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Jérémy Ferrari

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Jérémy Ferrari
Jérémy Ferrari en 2020.
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Jérémy Larzillière
Nationalité
Formation
Activités
Auteur comique, acteur, producteurVoir et modifier les données sur Wikidata
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Jérémy Ferrari, nom de scène de Jérémy Larzillière, né le à Villers-Semeuse (Ardennes)[1], est un humoriste, comédien, auteur, metteur en scène et producteur français.

Révélé par l'émission On n'demande qu'à en rire sur France 2 entre 2010 et 2012, Jérémy Ferrari pratique l'humour noir et aborde dans ses sketchs des thèmes de société considérés comme sensibles, tels que l'obésité, le suicide, le racisme, la xénophobie, la misogynie, l'extrémisme religieux, le handicap, la guerre, la misère sociale, le milieu carcéral, la solitude des personnes âgées et d'autres formes de discrimination.

Jeunesse et formation

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Jérémy Larzillière, dit Jérémy Ferrari, grandit dans les Ardennes, à Charleville-Mézières. Ses parents, Fabrice Larzillière et Murielle Larzillière née Ferrari, sont commerçants de proximité dans un magasin d'alimentation[2]. Sa grand-mère était belge et son grand-père travaillait pour le journal belge Le Soir. Il a passé une partie de son adolescence en Belgique[3].

Au collège Jérémy Ferrari s'inscrit à l’atelier théâtre puis, s'ennuyant en cours et, dit-il, ayant des problèmes d'apprentissage et d'autorité, il quitte le lycée en classe de seconde[4] pour suivre des cours de théâtre[5].

Bruno Nion, directeur du théâtre de Charleville-Mézières lui donne ses premiers cours de comédie à l'école Ludus dès l'âge de 15 ans. Pour ce dernier, le jeune adolescent a « un talent certain, mais surtout une volonté et une énergie très fortes : il avait de l’ambition et de l’idée »[6]. Jérémy Ferrari hérite de l'humour noir de sa mère qui développe son imagination en lui inventant le soir des histoires[7]. Il découvre le one-man-show avec le sketch du Scrabble de Pierre Palmade et les spectacles de Pierre Desproges et écrit ses premiers sketchs[6]. A 16 ans Jérémy Ferrari prend le nom de sa mère comme nom de scène et joue son premier one-man-show (seul en scène) De sketch en sketch dans les bals et les maisons de retraite de la région. Mis en scène par Bruno Nion, le jeune humoriste interprète pendant une heure trois sketches originaux puis reprend Le Digicode de Marc Jolivet, Le Scrabble de Palmade, Le Lâcher de Salopes de Jean-Marie Bigard et L’Addition de Muriel Robin[4]. Il s'installe à Paris pour intégrer le cours Florent sur dérogation car il est mineur[6],[8].

Des débuts difficiles (2002-2007)

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À 17 ans, Jérémy Ferrari présente un spectacle intitulé Moi, méchant ? à Paris, d'abord au théâtre de la Providence, puis au théâtre Clavel et au théâtre Le Temple. Celui-ci est présenté pendant deux ans près de 300 fois[9]. À 19 ans, le festival Top In Humour l'intègre à son tremplin de jeunes humoristes. Il parvient en finale et remporte le prix du public 2004[10].

En 2005, il rencontre le producteur Jacques Pessis qui lui propose d'intégrer l'équipe de l'émission Morning Café sur la chaîne M6 avec un programme court intitulé Réveillez-vous. « Ça devait être un peu trop décalé pour le matin à 7h30, et du coup ils ne m’ont gardé qu’une semaine »[11],[12],[13]. Jérémy Ferrari se voit alors confier la mise en scène du spectacle Les Wesh avec des danseurs hip-hop, joué au théâtre Le Méry à Paris[14].

À 21 ans, Jérémy Ferrari tient le rôle principal dans la pièce Deux chaises vides, qui raconte la rencontre fictive entre le peintre néerlandais Vincent van Gogh et le poète français Arthur Rimbaud (originaire, comme lui, de Charleville-Mézières). Cette pièce de Bertrand Matthieu, mise en scène par Bruno Nion, est présentée pendant plus d'un an[15]. Jérémy Ferrari y incarne le personnage d'Arthur Rimbaud, tandis que Damien Amiot joue le rôle de Vincent van Gogh.

Les représentations et les premiers cachets qu'il touche ne lui permettent pas de vivre de son métier. Son style d'humour particulier se heurte à des refus réguliers de la part des programmateurs et des télévisions. Pour gagner sa vie, il est contraint de faire des petits boulots : « J’ai été agent de sécurité dans des parkings, des boîtes, groom avec le costume comme dans Spirou, j’ai vendu des chemises, j’ai bossé chez Orange… »[4] et prof de ju-jitsu (son père, adepte d'arts martiaux, le pousse à pratiquer très tôt le judo, et il devient ceinture noire)[16].

Hallelujah Bordel ! et On n'demande qu'à en rire (2008-2014)

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En 2008, il écrit un spectacle intitulé Mes 7 péchés capitaux qui a pour thème les trois religions monothéistes. Le spectacle présenté d'abord au théâtre Clavel à Paris est un dialogue avec Dieu. L'humoriste joue sept personnes sur scène dotées chacune d’un péché. Lorsque le spectacle s'arrête Jérémy Ferrari décide d'en écrire une nouvelle version après un travail de recherche et de lecture des textes religieux. Peu avant la première il se fait voler son ordinateur portable contenant tous les textes. Il réécrit tout de tête et donne naissance à un nouveau spectacle incluant des thèmes comme la misogynie, l’homophobie, le racisme... Ainsi naît Hallelujah Bordel ![17],[9].

En octobre 2010, Jérémy Ferrari fait ses premiers sketchs dans l'émission de Laurent Ruquier, On n'demande qu'à en rire sur France 2 et en devient l'un des piliers jusqu'en 2012 avec notamment Arnaud Tsamere, Olivier de Benoist, Artus[18]...

Hallelujah Bordel ! bénéficie du succès de l'émission et rencontre son public[19]. En 2009 au Festival d'Avignon le spectacle attirait dix personnes et à Paris quarante spectateurs par soir[20],[18]. En 2012 l'humoriste part en tournée dans toute la France et dans quelques villes de Suisse et de Belgique. Au Festival d'Avignon 2012, il affiche complet au théâtre Le Palace (350 places)[8] battant ainsi le record de fréquentation[21].

En 2013, Jérémy Ferrari monte sur la scène de La Cigale, du Casino de Paris puis de l'Olympia à Paris[9]. Un DVD du spectacle est commercialisé ainsi qu'un livre illustré par Ludovic Févin contenant des textes inédits du spectacle[17]. La tournée reprend en 2014 avec notamment un passage au Zénith de Caen[22].

En janvier et , Jérémy Ferrari participe à La Tournée du trio aux côtés des humoristes Arnaud Tsamere et Baptiste Lecaplain. Cette tournée a lieu dans les salles Zénith de France et se prolonge en [23].

En quatre ans, Hallelujah Bordel ! a été joué 700 fois[24], a réuni plus de 250 000 spectateurs et 30 000 DVD ont été vendus[18]. Jérémy Ferrari, baptisé par la presse le prince de l'humour noir, auteur et metteur en scène de ses spectacles devient également son propre producteur depuis 2013 avec la création de sa société Dark Smile Productions[22],[25]. « Quand ça a commencé à marcher à la télévision, beaucoup de producteurs sont venus me chercher en me disant « On te produit, mais tu changes de spectacle ». J’ai refusé des conforts financiers dont j’avais énormément besoin à l’époque. Tout le monde m’a dit que je faisais l’erreur de ma vie et qu’il n’aura jamais de succès en salles »[17].

Spectacle Vends 2 pièces à Beyrouth (2016-2018)

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"Vends 2 pièces à Beyrouth"
Introduction du spectacle Vends 2 pièces à Beyrouth, de Jérémy Ferrari.

En 2016, Jérémy Ferrari entame la tournée de son one-man show Vends 2 pièces à Beyrouth qui traite de la guerre et du terrorisme en évoquant les attentats de 2015, la traque des frères Kouachi, le conflit israélo-palestinien, le recrutement de Daech, les associations caritatives (humanitaires). Pendant ses deux années d'écriture, l'humoriste se documente et suit les cours de géopolitique de Jean-Antoine Duprat, professeur à la Sorbonne[12],[6].

Le , le spectacle reçoit le Q d'or du seul en scène de l'année sur TF1[26]. La captation du au Zénith de Lille fait l'objet d'un DVD[27]. Comme pour son spectacle précédent, un livre illustré intitulé Happy hour à Mossoul, sort le . Il est composé de 30 % de textes non utilisés pour le spectacle et de 70 % de nouvelles recherches retraçant un siècle de guerres[28]. En 2018, Jérémy Ferrari se produit pour la première fois à Montréal et à San Francisco[29],[30]. Le spectacle joué pendant deux ans a réuni 300 000 spectateurs et fait partie du top 5 des one-man-shows les plus vus en France[31],[32].

Spectacle Anesthésie générale (2019-2024)

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Le , Jérémy Ferrari poste sur son compte Twitter une vidéo teaser de son futur spectacle, Anesthésie générale, qui aura pour sujet la santé : l’homéopathie, la paupérisation de l’hôpital public, l’histoire de la sécurité sociale... Cette nouvelle tournée débute le [33] avec 100 000 billets vendus avant la première représentation[34]. Anesthésie générale s'appuie sur un travail de terrain et de recherche, disponible sur son site officiel ou sur scène et s'inscrit dans un mouvement de grève du personnel hospitalier commencé en 2019[35],[36]. « Je suis un instinctif, poursuit celui qui a arrêté les études très tôt et qui vient d’un quartier modeste de Charleville-Mézières, dans les Ardennes. Pour Anesthésie générale, je me suis simplement demandé : est-ce que l’argent passe avant la santé des gens ? De là, c’est un an et demi de travail. Je rencontre des spécialistes, je lis des articles, je croise mes sources et je passe du temps avec les concernés, ici, les soignants. Je ne fais pas de provoc gratuite. Ce que je dénonce, je l’ai vu, je l’ai vécu. Et ça me permet d’être habité par ce que je raconte » (Ouest-France)[37]. Dans un spectacle de 3 heures, l'humoriste aborde également des sujets personnels liés à ses troubles psychiatriques et à son alcoolisme ainsi que sa tentative de suicide[38].

Interrompue en raison de la pandémie de Covid-19, la tournée reprend partiellement à l'automne 2020 et en 2021[39]. Le spectacle est réécrit afin d'intégrer la crise sanitaire[40]. Avec son associé Mickaël Dion, Jérémy Ferrari conçoit un jeu de société sur la crise sanitaire : « État d'urgence »[41].

À partir de 2022, Jérémy Ferrari présente son spectacle dans les Zénith de France et termine cette tournée à l'Accor Arena de Paris les 9 et , rejoignant ainsi le cercle fermé des humoristes qui se sont produits dans cette salle (Florence Foresti, Jean-Marie Bigard...)[42],[43]. Le spectacle joué 200 fois en quatre ans a attiré plus de 300 000 spectateurs[44]. La dernière représentation est retransmise en direct dans 365 salles de cinéma, rassemblant 91 684 spectateurs, battant ainsi le record pour une retransmission en direct au cinéma (après Florence Foresti en 2012 avec 87 000 spectateurs et en 2019, Blanche Gardin avec 90 000 spectateurs)[45],[46]. Pour Le Figaro, Jérémy Ferrari est devenu en 15 ans de carrière, le « nouveau roi de l’humour «noir et social» »[44].

Dark Smile Productions

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Par le biais de sa société Dark Smile Productions créée en 2013[47], dont il est le président[48], Jérémy Ferrari produit d'autres humoristes : Laura Laune, Guillaume Bats, Arnaud Tsamere et la ventriloque Le Cas Pucine (en collaboration avec Éric Antoine). Il co-écrit et met en scène certains de leurs spectacles.

La société organise également des spectacles, des festivals et des galas d'humour. Ainsi, Les duos impossibles de Ferrari[49] réunit tous les ans et ce depuis 2014 des duos inédits d'humoristes, dans le cadre du Smile & Song Festival à Bruxelles.

Dark Smile Productions co-produit le CFA Festival (avec l'humoriste nigérien Mamane via sa société ivoirienne City Productions)[50],[51], premier festival d'humour africain en France.

La société Dark Smile exerce également une activité éditoriale, sous le nom Dark Smile Editions[52]. Les DVD et les livres sont distribués de manière totalement indépendante.

En 2012, un film écrit par Jérémy Ferrari avec les humoristes d’On n'demande qu'à en rire est annoncé[53]. En 2014, le projet se précise, il s'agit d'une « comédie cruelle et sociale sur le chômage »[54]. Après écriture, la société JS Productions acquiert les droits du scénario pour produire le film. Celui-ci sort le sous le nom Les Têtes de l'emploi, avec Franck Dubosc dans le rôle principal. Quelques mois plus tard, Jérémy Ferrari fait part de son « profond désaccord sur la réécriture du texte » qui s'éloigne « trop de son projet initial », et attaque la production en justice[55].

Le , invité dans On n'est pas couché, il se fait remarquer en tenant tête au Premier ministre Manuel Valls au sujet de la « récupération politique » des attentats et de la défense apportée par le gouvernement français au président du Gabon Ali Bongo, dont les victoires aux élections sont contestées[56],[12].

En 2024, Jérémy Ferrari devient le directeur artistique de l'École supérieure des arts du rire, créée par Frédéric Biessy, directeur de La Scala (Paris) et à Avignon[57],[58].

  • 2007 : Deux chaises vides, pièce de Bertrand Matthieu, où il incarne le personnage du poète Arthur Rimbaud

Spectacles d'humour

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  • 2002 : De sketch en sketch
  • 2003-2005 : Moi, méchant ?
  • 2006 : Jérémy Ferrari (suite de Moi, méchant ?)
  • 2007 : Les Wesh
  • 2008-2009 : Mes 7 péchés capitaux
  • 2011-2014 : Hallelujah Bordel !
  • 2013-2014 : La tournée du trio, avec Arnaud Tsamere et Baptiste Lecaplain
  • Depuis 2014 : Les Duos impossibles de Jérémy Ferrari au sein du Festival Smile and Songs
  • 2016-2018 : Vends 2 pièces à Beyrouth
  • 2020-2024 : Anesthésie Générale

Télévision

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Émissions de télévision

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• 2017-2022 : Le Parlement du rire, Canal + Afrique

On n'demande qu'à en rire

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En , Jérémy Ferrari participe à l'émission d'humour On n'demande qu'à en rire sur France 2 présentée par Laurent Ruquier.

Son humour noir provocateur divise le jury régulièrement lors de ses premiers passages, mais il parvient à s'imposer comme l'un des principaux humoristes de l'émission avec 83 sketchs écrits et interprétés lors des deux premières saisons, et un score moyen de 80100 par sketch.

Il termine premier au prime-time du avec 191 points sur 200 pour son sketch Intouchables, forcément une suite vu le succès et provoque de nombreuses réactions sur Internet. Le , avec son sketch « Une femme accouche de jumeaux à 66 ans », il obtient en direct le score de 1920 de la part du public pour la première fois de la deuxième saison. Le , pour son sketch intitulé L'adoption pour les nuls avec la participation de l'humoriste Guillaume Bats, Jérémy Ferrari est le premier humoriste à obtenir le score de 100 points en solo.

Il est également le grand vainqueur du prime-time du [60] en totalisant 194 points sur 200 avec son sketch « La première interview du dépeceur québécois », et est ainsi élu Meilleur humoriste de la saison.

Le , il revient dans On n'demande qu'à en rire pour une émission spéciale où (avec Nicole Ferroni, Arnaud Tsamere et Florent Peyre) il note les sketchs des jurés habituels, Jean-Luc Moreau, Jean Benguigui, Laurent Ruquier et Jean-Marie Bigard.

À partir d', Jérémy Ferrari participe au ONDAR Show, émission qui regroupe les principaux humoristes d'On n'demande qu'à en rire. Il y anime notamment la rubrique « Handicap, Handi pas cap » en compagnie de personnalités handicapées auxquelles il lance des défis impossibles (successivement Philippe Croizon, Sophie Vouzelaud, André Bouchet, Bruno de Stabenrath, Guillaume Bats et Grégory Cuilleron). Cette émission est suspendue le , la chaîne estimant que ses audiences ne sont pas assez élevées.

Touche pas à mon poste !

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À partir du , il intervient deux fois par semaine dans l'émission Touche pas à mon poste !, présentée par Cyril Hanouna sur D8. Dans ses chroniques, il revient à sa façon sur l'actualité de la semaine et du week-end[62]. Il quitte l'émission d'un commun accord avec Cyril Hanouna le car son humour ne correspond pas au public de l'émission[réf. souhaitée] et par fidélité envers Laurent Ruquier qui lançait une émission concurrente[63].

L'Émission pour tous

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Du au , Jérémy Ferrari participe en tant qu'humoriste et/ou chroniqueur trois fois par semaine à L'Émission pour tous, animée par Laurent Ruquier et diffusée tous les jours de la semaine à 18 h 30 sur France 2.

Documentaire

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  • 2018 : Jérémy Ferrari : Emporté par la fougue, documentaire de Thierry Colby sur C8

Les Duos Impossibles de Ferrari

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  • 2014 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 1re édition avec Arnaud Tsamere
  • 2015 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 2e édition avec Éric Antoine
  • 2016 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 3e édition avec Chantal Ladesou
  • 2017 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 4e édition avec Éric Antoine
  • 2018 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 5e édition avec Laura Laune
  • 2019 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 6e édition avec Guillaume Bats
  • 2020 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 7e édition avec Arnaud Tsamere et Baptiste Lecaplain
  • 2021 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 8e édition avec Arnaud Tsamere et Baptiste Lecaplain
  • 2022 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 9e édition avec Artus
  • 2024 : co-animateur des Duos impossibles de Jérémy Ferrari - 10e édition

Les éditions sont diffusées sur Comédie+ puis sur C8. Elles sont également rediffusées sur CStar.

Filmographie

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Série télévisée

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  • Hallelujah Bordel !, illustré par Ludovic Févin, Le Passeur, 2013.
  • Happy hour à Mossoul, illustré par Patrick Borkowski, Michel Lafon, 2017[69] (version poche sortie en ).
  • Hallelujah Bordel !, France Télévisions, , 110 minutes.
  • Vends deux pièces à Beyrouth, Dark Smile Productions et Gilbert Coullier Productions, , h 16 min.

Distinctions

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Notes et références

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  1. « DARK SMILE PRODUCTIONS - Acte du 01/08/2022 » [PDF], (consulté le )
  2. Guillaume Gendron, « Jérémy Ferrari, Terrorires ! » », sur Libération, (consulté le ).
  3. « Jérémy Ferrari : « Plutôt mourir que de jouer dans ‘Danse avec les stars’ ! » », sur Paris Match, (consulté le ).
  4. a b et c Isabelle Aithnard, « Jérémy Ferrari, ce soir à L’Olympia : “Je suis terrorisé à l’idée que ça s’arrête !”- Part 1 », sur leblogfemmequirit.com, (consulté le ).
  5. Cyril Calsina, « Humour : Jérémy Ferrari : "Que les gens aient mal aux abdos d'avoir trop ri" », sur Midi libre, (consulté le ).
  6. a b c et d Mathieu Dejean, « Jérémy Ferrari, l’humoriste qui a tenu tête à Manuel Valls », sur Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  7. Lucas Bretonnier, « Rencontre avec Jérémy Ferrari, humour cash et investigation », sur Paris Match, (consulté le ).
  8. a et b Jérémy Ferrari sur cineart.fr.
  9. a b et c Isabelle Aithnard, « Jérémy Ferrari : “Si on est méchant pour les bonnes raisons, on parle à tout me monde”. Part 2/3. », sur leblogfemmequirit.com, (consulté le ).
  10. « Jérémy Ferrari », sur Première (consulté le ).
  11. Jérôme Roulet, « Jérémy Ferrari : ses confidences sur le ONDAR show et Touche pas à mon poste ! », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  12. a b et c Jérémy Ferrari, l'humoriste politiquement incorrect révélé par un clash avec Manuel Valls sur francetvinfo.fr, le .
  13. Jérémy Ferrari - Répondez lui - 2006 sur YouTube, publié le .
  14. Vidéo « les Wesh » sur Google Vidéo.
  15. Deux chaises vides sur Dailymotion, publié le .
  16. Thomas Robert, « Cinq infos sur… Jérémy Ferrari », sur programme.tv, (consulté le ).
  17. a b et c Jérôme Roulet, « Jérémy Ferrari : « L’ensemble de mon œuvre me vaut un florilège d’insultes » », sur toutelatele.com, (consulté le ).
  18. a b et c Tanguy Cohen, « Jérémy Ferrari : "L'humour noir c'est une manière de voir la vie" » », sur La Provence, (consulté le )
  19. Marie Adam-Affortit, « Jérémy Ferrari, l'humour pour religion », sur Paris Match, (consulté le )
  20. Nicole Bourbon, « Jérémy Ferrari : "L'humour noir c'est une manière de voir la vie" » », sur regarts.org (consulté le )
  21. Stephane Bernault, « L'humoriste Jérémy Ferrari tout-puissant », sur La Provence, (consulté le )
  22. a et b « Jérémy Ferrari en spectacle ce soir au Zénith », sur Ouest-France, (consulté le )
  23. « On a vu. Forte soirée de rires avec la Tournée du trio au Zénith de Caen », sur caen.maville.com, (consulté le )
  24. Ludovic Galtier, « Jérémy Ferrari : «Les gens font de l’humour noir tous les jours» », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
  25. Valentin Dechambre, « L’humoriste Guillaume Bats est mort à l’âge de 36 ans », sur Le Point, (consulté le )
  26. Allyson Jouin-Claude, « Yann Barthes taquine Le Grand Journal et offre un Q à Julien Doré et Virginie Efira », sur tvmag.lefigaro.fr, (consulté le ).
  27. « Jérémy Ferrari : Vends 2 pièces à Beyrouth Spectacle interprété, écrit et mis en scène par Jérémy Ferrari. Enregistré le 14 mars 2017 au Zénith de Lille. Réalisation : Anthony Adam », sur tvmag.lefigaro.fr, (consulté le ).
  28. Lucas Bretonnier, « Rencontre avec Jérémy Ferrari, humour cash et investigation », sur Le Parisien, (consulté le ).
  29. Bruno Lapointe, «Les artistes n’ont plus de couilles», sur Le Journal de Montréal, (consulté le ).
  30. « Le spectacle de Jérémy Ferrari sur Comédie+ », sur telecablesat.fr, (consulté le ).
  31. Simon Gonzalez, « Programme TV : que regarder ce soir à la télé ? Notre sélection ! », sur programme-tv.net, (consulté le ).
  32. « Jérémy Ferrari figure parmi les humoristes les plus plébiscités par les Français », sur lci.fr, (consulté le ).
  33. « Jérémy Ferrari : Son prochain spectacle annoncé avec un incroyable teaser ! », sur mradio.fr, (consulté le ).
  34. Grégory Plouviez, « Humour : « Je suis très fort et très fragile », les confessions de Jérémy Ferrari », sur Le Parisien, (consulté le ).
  35. François Béguin, « Les personnels hospitaliers restent mobilisés, onze mois après les premières grèves ! », sur Le Monde, (consulté le ).
  36. Jérémy Ferrari - chaîne officielle, « Balance ton doss ! », (consulté le ).
  37. Anaïs Berno, « RENCONTRE. Jérémy Ferrari : profession humoriste engagé », sur Ouest-France, (consulté le ).
  38. Jade Toussay, « Dans "C à vous", Jérémy Ferrari se confie sur son "alcoolisme noir" et ses troubles du comportement », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  39. Anne-Laure Deparis, « Jérémy Ferrari contraint d'annuler des représentations, il pousse un nouveau coup de gueule contre le gouvernement », sur programme-tv.net, (consulté le ).
  40. Grégory Marin, « Jérémy Ferrari : « Les humoristes, c'est comme la presse, ça doit être des amis du peuple ! » », sur L'Humanité, (consulté le ).
  41. Grégory Plouviez, « On a joué à «État d’urgence» de Jérémy Ferrari, son nouveau jeu de société sur le Covid », sur Le Parisien, (consulté le ).
  42. Claire Tervé, « Jérémy Ferrari charge le gouvernement après les annonces sur les salles de spectacle », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  43. Grégory Plouviez, « «Jouer à Bercy, c’est une jolie revanche» : Jérémy Ferrari, le roi de l’humour noir, dans la cour des grands », sur Le Parisien, (consulté le ).
  44. a et b « Jérémy Ferrari, nouveau roi de l’humour «noir et social» », sur Le Figaro, (consulté le ).
  45. « Jérémy Ferrari bat un record au cinéma », sur boxofficepro.fr, (consulté le ).
  46. « JÉRÉMY FERRARI : SON SPECTACLE «ANESTHÉSIE GÉNÉRALE» RETRANSMIS EN DIRECT AU CINÉMA CE DIMANCHE », sur CNews, (consulté le ).
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  55. Simon Tenenbaum, « Jérémy Ferrari et Franck Dubosc s'affrontent en justice », sur BFM Business, .
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  60. Patrice Le Nen, On n'demande qu'à en rire : le sketch trash (direct), et drôle, de Jérémy Ferrari, sur www.programme-tv.net, le .
  61. Par manque de temps à la suite du sketch des Lascars Gays Les 27 ans des Restos du cœur, d'une durée de presque un quart d'heure, les notes du public n'ont pu être dévoilées pour les sketchs d'Artus, Arnaud Cosson et Jérémy Ferrari
  62. Touche pas à mon poste : Le petit nouveau, Jérémy Ferrari, va-t-il trop loin ? sur www.purepeople.com, le .
  63. JÉRÉMY FERRARI : « J’AI QUITTÉ D8 PAR FIDÉLITÉ ENVERS LAURENT RUQUIER ». à 8:37 dans la vidéo, le .
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  69. « Rencontre avec Jérémy Ferrari, humour cash et investigation », leparisien.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  70. Découvrez le palmarès des Grands Prix Sacem 2023 qui a été dévoilé ce jeudi 30 novembre, sur France Bleu, le 1e décembre 2023, consulté le 4 décembre 2023

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