Criel-sur-Mer

commune française du département de la Seine-Maritime

Criel-sur-Mer est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Criel-sur-Mer
Criel-sur-Mer
La plage et des maisons.
Blason de Criel-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC des Villes Sœurs
Maire
Mandat
Alain Trouessin
2020-2026
Code postal 76910
Code commune 76192
Démographie
Gentilé Criélois
Population
municipale
2 596 hab. (2021 en évolution de −4,52 % par rapport à 2015)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 01′ 00″ nord, 1° 19′ 06″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 106 m
Superficie 21,12 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Criel-sur-Mer
(ville isolée)
Aire d'attraction Eu
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Criel-sur-Mer
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Criel-sur-Mer
Liens
Site web https://www.criel-sur-mer.fr

Géographie

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Localisation

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Géologie et relief

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Victimes de l'érosion côtière, les falaises de craie sont régulièrement rognées, obligeant les autorités à interdire les constructions, voire à exproprier les résidents que le recul de la falaise, plus d'un mètre par an[1] met désormais en péril (loi Barnier 1995)[2].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Flocques, Saint-Martin-le-Gaillard, Saint-Rémy-Boscrocourt, Touffreville-sur-Eu et Petit-Caux.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 831 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

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Falaises vues depuis la plage.

L'érosion côtière impose des travaux (construction d'épis) plus ou moins efficaces depuis les années 1960. Depuis les années 1990, les falaises sont l'objet d'une surveillance sévère. Une partie de la commune, notamment des falaises et des zones humides, a été classée Zone Naturelle d’Intérêt Écologique, Floristique et Faunistique ou ZNIEFF. La basse vallée de l'Yères est classée en ZNIEFF de type 1[10], tandis que le mont Joli Bois est classé, lui en zone de type 2.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Criel-sur-Mer est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Criel-sur-Mer[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[12],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,7 %), prairies (20,8 %), zones urbanisées (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), forêts (2,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones humides côtières (0,7 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

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Criel-sur-Mer s’est développée de part et d'autre de la vallée de l’Yères jusqu’à son embouchure. Les hameaux ruraux du Quesnay, de Mesnil-Val et de Mesnil-à-Caux dans l’arrière-pays se consacrent à l’agriculture ; le centre du bourg, autour de la rue de la Libération, abrite les commerces, les principales administrations et l’église, tandis que les activités touristiques de la station balnéaire sont concentrées autour de la plage de galets et sur le plateau jusqu’au vallon de Mesnil-Val.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 502, alors qu'il était de 2 375 en 2013 et de 2 134 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 50,3 % étaient des résidences principales, 43,9 % des résidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Criel-sur-Mer en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (43,9 %), très supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %), qui correspond à sa réalité de commune balnéaire et touristique. Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,6 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 3].

Le logement à Criel-sur-Mer en 2018.
Typologie Criel-sur-Mer[I 2] Seine-Maritime[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 50,3 88 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 43,9 3,9 9,7
Logements vacants (en %) 5,8 8,1 8,2

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Criolii, Criolio, Criolium vers 1059[18], Criel en 1715 (Frémont), Criel ou Creil en 1788, Criel-sur-Mer en 1953[19].

Histoire

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Église Saint-Aubin de Criel-sur-Mer.

Au XIXe siècle, un archéologue amateur, l'abbé Cochet, retrouve les traces d'un site gallo-romain[20]. Chef-lieu de canton sous la Révolution, Criel reste essentiellement un village de pêcheurs et d'agriculteurs jusqu'à l'arrivée du chemin de fer en 1872. L'existence d'une gare permet de développer l'exploitation des galets et l'implantation de deux stations balnéaires élégantes, l'une à l'embouchure de l'Yères et l'autre à Mesnil-Val[20]. C'est la grande époque des stations balnéaires normandes qui servent de prototype au Balbec de Marcel Proust : Trouville, Cabourg, Deauville, Dieppe. En 1902, Criel prend le nom de Criel-sur-Mer.

Le casino disparaît au cours d'une tempête en 1914[21]. La station ne survit pas à la Première Guerre mondiale, et le tourisme ne reprend son essor qu'avec l'avènement des congés payés en 1936.

Le 24 juillet 1940, le Meknès, paquebot transportant des militaires français, est torpillé devant Criel par une vedette allemande. Sur les 1 300 hommes à bord, 420 périssent. Certains sont inhumés localement. Une plaque commémorative relatant l’événement est scellée sur le mur du cimetière[22].

Paul Moreau : habitant de Criel-sur-Mer né à Waziers le 24 novembre 1920, instituteur à Eu, s'engage dans le réseau de résistance « Agir » en juillet 1942. En 1943, il dépose un engin explosif dans un cinéma de la ville d'Eu fréquenté uniquement par les troupes d'occupation. Il est arrêté le 22 avril 1943, interné à Abbeville, puis à Amiens, il est condamné à mort et fusillé le 2 août 1943 à la citadelle d'Amiens.

Avec Le Tréport, Honfleur, le Crotoy et Dieppe, Criel est l'une des plages les plus proches de Paris, facilement accessible par le chemin de fer dans les années 1950[1]. Criel-plage devient alors une station familiale, autour de laquelle commencent à se construire de nombreuses résidences secondaires[20].

Le circuit de Dieppe sur lequel se sont courus quatre Grands prix de l'ACF passait par Criel-sur-Mer.

Entre 1950 et 1972, Criel voit se développer une véritable industrie autour de l'exploitation des galets, destinés soit à l'industrie pharmaceutique, soit à être broyés[23].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime.

Après avoir été de 1793 à 1801 le chef-lieu d'un éphémère canton de Criel, elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Eu[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Eu porté de 22 à 40 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

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Criel-sur-Mer était membre de la petite communauté de communes d'Yères et Plateaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2003 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Villes Sœurs dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1940   Delaporte    
         
1945 mars 1965 Louis Delaporte CNIP Député (1958-1962)
mars 1965 1970 Firmin Bagnier Le Chartier    
1970 mars 1983 Marcel Guérin    
mars 1983 juin 1995 Jean Lesca   Ingénieur des travaux publics retraité
juin 1995 mars 2001 Jean-Pierre Lannel    
mars 2001 mars 2014 Jean Mauger DVG Pharmacien
mars 2014[25],[26] En cours
(au 1er juin 2023)
Alain Trouessin SE-DVG Ancien ingénieur de la centrale de Penly
Vice-président de la CC d'Yères et Plateaux (2014 → 2016)
Vice-président de la CC des Villes Sœurs (2017 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Équipements et services publics

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Eau et déchets

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Espaces publics

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Enseignement

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Depuis 2023, les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Saint-Martin-le-Gaillard, Touffreville et Canehan dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré aménagé dans le groupe scolaire criellois. L’Écol’Yères accueille alors 176 élèves à son ouverture[29]

Postes et télécommunications

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Justice, sécurité, secours et défense

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 2 596 habitants[Note 3], en évolution de −4,52 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3501 2561 2101 2011 2951 2281 2681 2731 276
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2951 2681 2771 1431 1581 1501 051983975
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9691 0121 0671 0591 0801 2381 2891 2801 428
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7691 9272 1082 1552 4522 6702 7792 7602 707
2014 2019 2021 - - - - - -
2 7292 6302 596------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Médias

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le château de Chantereine.
  • Le manoir de Briançon, dont la Grande Mademoiselle fit l'acquisition en 1695 pour en faire une école de jeunes filles. Remanié, puis transformé en hospice jusqu'en 1955, il a été restauré à la fin du XXe siècle et héberge la mairie ainsi que des expositions temporaires[33].
  • Le château de Chantereine, centre d'hébergement qui peut accueillir jusqu'à 255 personnes. Il a été construit au XVe siècle. Il a été racheté par la commune de Criel-sur-Mer en 1930.
  • L'église Saint-Aubin.
  • Le monument aux morts inauguré en 1921[34].
  • Les villas XIXe siècle de Mesnil-Val.
  • La vallée de l'Yères.
  • Les falaises : Criel-sur-Mer possède, avec ses falaises qui s'élèvent à 109 m, les plus hautes falaises de craie d'Europe.

Personnalités liées à la commune

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  • Louis Delaporte (1896-1985), député de la Seine-Maritime de 1958 à 1962, né à Criel-sur-Mer[35].

Héraldique

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  Blason
D'argent à trois canettes mal ordonnées de gueules[36]
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Pierre Molkhou, Histoire de Criel-sur-Mer depuis ses origines ou Au gré du vent, au cœur des hommes. Le Mesnil-Esnard, France, 2013, 68 p.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b [1] Rapport de l'ANEL, p.92
  2. ANEL, p. 25
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Criel-sur-Mer et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. [2]
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Criel-sur-Mer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Eu », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  16. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) » [article], page 240.
  19. Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la Seine-Maritime, t. 2, 1982-1984, p. 284.
  20. a b et c Site officiel
  21. [3] ANEL p.91
  22. A. M., le Courrier picard, 26 juillet 2015, p. 11.
  23. ANEL, p. 93.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 2 avril 2014, p. 18..
  26. Jérôme Buresi, « Alain Trouessin est élu maire : Après la victoire sans appel de sa liste lors des élections municipales, Alain Trouessin est devenu maire de Criel-sur-Mer. Six adjoints ont été élus. », L'Informateur - L'Eclaireur,‎ (lire en ligne).
  27. Xavier Togni, « Alain Trouessin, maire de Criel-sur-Mer, candidat à sa succession : Le maire sortant de Criel-sur-Mer a annoncé officiellement qu’il briguait un nouveau mandat, avec six de ses colistiers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour l’instant, il ne veut pas en dire plus, mais se montre à la fois « confiant et déterminé ». Il rappelle qu’il a été élu en 2014 à la suite d’un véritable « raz-de-marée  », obtenant plus de 70 % des voix face à son prédécesseur, Jean Mauger ».
  28. « Criel-sur-Mer 76910 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  29. Xavier Togni, « Le regroupement pédagogique intercommunal de Criel-sur-Mer est opérationnel : Les élèves de Saint-Martin-le-Gaillard, Touffreville et Canehan intègrent à la rentrée le groupe scolaire de Criel-sur-Mer, devenu regroupement pédagogique intercommunal concentré. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Source : « Le site du quid »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  34. « Criel-sur-Mer. L'inauguration du monument », Journal de Rouen,‎ , p. 2
  35. [4]
  36. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.