Accéder au contenu principal
Littérature sans frontières

L'écrivain espagnol Victor del Arbol

Publié le :

Victor del Árbol est né à Barcelone, en 1968. Après quelques années passées dans un séminaire, des études d'Histoire, et deux décennies dans les services de police de la communauté autonome de Catalogne, il publie son premier roman en 2006. En France, ses livres suivants sont traduits aux Editions Actes Sud : La Tristesse du samouraï (Prix du polar européen 2012 du Point), La Maison des chagrins (2013), Toutes les vagues de l’océan (Grand prix de littérature policière 2015), dans la collection «Actes noirs».Son nouveau roman intitulé La Veille de presque tout a reçu le Prix Nadal 2016.

Victor del Arbol.
Victor del Arbol. © Marc Fichet / Rfi
Publicité

«L’inspecteur Ibarra a été transféré depuis trois ans dans un commissariat de sa Galice natale après avoir brillamment résolu l’affaire de la petite disparue de Málaga. Le 20 août 2010, 0 h 15, il est appelé par l’hôpital de La Corogne au chevet d’une femme grièvement blessée. Elle ne veut parler qu’à lui. Dans un sombre compte à rebours, le récit des événements qui l’ont conduite à ce triste état fait écho à l’urgence, au pressentiment qu’il pourrait être encore temps d’éviter un autre drame.

À mesure que l’auteur tire l’écheveau emmêlé de ces deux vies, leurs histoires – tragiques et sublimes – se percutent de plein fouet sur une côte galicienne âpre et sauvage.

Une fillette fantasque qui se rêvait oiseau marin survolant les récifs, un garçon craintif qui, pour n’avoir su la suivre, vit au rythme de sa voix, un vieux chapelier argentin qui attend patiemment l’heure du châtiment, un vétéran des Malouines amateur de narcisses blancs…

Aucun personnage n’est ici secondaire et l’affliction du passé ne saurait réduire quiconque au désespoir. Chacun est convaincu que le bonheur reste à venir, ou tente pour le moins de s’inventer des raisons de vivre. C’est ainsi que, dans ce saisissant roman choral, l’auteur parvient à nimber de beauté l’abjection des actes, et de poésie la noirceur des âmes.» (Présentation de l'éditeur)

Chronique de Baptiste Touverey : «L'ombre intérieure et l'ombre extérieure», un article consacré à la publication du dernier volume de la correspondance de Samuel Beckett.

 

 

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail

Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFI

Voir les autres épisodes
Page non trouvée

Le contenu auquel vous tentez d'accéder n'existe pas ou n'est plus disponible.