
1917 — de la nuit du 24 au 25 mars à la nuit du 6 au 7 octobre.
1918 — de la nuit du 9 au 10 mars à la nuit du 5 au 6 octobre.
1919 — de la nuit du 1er au 2 mars à la nuit du 4 au 5 octobre.
1920 — de la nuit du 14 au 15 février à la nuit du 23 au 24 octobre.
1921 — de la nuit du 14 au 15 mars à la nuit dn 24 au 25 octobre.
1922 — de la nuit du 25 au 26 mars à la nuit du 7 au 8 octobre.
1923 — de la nuit du 26 au 27 mai à la nuit du 6 au 7 octobre.
1924 — de la nuit du 29 au 30 mars à la nuit du 4 au 5 octobre.
1925 — de la nuit du 28 au 29 mars à la nuit du 3 au 4 octobre.
1926 — de la nuit du 17 au 18 avril à la nuit du 2 au 3 octobre.
1927 — de la nuit du 9 au 10 avril à la nuit du 1er au 2 octobre.
1928 — de la nuit du 21 au 22 avril à la nuit du 6 au 7 octobre.
1929 — de la nuit du 20 au 21 avril à la nuit du 5 au 6 octobre.
1930 — de la nuit du 12 au 13 avril à la nuit du 4 au 5 octobre.
1931 — de la nuit du 18 au 19 avril à la nuit du 3 au 4 octobre.
1932 — de la nuit du 16 au 17 avril à la nuit du 1er au 2 octobre.
1933 — de la nuit du 25 au 26 mars à la nuit du 7 au 8 octobre.
1934 — de la nuit du 7 au 8 avril à la nuit du 6 au 7 octobre.
P. S. — Depuis quelques années, la France et la Belgique ont synchronisé
les périodes d’utilisation de l’heure d’été.

Souscription permanente en faveur de la Revue

J. A. L., B ru x elles.....................................................20 francs
A n o n y m e ............................................................... 5 francs
M 1Ic L..m .n..................................................................... 25 francs
Total des listes précédentes....................................... 150 francs

Totalà ce jour......................... 200 francs

A tous un cordial merci.
Tous les dons, si minimes soient-ils, sont accueillis avec
reconnaissance. Leur liste est publiée chaque mois dans la Revue,
avec le nom des donateurs. Ceux-ci peuvent, bien entendu,
exiger que seules leurs initiales soient mentionnées, ou encore le
pseudonyme sous lequel ils nous transmettent leur envoi.
172
 ~ vz-^z. DEMAIN

’’Octobre, mois fatidique”

A propos de la révolution espagnole et de l’assassinat
du roi Alexandre de Yougoslavie
a a ■
Confirmations et constatations astrologiques
“ Octobre, mois fatidique ! ”
Notre numéro 3-4 du 21 juillet dernier étalait cette man­
chette en page de couverture. Nous ne nous étions d ’ailleurs pas
résolus à exposer ce titre alarmant sans justification sérieuse; nos
lecteurs étaient d ’ailleurs prévenus depuis fin 1933. De plus, c’est
par un véritable cri d ’alarme prophétique que Stella terminait,
dans le même numéro, ses pronostics pour septembre-octobre. Il
écrivait, en effet :
Jusqu’ici, hélas, les conducteurs de peuples ont fait de la crise une
espèce de match sportif et amusant, se renvoyant les difficultés comme des
balles de tennis, dans l’espoir de pouvoir les laisser pour compte à l’adver­
saire. Vraiment la partie actuelle où se jouent les destins de l’humanité
mériterait bien une mentalité un peu plus large que celle-là.
C’est peut-être dans le désespoir, lorsqu’il sera presque trop tard que
leur viendra la sagesse. Si le sang na pas coulé auparavant. Et le leur en
.tout premier lieu.
La lunaison d ’octobre, nous dit Stella, tombait en VIIIe maison,
maison de la mort. Combinée avec les aspects planétaires du
moment, aspects formidablement inquiétants et d’allure révolu­
tionnaire, presque exacts d ’ailleurs à ce moment, elle laissait
entrevoir un danger anormal dépassant la portée d ’un accident
banal, et ayant, au contraire, quelque chose de collectif et
d ’universel.
La tentative révolutionnaire en Espagne et l’assassinat du roi
Alexandre de Yougoslavie ont amplement déjà confirmé ces
sombres prévisions d ’octobre. Chose curieuse au point de vue
qui nous occupe, ces faits se sont passés aux dates données par
Stella (2, 3, 4 et 9 octobre). L ’attentat contre le roi Alexandre
a eu lieu le 9 (notre guide journalier était bien caractéristique
pour ce jour-là) au moment exact où l’opposition Jupiter-Uranus
(Jupiter : hauts dignitaires, Uranus : l’esprit de sédition et de
destruction) se trouvait transmise par la Lune avec son maximum
d’effet et était aggravée encore, et par un parallèle Mars-Saturne,
et par le transit exact de Mars à l’opposition de l’éclipse solaire
du 14 février 1934. Stella avait annoncé à ce sujet qu’octobre
verrait ainsi le point de chute de trois éclipses : 14 février 1934;
21 août 1933 et 24 février 1933.
Stella, qui synthétise toujours, nous communique ce simple

i73
 ..........................DEMAIN --------------

tableau de comparaison qui, bien que ne tenant compte que des

grandes lignes, est particulièrement frappant. Q u’on en juge :
Première opposition Jupiter-Uranus (à moins de 1°) :
7 février 1934.
Mort du roi Albert de Belgique : 17 février 1934.
Deuxième opposition Jupiter-Uranus(exacte): 10 octobre 1934.
Mort du roi Alexandre de Yougoslavie : 9 octobre 1934.
M mc Verhulst-Dubay nous fait remarquer, de son côté, que les
éclipses tombant dans le troisième décan du Lion paraissent bien
néfastes pour les rois. Mars transitait l’éclipse du 21 août 1933
peu avant la mort tragique d’Albert Ier , et passait à l’opposition
de cette même éclipse vers le 15 octobre, cette fois quelques
jours après la mort d ’Alexandre de Yougoslavie. Si c’est là une
coïncidence, elle est curieuse.
“ De tout ceci, nous dit M m c Verhulst, on pourrait craindre
encore la mort violente d ’un Roi vers janvier 1936, lorsque Mars
passera de nouveau à l’opposition de la même éclipse. ”
Cette question des éclipses fera encore couler beaucoup d ’encre,
car elle est loin d ’être épuisée. Mais nous pouvons toujours noter
le pronostic et en attendre les résultats.
Nous avons simplement voulu montrer ici que les tragiques
événements d ’octobre ne sont pas l’effet du hasard, mais bien le
résultat d’un ensemble de coïncidences astrologiques aussi nettes
les unes que les autres.
Remarquons encore, pour finir, un détail curieux qui montre
bien comment tout, en Astro-dynamique, s’enchaîne. Le guide
astrologique de notre collaborateur Vega donnait, pour le mardi 9,
une indication pour le moins inaccoutumée : “ Très dangereuse
journée pour les spéculations (krachs possibles). ” Et il s’en est
fallu de peu, en effet, q u ’une véritable panique se produisît en
Bourse. Cette journée du 9 fut d ’ailleurs marquée par de graves
accidents de mine, d ’aviation, des attentats de tout genre. Elle
était décidément fatidique sur toute la ligne.
R. B.
■ ■= = = = = ■ ■
Livres, revues, échos, nouvelles
Astrologie ( l rc année, n° 2). — Le deuxième cahier de cette
Revue éditée par MM. Chacornac frères, à Paris, vient de paraître.
Luxueusement édité comme le numéro précédent, il contient
une série d ’articles signés André Boudineau, Francis W arrain,
René d ’Urmont, A. Volguine, E. Hentgès, Marcaw, J. -B. Foyol,
etc., qui offrent pour la plupart cette particularité de traiter une
i74
 DEM AIN

question d ’ensemble, en l’occurrence celle de la planète maîtresse

ou dominante d ’un thème. L ’étudiant trouvera ainsi, dans chaque
fascicule, l’exposé complet d ’un même sujet envisagé sous divers
angles. Cette initiative est particulièrement heureuse et nous en
félicitons les éditeurs.
Le présent numéro. — Nos lecteurs apprécieront l’effort consi­
dérable que nous avons fait cette fois pour leur fournir un numéro
intéressant à tous points de vue, tant pour l’étudiant que pour le
profane. C ’est la première fois, en effet, que nous sortons un
numéro de 64 pages. Inutile de faire remarquer que notre budget
va s’en ressentir très sensiblement.
C’est pourquoi nous espérons q u ’ils parleront du présent
numéro à leurs amis et connaissances, qu’ils les engageront à
l’acheter ou à s’abonner. Ce serait là pour nous une juste récom­
pense et, pour notre budget, une garantie complémentaire
d ’équilibre.
Par suite des exigences imprévues de la mise en pages, nous
n ’avons pu présenter l’article de M. de Herbais de Thun sur un
cahier de 16 pages. Mais cet article et l’enquête de Pâturages
forment à eux deux un cahier détachable de 46 pages.
Loterie Coloniale. — Les participants à nos achats collectifs
de billets ont été avisés définitivement au début de ce mois des
numéros et lettres de séries des billets acquis. Ils seront informés,
dans un délai aussi réduit que possible, du montant des lots acquis
à la collectivité.
Le thème de Léon Daudet. — Quelques mots ont sauté en fin
d ’article, page 94, ligne 8. Il faut lire : " Car la Lune sera à ce
moment opposée à Uranus et en carré de Neptune. ”

Un Congrès astrologique international

à Bruxelles en 1935
A l’occasion de l’Exposition universelle de Bruxelles qui aura
lieu en 1935, nous envisageons de tenir en cette ville un Congrès
astrologique international.
Des avantages seront évidemment réservés aux congressistes :
facilités de transport, réductions de prix éventuelles, visite
guidée de l’exposition, excursions dans les environs de la
capitale, etc. Tous ceux que cette initiative intéresse en principe,
sont priés de nous faire tenir leurs avis, suggestions et demandes
de renseignements. Nos lecteurs sont instamment priés de
diffuser notre proposition afin de nous assurer au plus tôt, le
maximum de concours utiles. D ’avance merci !

175
 DEMAIN

Notre Studio Astrologique

En réponse à de nombreuses sollicitations, nous avons été

amenés à organiser un département spécial, chargé de donner
suite aux demandes d’études qui nous parviennent.
Voici dans quelles conditions notre studio fonctionne :
Toutes nos consultations sont absolument personnelles; un travail spécial
est effectué dans chaque cas. Nous ne faisons pas d’études en série. Il est donc
impossible que deux consultations semblables sortent de notre studio.
Toute consultation demeure strictement confidentielle; on peut donc nous
poser les questions les plus délicates. Nous visons avant tout à aider nos consul­
tants, à les tirer de leurs difficultés et de leur perplexité, à leur rendre courage
en s’appuyant sur des forces souvent ignorées. Dans tous les cas nous exposons
loyalement notre avis, ne donnant que d’honnêtes conseils, nous réservant
d ’ailleurs de ne pas donner suite à toute suggestion équivoque. Nous traitons
toutes questions pratiques : caractère, santé, orientation professionnelle,
mariage, affaires, sociétés, etc.
Nos conclusions sont fournies sous la responsabilité entière et sous réserve
du consultant qui reste seul juge de leur utilisation, tant vis-à-vis de lui-même
que vis-à-vis de tiers.
Nos études sont faites sous la direction de notre collaborateur Stella. Celui-ci
n'y participe cependant activement que sur demande spéciale ou en cas de
nécessite. Toutes nos études, quelles qu’elles soient, sont d’ailleurs traitées avec
conscience par des collaborateurs de choix, au mieux de leurs connaissances
et de leur expérience collective.

Renseignements à fournir : Donner dans tous les cas le sexe, le lieu, la date
de naissance et l’heure aussi précise que possible. De préférence, indiquer la
Profession visée ou occupée. En cas d ’incertitude quant à l’heure, consulter
Etat Civil de la commune de naissance (l’heure déclarée y est toujours
enregistrée); joindre 1 fr. 50 pour frais.
Poser nettement la question, en donnant tous détails utiles depuis son origine
e t en signalant les appuis ou obstacles rencontrés, les résultats espérés, etc.
Prix et délai : Le délai d’exécution dépend du nombre de travaux en note,
chaque étude venant à son tour suivant numéro d’ordre.
Les prix sont calculés honnêtem ent d’après des bases modérées et propor­
tionnellement à la somme de travail requise — laquelle dépend évidemment
de la précision désirée et de l’importance des indications demandées. Le tarif
général de nos études les plus courantes est communiqué sur demande.
20 % de remise aux abonnés de la revue.

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S T U D IO A S T R O L O G IQ U E
D E L A R E V U E ’’D E M A IN ”
Av e n u e Al ber t . 107 - BRUXELLES

Consultations orales (par "Stella”) sur rendez-vous. Tél. 37.83.46

176
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Vous pouvez vous procurer, sur simple versement au compte

postal 5762, les éditions suivantes :
COM MENT DRESSER VOTRE HOROSCOPE? par O. de Landtshcer,
administrateur de l’institut. — Livre préliminaire exposant les connaissances
necessaires à l’érection d’un thème astrologique avec de nombreux schémas
facilitant la compréhension. Comporte une foule de renseignements utiles sur
l’heure légale, l’heure d ’été, etc. (entièrement mis à jour). C’est l’ouvrage le
plus clair et le plus simple qui existe. Prix : 15 francs; Etranger : 4 bclgas.
QU’EST-CE QUE L’ASTROLOGIE ? par G.-L. Brahy. - - Une brochure
de vulgarisation; 32 pages, exposant l’état actuel du problème astrologique.
Nombreux clichés et figures. Prix : 5 francs; Etranger : 1 belga 40.
L’ASTRO-DYNAMIQUE, son rôle possible dans la conjoncture économique
et financière, de G.-L. Brahy. — Thèse présentée au 56e Congres de l’Asso­
ciation française pour l’avancement des sciences à Bruxelles en 1932 avec
divers diagrammes et prévisions. Prix : 5 francs (derniers exemplaires);
Etranger : 1 belga 40.
CONTRIBUTION A L’ETUDE DE L’ASTRO-DYNAMIQUE, de, G.-L.
Brahy. — Ouvrage épuisé, existe en édition ordinaire (50 francs) et en édition
de luxe (60 francs). C’est le seul ouvrage'en langue française contenant une
synthèse complète de la science astrologique et ne donnant cjue des règles
simples, sûres et pratiques, à la portée de tous. La critique a été unanime à
reconnaître la valeur de ce livre. (Prix d’occasion : 75 à 150 francs.)
FLUCTUATIONS BOURSIERES ET INFLUENCES COSMIQUES, par
G.-L. Brahy. — Tout récemment paru. Un livre entièrement nouveau, bien
édité, clair et mathématique. Un livre qui intéressera tous les capitalistes et
tous les hommes d’affaires. Un livre honoré de nombreuses souscriptions
d ’organismes officiels bancaires, financiers ou industriels de Belgique, France
et colonies, Hollande, Angleterre et Dominions, Etats-Unis, U. R. S. S., etc.
Dans ce nouvel ouvrage, l’auteur détaille les effets constatables des forces
cosmiques sur les sociétés et les masses. La connaissance de ces effets
permet de prévoir des années d’avance le déroulement des événements à
n’importe quelle époque. Des pronostics sociaux, politiques, financiers peuvent
ainsi être établis et, en ce qui concerne les marchés et les Bourses, notamment,
— centres vitaux des systèmes économiques actuels — il est possible de prévoir,
non seulement les grands mouvements de hausse ou de baisse, mais encore des
fluctuations de plus petite amplitude; le résultat est étonnant. L’auteur en fait
d ’ailleurs la preuve par une étude générale portant sur les années 1820 à 1933
(étude extraordinairement fouillée qui est le résultat d’un véritable travail de
bénédictin) et par des faits plus précis “ boom Hoover ", diagramme des
années 1927 à 1931, krach Kreuger, etc.
Partant de là, il continue son examen, donnant tous les détails utiles, et
même un diagramme très explicite pour les années 1934 à 1940. Ce chapitre
à lui seul vaut le prix de l’ouvrage.
Un fort volume de plus de 200 pages, grand format (16 x 24), contenant de
nombreux clichés, tableaux et diagrammes, en vente au prix exceptionnel­
lement avantageux de : en Belgique : 50 francs, rendu franco; en France et à
l’étranger : 12 belgas fou 45 francs français), port recommandé compris.
Edition de luxe, avec dédicace de l’auteur : 75 francs; Etranger : 17 bclgas.
SYNTHESE DE L’ŒUVRE DE PAUL CHOISNARD, par le vicomte
Ch. de Herbais de Thun, administrateur de l’institut. Un livre de 160 pages,
format 1 6 x 2 4 .
La matière des quelque 30 ouvrages édités par Choisnard est condensée dans
cet ouvrage, avec toutes ses conclusions et caractéristiques. L’exposé par rubriques
successives, la remarquable coordination des textes en rendent la consultation
facile et indispensable aux étudiants. Prix : 35 francs; Etranger î 8 belgas.

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