Église de la Vierge Marie de Mossoul
Église de la Vierge Marie de Mossoul | |||
Présentation | |||
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Culte | Église catholique chaldéenne | ||
Type | Église | ||
Fin des travaux | 1744 | ||
Géographie | |||
Pays | Irak | ||
Gouvernorat | Ninive | ||
Province historique | Mossoul | ||
Coordonnées | 36° 21′ 13″ nord, 43° 07′ 24″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Irak
Géolocalisation sur la carte : Moyen-Orient
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L'église de la Vierge Marie de Mossoul ou église Al-Tāhirā (« La Toute Pure » en référence à Marie[1]) est une église d'Irak située au nord de la vieille ville de Mossoul, dépendant de l'Église catholique chaldéenne. Elle est l'une des six églises de Mossoul portant le même nom mais de différentes confessions, si bien qu'elle est qualifiée d'église Tāhirā « du bas », al-tahtaniyya[1],[2].
Historique
[modifier | modifier le code]L'église est construite en 1744 à l'emplacement d'un ancien couvent, Mar Gabriel, « qui connut son apogée aux IXe–Xe siècles » et qui abrita dès le VIIe siècle « une école de théologie célèbre : ‘La Mère des Vertus’ »[1],[2].
Elle subit de graves dégradations durant la Seconde guerre civile irakienne[1]. Elle est notamment incendiée par l'État islamique le , en même temps que des milliers d'ouvrages de la bibliothèque de Mossoul et le théâtre de l'université de Mossoul[3] et quelques jours avant la destruction d'œuvres du musée de la ville[4]. Elle est de nouveau endommagée en et , à la fin de la bataille de Mossoul[1].
Religion
[modifier | modifier le code]L'édifice religieux dépend de l'Église catholique chaldéenne[1].
Architecture
[modifier | modifier le code]Références
[modifier | modifier le code]- « Édifices chrétiens de Mossoul | Archéologie | culture.fr », sur archeologie.culture.gouv.fr (consulté le )
- « L'église chaldéenne Al-Tahira de Mossoul », sur MESOPOTAMIA HERITAGE (consulté le )
- « L'Etat islamique brûle 8.000 livres rares à Mossoul », Le Nouvel observateur, (lire en ligne, consulté le )
- « Mossoul : l’EI démolit des statues vieilles de plus de 2 000 ans », France 24, (lire en ligne, consulté le )